voila, je la remet ici
J'ai laissé tombé la dernière parce qu'elle n'était plus "d'actualité" dans mon esprit, j'avais de plus en plus de mal à écrire des trucs que je ressentais pas, donc j'ai arrêté
en revanche, j'en ai commencé une nouvelle qui va mieux avec mon état d'esprit et ma vision des choses actuels, je m'amuse comme un petit fou à l'écrire, elle est plus "rapide" et un peu plus "rentre dedans"
encore une fois, je la mettrais par morceaux
donc, le début
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___Choisissez
___La lumière de ce nouveau jour réveilla Denis. Il ouvrit d’abord lentement les yeux, puis, ébloui par les rayons frappant son visage, leva sa main pour se protéger. Il cligna des paupières puis s’assit sur le vieux canapé sur lequel il avait dormi. Il demeura idiot quelques minutes, puis se réveilla totalement. La lumière du soleil passant à travers l’immense trou du mur inondait la pièce. Il se leva, lentement, puis s’habilla. Il mit ce même pantalon de toile noir qu’il mettait déjà depuis plusieurs mois. Il avait tenu bon jusque là et n’était pas trop salissant. Les quelques taches de terre qui persistaient ne le rendaient pas moins confortable, pourquoi donc en aurait-il changé ? Il ramassa par terre son t-shirt de la veille, quelque peu froissé et tacheté, lui aussi, de terre brune. Il n’avait pas trop transpiré, le jour précédant, le t-shirt dégageait même une odeur de fraîcheur. Une fois vêtu, il sortit de sa chambre. La porte n’était pas fermée, elle laissait entrevoir une partie du salon, encore vide à cette heure-ci.
___Denis arriva au salon, traînant un peu les pieds. Il bailla, s’étira lentement puis s’approcha de la fenêtre. Le soleil était encore jeune, il rasait la cime des arbres. Jack alla chercher dans le garage quelques oranges qu’il pressa. Il recueillit le jus dans un bol de terre cuite, qu’il vida d’un trait. Il retourna alors dans sa chambre, chaussa ses bottes de cuir et sortit par le trou béant qui séparait presque en deux le mur de briques. Dehors, l’herbe était encore humide, les ombres étaient projetées sur plusieurs mètres. Denis fit quelques pas puis s’arrêta.
___En face, de l’autre côté de la rue, ainsi que sur sa droite et sur sa gauche, les maisons immaculées étaient cernées de hautes grilles de fer ornées de fil barbelé. Denis les considéra tristement. Soudain sur sa gauche, un bruit mécanique le fit sursauter. Il tourna la tête en direction du garage voisin. La lourde porte métallique bougeait. Les verrous se débloquant se firent entendre bruyamment pendant quelques secondes. Puis la porte bascula, lentement. Peu à peu apparu une superbe Mercedes noire. Pendant ce temps, l’étroite porte de fer donnant accès à la maison s’ouvrit, machinalement. Denis aperçu son voisin, l’air ahuri, sortir sans se soucier de refermer la porte derrière lui. Celle-ci le fit toute seule. L’homme se figea, à quelques pas de sa porte, puis attendit. La porte du garage s’était enfin totalement ouverte. La Mercedes se mit subitement en marche puis recula jusqu’à hauteur de son propriétaire. Sa portière avant gauche s’ouvrit. L’homme s’installa au volant, non sans avoir jeté un regard haineux à Denis. Il saisit alors la paire de menottes attachée au volant, puis la referma sur son poignet gauche. La voiture démarra lentement puis s’éloigna dans la rue avant de disparaître.
___Denis, envahi par une sensation de tristesse, demeura quelques minutes immobile, ne sachant trop que penser. Un léger sourire se dessina finalement sur son visage et il sortit, passant entre deux morceaux de grillage déchiquetés.
___Le réveil sonna, impitoyable. Philipe voulait dormir quelques instants encore mais déjà le rideau d’acier se levait, laissant le soleil envahir la pièce. Le petit réveil mécanique devenait de plus en plus bruyant, agressif. Philipe se leva. Avant même que ses pieds ne touchèrent le sol, un tiroir métallique lui présenta son costume du jour, proprement plié et prêt à l’usage. Un petit écran électronique en bas du tiroir affichait la date du jour, le mois et même l’année. En dessous, l’heure s’écoulait, seconde par seconde, lui rappelant combien son temps était précieux. Il s’habilla, aussi vite qu’il put, la porte de sa chambre s’était déjà ouverte à lui.
