Il y a beaucoup d'antécédents de lettres ouvertes, qui passaient par la presse. On peut citer J'accuse de Zola qui est très célèbres bien sûr.
Je propose ( je n'ai pas encore d'exemple désolé ) de créer ce topic où l'on pourra ainsi adresser une lettre visible par tous à quelqu'un, quelque chose, ou bien pour défendre des idées, des points de vue, un manifeste, devant tous. J'ai conscience qu'il ne sera probablement pas très utilisé mais je tente.
A vous !!
Lettres ouvertes
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Mon amour,
Ce topic tombe bien, je peux rendre ce jour plus particulier qu'il ne l'est déjà.
La distance nous empêche de fêter dignement ces 5 mois. Enfin, 5 mois ça ne se fête pas vraiment, y'a rien d'exceptionnel, mais pour moi c'est important.
J'ai l'impression que notre rencontre date d'hier. Le temps passe très vite, trop vite quand nous sommes ensembles. Si tu savais avec quelle impatience j'attends les vacances !
Tu n'imagines peut être pas la place que tu as dans ma vie. Je sais que tu as du mal à réaliser ce qui nous arrive, et pourtant ce n'est pas un rêve. Je ne sais pas ce que je ferasi sans toi. C'est vrai, je ne suis pas près de toi tout le temps, toujours ce problème de distance, mais cela ne m'empêche pas de penser à toi tout le temps. a sourire à chaque fois que je songe à nos moments passés ensemble. A ressentir des grosses bouffées d'affection pour toi, à chaque secondes. Je n'osais pas croire à une telle rencontre. Une rencontre dûe au hasard. Enfin, j'ai insisté un peu pour faire ta connaissance parce que tu attirais mon attention par ta personnalité. Je ne regrette pas d'avoir cherché à si bien te connaitre. Tu es une personne formidable, avec un caractère de cochon, c'est vrai, mais tes qualités sont tellement nombreuses que je finis par trouver ce caractère attendrissant !
J'adore les moments de tendresse avec toi, comme j'adore les heures de discussion que nous pouvons avoir sur n'importe quel sujet. Et puis ton humour, ta répartie (et la mienne ), ta façon si particulière de voir les choses, tes passions dont tu sais si bien parler. Notre complicité, nos fous rires et la confiance absolue que j'ai en toi.
Je ne pensais pas rencontrer l'homme de ma vie sur un forum. Je m'étais trompée.
Je t'aime.
Ce topic tombe bien, je peux rendre ce jour plus particulier qu'il ne l'est déjà.
La distance nous empêche de fêter dignement ces 5 mois. Enfin, 5 mois ça ne se fête pas vraiment, y'a rien d'exceptionnel, mais pour moi c'est important.
J'ai l'impression que notre rencontre date d'hier. Le temps passe très vite, trop vite quand nous sommes ensembles. Si tu savais avec quelle impatience j'attends les vacances !
Tu n'imagines peut être pas la place que tu as dans ma vie. Je sais que tu as du mal à réaliser ce qui nous arrive, et pourtant ce n'est pas un rêve. Je ne sais pas ce que je ferasi sans toi. C'est vrai, je ne suis pas près de toi tout le temps, toujours ce problème de distance, mais cela ne m'empêche pas de penser à toi tout le temps. a sourire à chaque fois que je songe à nos moments passés ensemble. A ressentir des grosses bouffées d'affection pour toi, à chaque secondes. Je n'osais pas croire à une telle rencontre. Une rencontre dûe au hasard. Enfin, j'ai insisté un peu pour faire ta connaissance parce que tu attirais mon attention par ta personnalité. Je ne regrette pas d'avoir cherché à si bien te connaitre. Tu es une personne formidable, avec un caractère de cochon, c'est vrai, mais tes qualités sont tellement nombreuses que je finis par trouver ce caractère attendrissant !
J'adore les moments de tendresse avec toi, comme j'adore les heures de discussion que nous pouvons avoir sur n'importe quel sujet. Et puis ton humour, ta répartie (et la mienne ), ta façon si particulière de voir les choses, tes passions dont tu sais si bien parler. Notre complicité, nos fous rires et la confiance absolue que j'ai en toi.
Je ne pensais pas rencontrer l'homme de ma vie sur un forum. Je m'étais trompée.
Je t'aime.
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- Fourmi éleveuse
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- Enregistré le : dim. mars 11, 2007 8:14 pm
- Localisation : Angers
Je n'ai pas les mots pour te dire tout ce que j'aimerais. Cela passe aussi par le regard, les gestes, le silence.
Je t'aime.
