Je suis entrain d’écrire une thèse d’ordre épistémologique ou devrais-je dire ‘’mathématique appliqué a la psychologie’’.
‘’Notre vie n’est que le produit de nos pensées’’
Chaque idée est un guide, un référentiel, voir un vecteur qui nous dirige, nos oriente et qui mesure instantanément notre comportement.
Je souhaite confronter mes idées pour évaluer les théories qu’apporte ma thèse ou devrais-je dire s’identifier au code source émergent de mon subconscient vers ma conscience.
idéosphere
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musashi
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hypaspiste
- Oeuf éclos
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- Enregistré le : mar. mars 27, 2007 7:09 pm
Je n'y vois là qu'une évidence et n'admets pas qu'il puisse en être autrement. Je m'étonne qu'elle puisse être l'objet d'une thèse. Il est aisé d'accepter que nos réflexions conditionnent notre existence, et que nous agissons en fonctions de celles-ci. Nous ne sommes pas des animaux, et veillons à ne plus agir instinctivement, aussi, tout acte de notre vie est sans doute aucun, du à une analyse concertée de notre entendement, à un jugement somme toute trop hâtif dans certains cas, mais à un jugement tout de même.
Nous n'agissons plus par réflexe, par un conditionnement inné, nous avons acquis une cohérence gestuelle par l'action d'un intellect plus développé, d'une conscience aussi.
On peut pourtant j'imagine, trouver quelques contre-exemples et mettre en avant les maladies mentales, ces cas de folie où les responsables ne le sont visiblement plus et agissent de manière irrationnelles.
Auquel cas on peut pourtant répliquer que ces êtres sujets aux troubles de la psyché agissent malgré tout suivant leurs pensées, bien que dénaturées.
Mais si après tout, la justice ne les considère pas responsables, pourquoi devrions nous en faire autant et les supposer soumis aux introspections de l'esprit.
Nous n'agissons plus par réflexe, par un conditionnement inné, nous avons acquis une cohérence gestuelle par l'action d'un intellect plus développé, d'une conscience aussi.
On peut pourtant j'imagine, trouver quelques contre-exemples et mettre en avant les maladies mentales, ces cas de folie où les responsables ne le sont visiblement plus et agissent de manière irrationnelles.
Auquel cas on peut pourtant répliquer que ces êtres sujets aux troubles de la psyché agissent malgré tout suivant leurs pensées, bien que dénaturées.
Mais si après tout, la justice ne les considère pas responsables, pourquoi devrions nous en faire autant et les supposer soumis aux introspections de l'esprit.