c'est cool je peux prendre exemple direct:
J'ai chez moi deux femelles cochons d'Inde qui n'hésitent pas à être homosexuelles quand elles sont en chaleur, ma soeur a une femelle boxer que ça ne semble pas gêner de s'amuser avec sa peluche comme le ferait un chien mâle. Tout cela juste pour dire que les animaux sont bien plus ouverts d'esprit et ne se compliquent pas la vie comme l'être humain qui est censé être bien plus intelligent.
dans un premier temps je te rappelle que les animaux n'ont STRICTEMENT rien à foutre de ton "ouverture d' esprit"....
l' animal obehit à ses instinct et donc en periode de chaleur, à default d'un male dans la cage....
et ça devrait vous mettre la puce à l' oreille pour ce qui concerne les hommes....
par exemple: pourquoi y a til de + en + d'homo dans les banlieues....
c'est con mais en se baladant en bas de quelques tours c'est rare de croiser une "femelle".....
Figurez-vous que j'ai jeté un oeil sur nos précédents échanges, et il me semble que vous n'avez pas songé à me fournir pourquoi l'homosexualité devrait être classée comme trouble mental, c'est à dire en quoi elle est génératrice de problèmes d'ordre personnels, sociaux ou autre, critères presque systématiques dans le DSM. Ainsi que vos magnifiques études des années 50 sur l'homosexualité, demandées avant la fermeture du thread.
alors un rappel:
La sexualité selon Freud est avant tout le resultat du travail psychique de l’individu sur la pulsion sexuelle et non pas le developpement linéaire d’une biologie sexuelle où pulsion et objet serai confondus. Si la pulsion sexuelle trouve sa force et son energie dans la biologie, elle tire son origine de l’inconscient. Et c’est dans la mesure où l’individu est en interaction avec d’autres qu’il peut eveiller sa pulsion sexuelle et developper les representations à partir desquelles il va l’ exprimer.
Les premiers partenaires au contact desquels sa pulsion sexuelle va etre sollicitée sont lesselon Freud les parents sur le mode de l’indentification. Car si sa vie psychique n’est pas reflet, elle subit des inductions qui pourront parfois aller jusqu’à l’ emprise, et c’est la sexualité inconsciente des parents qui sert de base à l’ enfant pour developper les siennes. Autrement dit, non seulement l’ amour est determinant pour s’affirmer sexuellement, mais il faut aussi que l’image du pere ou de la mere ne soit pas devalorisée par l’un ou l’autre des parents comme dans le cas d’une mere abusive ou d’un pere absent produits en masse par la famille monoparentale de notre neomatriarcat en marche.
Le sujet accepte son identité de genre dans la mesure où il integre son corps sexué et reconnaît la difference des sexes à partir du lien qu’il entretient avec ses deux parents. Or dans ce cas l’ enfant puis l’ adolescent retiendra la structure partielle qu’on lui a proposé pour s’eveiller.
D’où ces nouveaux bataillons de gays…
Selon Freud, nous ne naissons ni hétéro ni homo. Il ny a pas de sexualité biologique, naturelle, mais plutot une sexualité differenciée ou immature donc pathologique.
On Observe souvent, dans le cas d’un individu qui refusent de vivre dans la continuité de leur identité sexuée, une identification à une image idéale de l’autre sexe et un rejet d’une image du parent du meme sexe, accablé de tous les maux.
Ainsi de nombreux homosexuels souffrent d’un deficit dans la capacité de relation avec le parent de meme sexe qui conduit à une ambivalence : une mise à distance du parent du meme sexe et une recherche de partenaire de meme sexe avec erotisation. Dans un certain type d’homosexualité masculine, on observe que les hommes veulent etre l’homme ideal que le pere na jamais été, et dans le cas de l’homosexualité feminine, le besoin de se reparer par rapport à la mere et la fuite d’une relation : ne pas desirer un homme pour ne pas detruire l’ eventualité d’une relation positive à la mere. Idem quand l’ enfant male se prend pour son propre objet d’interet à travers le regard de sa mere.
Pour resumer, l’ homosexualité resulterait donc d’un choix d’ objet, induit inconsciemment par les parents dont l’ attitude a fait obstacle à l’integration de la difference des sexes chez le sujet. Et l’ homosexualité serait, selon freud et sa psychanalyse, une perversion, parce que perversion du modele de maturation psychique qu’est l’ oedipe.
L’ homosexualité a disparu de la liste des perversions sexuelles. Non pas à la suite de nouvelles avancés theoriques…
L’ Association des psychiatres américains a decidé, en 1973, de rayer l’ homosexualité de la liste des affections mentales par 5816 voix pour , 3817 voix contre et 367 abstentions.
C’est la seule et unique fois où une question scientifique aussi epineuse a été tranchée, non pas en foction d’ études, d’ analyses et de reflexions sur la question mais par un vote, par l’opinion d’un plus grand nombre….
Le conseil d’ administration et les membres de cette association avaient subi le siege des associations homosexuelles qui cherchaient à les persuader par des conferences, des circulaires et diverses publications de ne plus considerer l’ homosexualité comme un desordre mental. A la suite de ce coup de force, l’ OMS, puis de nombreux pays dont la France, ont rayé à leur tour l’ homosexualité de la liste des affections mentales.
On confond deux ordres de faits : la discrimination des homosexuels, d’ordre politique, et la question de l’homosexualité, du ressort de la psychologie.
Les exactions des Etat totalitaires devraient pourtant nous mettre en garde sur le danger de faire trancher les questions scientifiques par la force publique. Surtout quand on sait que la psychologie homosexuelle consiste justement à vouloir mettre en doute l’ identité de l’autre pour se rassurer, parce qu’elle ne parvient pas à reconnaître la sienne…
Ce que les gays appellent lutre contre l’ homophobie a tout, en réalité, d’une inversiontransfert ; d’une souffrance à etre de l’individu qui se retourne en agression de l’autre. C’est selon la psychanalyse l’ explication la plus plausible.
Selon le Freudisme et malgré la derobade de 1973, l’ homosexualité reste une perversion et que ce pilier de l’ ideologie dominante bourgeoise de gauche qu’est la psychanalyse reste à ce jour la meilleure caution theorique de l’ homophobie.