J'aime cette phrase réduite à la plus stricte simplicité grammaticale et qui pourtant défie toutes les règles, les lois, les raisons. Une phrase pure, sans ornements, me montrant nu, sans vêtements spirituels, concrets ou sentimentaux, que cette projection vers toi, ce sourire des yeux, cette souffrance du manque, ces lèvres qui murmurent ...
Je t'aime M*.
J'aime ce nom car il te désigne, j'aime cette diérèse artificielle que je prononce lentement et avec délectation, insistant sur chaque son mais les laissant couler le long de mon palais, comme une eau rafraichissante ... En vérité, je l'aime car à travers lui, ton nom, tu existes dans mon regard, quand je le prononce, quand je le pense, quand je le murmure, quand je l'encense, oui, tu es là. Je vois tes beaux cheveux ondulés verticaux, je ressens la caresse de tes mains blanches et fines comme un souffle d'air chaud, une brise légère qui passe éphémère laissant sur ma peau une onde bienfaisante, je vois ton sourire rieur et ornée d'une mignonne moue que j'ai envie d'embrasser, je tombe dans tes yeux, trous béants et noirs, radieux, je sens ton corps, je vois tes poses si naturelles et j'ai envie de te prendre dans mes bras malgré le risque de casser ces belles images, je t'entends parler, je te ressens avec ce petit pincement au cœur, celui de t'aimer toujours et ne n'être pas toujours là, mais aussi celui de joie, la joie de te voir exister, de t'aimer et d'être aimer.
Je n'ai pas les mots pour te dire comme je voudrais te rendre heureuse. je n'ai pas les mots pour te dire, je n'ai pas les gestes pour te ravir, pour t'épanouir, je suis maladroit, je pense trop, je n'ai pas le regard profond, mystérieux, beau ... Je ne sais comment j'ose te dire mon amour. Mais je le fait.
Belle nuit en perspective que l'attente de te voir ...
Rêvelin , poète fantoche, et sinon, rien qu'un baiser ...
***Ajout :***
Ce n'est pas que des lettres amoureuses même si c'est parti comme cela. Je n'ai pas pu résister ...
***Ajout :***
A tous les réalistes, les concrets, les pratiques, à tous les pragmatiques, les conséquents, les prosaïques, à vous matérialistes, utilitaires, efficaces et pas clairs, à vous les ingénieux, les chercheurs, trouveurs ratés et pathétiques, à vous les actifs, les constructifs, les fonctionnels, à vous à qui l’on dicte, l’on presse, boutonneux, à vous commodes, usagers, majorité, à vous pressés, à vous carriéristes, à vous jurés, à vous politiques, à vous cadres, à vous marchands, à vous patrons, conditionnés, à vous moyens, procédés, méthodes, à vous objectifs, visées, ambitions, à vous neutres, à vous froids, à vous droits, à vous rigides, à vous symétriques, colériques, nostalgiques, à vous prisonniers, à toi prison dorée, à toi supermarché, à toi société,
à toi, je dis Rêve.
***Ajout :***
Réagissez dites votre avis, vous n'êtes pas d'accord ? Une lettre est discutable, n'hésitez pas !
***Ajout :***
Juste dire si vous aimez bien ...
Je t'aime.
J'aime cette phrase réduite à la plus stricte simplicité grammaticale et qui pourtant défie toutes les règles, les lois, les raisons. Une phrase pure, sans ornements, me montrant nu, sans vêtements spirituels, concrets ou sentimentaux, que cette projection vers toi, ce sourire des yeux, cette souffrance du manque, ces lèvres qui murmurent ...
Je t'aime M*.
J'aime ce nom car il te désigne, j'aime cette diérèse artificielle que je prononce lentement et avec délectation, insistant sur chaque son mais les laissant couler le long de mon palais, comme une eau rafraichissante ... En vérité, je l'aime car à travers lui, ton nom, tu existes dans mon regard, quand je le prononce, quand je le pense, quand je le murmure, quand je l'encense, oui, tu es là. Je vois tes beaux cheveux ondulés verticaux, je ressens la caresse de tes mains blanches et fines comme un souffle d'air chaud, une brise légère qui passe éphémère laissant sur ma peau une onde bienfaisante, je vois ton sourire rieur et ornée d'une mignonne moue que j'ai envie d'embrasser, je tombe dans tes yeux, trous béants et noirs, radieux, je sens ton corps, je vois tes poses si naturelles et j'ai envie de te prendre dans mes bras malgré le risque de casser ces belles images, je t'entends parler, je te ressens avec ce petit pincement au cœur, celui de t'aimer toujours et ne n'être pas toujours là, mais aussi celui de joie, la joie de te voir exister, de t'aimer et d'être aimer.
