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Donc... Ce texte n'est en aucun cas philosophique mais accuse juste la déclaration des droits de l'homme qui au grand desespoir de l'auteur de ce texte n'est pas respecter. Je suis assez ce texte même si a mon avis tout n'est pas mauvais. Par exemple quand il dit "seule la survie compte" je pense qu'il va un peu fort, on est quand même pas dans la jungle enotourant de fou assoifé de sang! Je trouve qu'il a beaucoup éxagérer l'article V, même si tout els autres sont quelque peu, et malheursement vrai.Article Premier:
« Tous les êtres humains ne naissent en vérité, ni libres ni égaux. Malgré leur égalité de Nature, ils naissent et demeurent asservis par les conditions historiques, politiques, culturelles, religieuses et sociales qui sont les leurs. De ce fait, ils naissent « inégaux », de par leurs conditions de vie et d’existence; en particulier matérielles, spirituelles et psychologiques. Que leur importe de se savoir, « nés libres et égaux, en dignité, en droits» -ce que stipule l‘Article I de la Déclaration Universelle des Droits de l‘Homme de 1948-, s’ils ne le sont point en Réalité, dans l’effectivité de la Vraie Vie? En effet, dans l’effectivité de leur propre situation existentielle, ils ne sont en réalité: ni libres, ni égaux, d’autant plus que le Droit de nos jours, ne tend à devenir, que celui du plus Riche, du plus Fort et du plus Puissant. Ainsi: la Raison du plus fort, fait malheureusement Force de Loi. De là il apparaît que de nos jours, et nous le déplorons: Tous les êtres humains ne sont doués ni de Raison, ni de Conscience. Encore moins de Conscience de Soi. Si tel était le cas, ils agiraient les uns envers les autres, dans un Esprit de Fraternité et ils n‘auraient le plus souvent, pour but unique, que le destin de l‘Humanité et de leur propre Humanité. Or nous en sommes loin…».
Article II:
« Si Tous les êtres humains naissent libres et égaux, en dignité et en droits, sans distinction d’aucune sorte, pourquoi se haïssent-ils autant les uns, les autres ? Pourquoi se sentent-ils ou se croient-ils, supérieurs, inférieurs, et différents les uns, des autres ? Tous les êtres humains naissent libres et égaux, « sans distinction de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune de naissance ou de toute autre situation » -Article II de la Déclaration Universelle des Droits de l‘Homme de 1948-; or personne n’y croit, personne ne le veut, personne ne le souhaite… Partout, de part et d’autre, l’Homme est supérieur à la Femme, les Enfants, les Vieillards, les Handicapés, les Malades et les Invalides, n’ont que le statut d’inférieurs, les riches valent toujours plus et mieux que les pauvres, et les blancs valent mieux que toute autre couleur, toutes les races en elles-mêmes, si ce n'est tous les Peuples, se considèrent à tort et à raison, comme uniques en leur genre, meilleurs, supérieurs, que les autres: c’est une misérable Humanité que cette piètre Humanité, qui se croit si « civilisée », qui en Réalité n’est pas même pitoyable… Aucun Dieu ce me semble, ne voudrait de ce Monde-là, Inhumain et dégénéré, Absurde, Meurtrier... »
Article III:
« Tous les êtres humains, de par leur Liberté, de par leur absence de Loi et de Conscience Morale, ont le Droit de Vie et de Mort sur Autrui, puisque Autrui n’est en réalité jamais, un égal, un semblable… En effet, chacun pour soi et Dieu pour Tous; voilà où nous en sommes… Vae Victis: "Mort aux vaincus!". Et Malheur aux Victimes ! Malheur à ceux qui ont encore, un Esprit et un Coeur, une Conscience, une Âme: ce Monde-là n'est pas pour eux ! Tous les êtres humains, en se substituant à Dieu et à la Loi Morale, ont la Liberté en Conscience, de nuire volontairement, de détruire, de martyriser, d’humilier, de tuer: ce que est en effet le propre de l’Inhumanité. De là, il va de soi que « la Guerre de Tous contre Tous » -si chère à Hobbes-, est tristement d’actualité et que chacun dans cette perspective, peut craindre l’insécurité de sa propre personne ».
Article IV:
« Tous ont droit à la servitude, à l’esclavage, à l’emprisonnement, au commerce de leur personne. Puisque le Mal n'est rien qu'Humain, et qu'il est la forme subtile de l'Inhumanité, chacun est de ce fait, libre d'agir et à sa guise puisque la Légitimation du Mal, du Mal entendu comme Nécessaire ou Inéluctable, rend tous les possibles, possibles: tout est de là permis, possible! Plus de régulation éthique, là où l'Argent est Roi, là où le Mal a plus de Valeur que le Bien: c'est un Monde Inhumain que sa propre folie, sa propre Déraison, fait infiniment jouir, enivre ! ».
Article V:
« Tous les êtres humains peuvent être soumis, en toute impunité, à des traitements cruels, inhumains, dégradants; c’est l’avantage de notre Temps, de notre époque. Dans un Monde Inhumain, seule la Survie compte. « Marche ou Crève! »: telle est la Loi. La Raison du plus fort, du plus riche, du plus puissant, fait le Droit et la Loi; c’est dire combien la Vraie Raison a déserté le Monde, combien la Véritable Humanité est en voie de Disparition… Nous n'avons pour unique Devoir que de rester Vivants, en Vie, dans ce Monde en déliquescence, et que de croire encore et à jamais, à une Humanité, Digne de son Humanité...».
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