Je pense qu'il a raison, d'une certaine façon. J'ai une théorie sur ce sujet:" Prendre soin de ses morts, c'est envisager la vie comme un simple passage entre deux dimensions."
et si la mort était en fait synonyme de liberté ?
Je veux dire par là que notre vie ne serait en fait pas ce pour quoi nous existons. En effet, nous dépendont toujours de quelque chose (nos relations sociales et de manière plus vitale, la nourriture), alors la mort nous délivrerait de ce corps dont nous sommes prisonnier pour accéder à une vie purement spirituelle.
Le seul problème qui se pose, c'est pourquoi nous vivons d'abord cette vie materielle, celle que l'on considère souvent comme véritable et unique, plutôt que notre vie spirituelle ?
Que pensez-vous de cette théorie ?