Je n'ai pas les mots pour te dire comme je voudrais te rendre heureuse. je n'ai pas les mots pour te dire, je n'ai pas les gestes pour te ravir, pour t'épanouir, je suis maladroit, je pense trop, je n'ai pas le regard profond, mystérieux, beau ... Je ne sais comment j'ose te dire mon amour. Mais je le fait.
Belle nuit en perspective que l'attente de te voir ...
Rêvelin , poète fantoche, et sinon, rien qu'un baiser ...
***Ajout :***
Ce n'est pas que des lettres amoureuses même si c'est parti comme cela. Je n'ai pas pu résister ...
***Ajout :***
A tous les réalistes, les concrets, les pratiques, à tous les pragmatiques, les conséquents, les prosaïques, à vous matérialistes, utilitaires, efficaces et pas clairs, à vous les ingénieux, les chercheurs, trouveurs ratés et pathétiques, à vous les actifs, les constructifs, les fonctionnels, à vous à qui l’on dicte, l’on presse, boutonneux, à vous commodes, usagers, majorité, à vous pressés, à vous carriéristes, à vous jurés, à vous politiques, à vous cadres, à vous marchands, à vous patrons, conditionnés, à vous moyens, procédés, méthodes, à vous objectifs, visées, ambitions, à vous neutres, à vous froids, à vous droits, à vous rigides, à vous symétriques, colériques, nostalgiques, à vous prisonniers, à toi prison dorée, à toi supermarché, à toi société,
à toi, je dis Rêve.
***Ajout :***
Réagissez dites votre avis, vous n'êtes pas d'accord ? Une lettre est discutable, n'hésitez pas !
***Ajout :***
Juste dire si vous aimez bien ...
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- Fourmi éleveuse
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- Enregistré le : mar. avr. 15, 2008 4:42 pm
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Monsieur Bush,
Vous ne lirez sans doute jamais cette lettre ouverte, au coeur de ce forum magnifique et pourtant trop peu connu. Vous êtes sûrement occupé à récupérer les derniers dollars que vous pouvez extirper de vos citoyens ou à gérer les derniers millions de vos caisses noires, avant les élections. Laissez moi vous dire, monsieur, ma profonde instatisfaction et mon éternel dégoût pour votre politique ; vous, le si généreux membre de la société secrète Skull And Bones, organisation aux pratiques douteuses, vous, le fils du grand Georges Bush 1er du nom, vous n'êtes pas digne de tout le tapage médiatique que vous avez causé durant vos huit ans de mandat. Vous qui avez donné l'image d'une Amérique méprisante et dominatrice d'un monde libre (si, si, libre, je vous jure, cela existe) qui a dû se plier à vos exigences insensées et insensibles, vous provoquer chez moi une sorte de haine viscérale, une sorte de profond dédain que je regrette puisqu'il ne faut mépriser personne. Le désastre du World Trade Center a été le déclic : j'ai compris pourquoi vous alliez être le pire énergumène jamais vu à la White House. Vous êtes l'unique responsable de ce drame qui a engendré des milliers de morts, et autant de familles accablées. Votre larmoyant verbiage paternaliste au lendemain du drame ne m'a pas ému, au contraire. Il ne faut pas excuser ceux qui ont fait cet attentat, mais il faut se demander pourquoi ont ils fait cela. Votre politique, monsieur Bush, votre politique !
L'Afghanistan et l'Irak ont été vos pires erreurs, les témoignages concrets de votre croisade anti-faibles. La seconde guerre du Golfe qui sévit depuis cinq ans est la pire erreur faite par un président étasunien depuis la guerre du Viet Nam. Mais oui, c'est vrai, George, excuse-moi, j'avais oublié le pétrole. Le pétrole ! L'or noir, cet aliment non comestible que l'on dévore au prix d'augmentation sans bornes (145 dollars...). Vous avez causé le troisième choc pétrolier, monsieur GWB, vous avez donné un coup fatal à l'économie mondiale, vous avez anéanti l'espoir d'un Tiers Monde prospère et développé.
Vous aviez juré sur la Bible au matin de votre élection de tout faire pour améliorer la vie des citoyens.
Vous l'avez rendu cauchemardesque.
Je ne vous dis pas merci, je vous dis :
Allez-vous en, et vive les élections. Un nouvel espoir est en train de naître.
Vous ne lirez sans doute jamais cette lettre ouverte, au coeur de ce forum magnifique et pourtant trop peu connu. Vous êtes sûrement occupé à récupérer les derniers dollars que vous pouvez extirper de vos citoyens ou à gérer les derniers millions de vos caisses noires, avant les élections. Laissez moi vous dire, monsieur, ma profonde instatisfaction et mon éternel dégoût pour votre politique ; vous, le si généreux membre de la société secrète Skull And Bones, organisation aux pratiques douteuses, vous, le fils du grand Georges Bush 1er du nom, vous n'êtes pas digne de tout le tapage médiatique que vous avez causé durant vos huit ans de mandat. Vous qui avez donné l'image d'une Amérique méprisante et dominatrice d'un monde libre (si, si, libre, je vous jure, cela existe) qui a dû se plier à vos exigences insensées et insensibles, vous provoquer chez moi une sorte de haine viscérale, une sorte de profond dédain que je regrette puisqu'il ne faut mépriser personne. Le désastre du World Trade Center a été le déclic : j'ai compris pourquoi vous alliez être le pire énergumène jamais vu à la White House. Vous êtes l'unique responsable de ce drame qui a engendré des milliers de morts, et autant de familles accablées. Votre larmoyant verbiage paternaliste au lendemain du drame ne m'a pas ému, au contraire. Il ne faut pas excuser ceux qui ont fait cet attentat, mais il faut se demander pourquoi ont ils fait cela. Votre politique, monsieur Bush, votre politique !
L'Afghanistan et l'Irak ont été vos pires erreurs, les témoignages concrets de votre croisade anti-faibles. La seconde guerre du Golfe qui sévit depuis cinq ans est la pire erreur faite par un président étasunien depuis la guerre du Viet Nam. Mais oui, c'est vrai, George, excuse-moi, j'avais oublié le pétrole. Le pétrole ! L'or noir, cet aliment non comestible que l'on dévore au prix d'augmentation sans bornes (145 dollars...). Vous avez causé le troisième choc pétrolier, monsieur GWB, vous avez donné un coup fatal à l'économie mondiale, vous avez anéanti l'espoir d'un Tiers Monde prospère et développé.
Vous aviez juré sur la Bible au matin de votre élection de tout faire pour améliorer la vie des citoyens.
Vous l'avez rendu cauchemardesque.
Je ne vous dis pas merci, je vous dis :
Allez-vous en, et vive les élections. Un nouvel espoir est en train de naître.
Je préfère siffler et regarder le ciel que gifler et regarder les cons.
PS : à tous, à bientôt, je pars aux USA, je ne sais si je reviendrais de sitôt ici.
PS : à tous, à bientôt, je pars aux USA, je ne sais si je reviendrais de sitôt ici.
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- Larve filiforme
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- Enregistré le : dim. juin 22, 2008 5:43 pm
- Localisation : Ici et ailleurs
Mon amie , ma sœur
Tu ne liras sans doute jamais cette lettre .
Comment trouver les mots pour te dire ce que je ressent ? On a partagé tant de chose ensemble . on passait des jours entiers à rire et à s’amuser , des nuits entières à parler jusqu’a ce que nos paupières se ferment d’ elles mêmes . c’ était le temps des parties de foot dans le rond point , des cabanes dans les bois , du patinage sur le lac gelé … Autant de bonheurs si simples , si pures et malheureusement si éphémères . On se disait tout , on partageait tout . Tu m’ écoutais , Tu me comprenais , tu m’ aimais . Tout ce dont j’avais besoin .
Et puis tu es partie .
Tu m’ as laissée , abandonnée .
Tu es partie pour la ville à cause d’ une mère droguée .
Je n’ ais aucune idée de ce que tu as vécu là bas . A part tes rares coups de fil où tu te ventais d’ avoir fini bourrée à telle ou telle soirées . Amitié souillée , écartelée , brisée . La distance entre nous n’ a fait qu’ augmenter pendant ces deux années . Aujourd’hui tu est revenue , mais deux monde nous séparent désormais .
Adieu innocence , adieu enfance si fragile .
Tu ne liras sans doute jamais cette lettre .
Comment trouver les mots pour te dire ce que je ressent ? On a partagé tant de chose ensemble . on passait des jours entiers à rire et à s’amuser , des nuits entières à parler jusqu’a ce que nos paupières se ferment d’ elles mêmes . c’ était le temps des parties de foot dans le rond point , des cabanes dans les bois , du patinage sur le lac gelé … Autant de bonheurs si simples , si pures et malheureusement si éphémères . On se disait tout , on partageait tout . Tu m’ écoutais , Tu me comprenais , tu m’ aimais . Tout ce dont j’avais besoin .
Et puis tu es partie .
Tu m’ as laissée , abandonnée .
Tu es partie pour la ville à cause d’ une mère droguée .
Je n’ ais aucune idée de ce que tu as vécu là bas . A part tes rares coups de fil où tu te ventais d’ avoir fini bourrée à telle ou telle soirées . Amitié souillée , écartelée , brisée . La distance entre nous n’ a fait qu’ augmenter pendant ces deux années . Aujourd’hui tu est revenue , mais deux monde nous séparent désormais .
Adieu innocence , adieu enfance si fragile .