___En passant dans le salon, il vit la porte de la chambre de Denis, grande ouverte, et put apercevoir l’immense trou qui ornait le mur du fond. A la vue de ce trou, il baissa aussitôt la tête, et, avec une expression mêlant mépris et amertume, fonça vers la cuisine. Le tapis mécanique sortant de l’imposante machine s’arrêta au moment où il entrait. S’y trouvaient une tasse de café, une tartine beurrée, un verre de jus d’orange et une pomme verte. Philipe compris alors qu’il était en retard. Sa panique ne fit que grandir au moment ou il entendit glisser les verrous de la porte du garage. Après avoir tant bien que mal avalé son petit déjeuner, il se dirigea vers la porte du salon, déjà grande ouverte. Sa voiture s’était déjà immobilisée au niveau de l’entrée et semblait s’impatienter, donnant quelques rapides coups de klaxon. Philipe monta à son bord, s’attacha le poignet au volant et partir pour son travail. Alors qu’il longeait la rue, toutes les habitations de la ville semblaient s’animer à l’unissons. Les volets s’ouvraient, les voitures venaient se garer devant les portes qui s’ouvraient à leur tour, et les gens partaient au travail après s’être menotté à leur engin.
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Peut-ête celle là comme l'autre n'interessera personne mais ça, c'est le dernier de mes soucis ^^
***Ajout :***
hehe allez je met déjà une suite, celle là va plutôt vite et j'ai changé de "mode de travail" (j'avoue qu'alors notre grand ami Bernard m'a inspiré de par sa... son "introduction" à "L'arbre des possibles" )
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___A quelques maisons de là, un réveil sonna dans une chambre, réveillant à son tour un homme d’une trentaines d’années. Son rideau se leva. L’homme s’assit sur le bord de son lit et tenta de dissiper ce qui lui restait de sommeil. Il ferma les yeux et bailla en s’étirant, lentement. Lorsqu’il les rouvrit, son costume lui était déjà présenté et la porte de sa chambre était en train de s’ouvrir. Quelques secondes durant, il sentit la colère l’envahir. Il désirait se précipiter au garage et placer le petit interrupteur rouge placé sous le compteur électrique en position « OFF ». Cela aurait eu pour effet d’ouvrir toutes les portes, désactiver toute la machinerie de la maison et du jardin. Il en avait envie. Il hésitait. Il ne voulait plus être dépendant de sa vie, il voulait, pour une fois au moins, décider lui-même de son mode de vie.
___La sonnerie de machine à repas le tira de sa rêverie. A quoi venait-il de penser ? Peu importe Plus le temps de penser. Son petit déjeuner était prêt et il n’était même pas habillé ! Il se précipita, englouti sa tasse de café, sa tartine beurrée, son jus d’orange et pris sa pomme avec lui. Les coups de klaxon de sa voiture devenaient de plus en plus agressifs. Il s’assit au volant, se menotta et sa voiture l’amena à son travail.
___Il avait déjà dix minutes de retard. Tous ses collègues étaient déjà au travail. Il entra, sous leurs regards hostiles, en essayant de se faire discret quant à son patron. Hélas, celui-ci l’attendait. Il avait pris place dans son bureau, siégeait sur le fauteuil de notre homme. La lourde chaîne pendait du dossier, dans le vide, le collier ouvert. Il fut alors pris d’effroi. Son supérieur lui annonça son renvoi. L’homme avait beau supplier, pleurer, son patron ne voulut rien entendre. Deux retards dans le même mois étaient impardonnables. Le soir même, l’administration serait informée et toutes les machines seraient désactivées chez notre homme. Des larmes coulèrent sur son visage lorsque son patron lui enleva les chaînes qui retenaient liés ses deux pieds. Il ne faisait désormais plus partie de l’entreprise.
___William était désormais libre. Une fois ayant franchi le seuil du bâtiment, il fondit à nouveau en larmes et tomba à genoux sur le trottoir. Comment allait-il pouvoir se reconvertir ? Exempt de contraintes, il serait incapable de survivre dans cette société. Les gens allaient et venaient autour de lui, sans même lui accorder un simple regard. Tous avaient trop peur d’arriver en retard à leur travail.
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***Ajout :***
allez, encore un morceau de suite, et ça s'enchaîne :
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___Denis se dirigeait vers le centre ville. Il ne savait pas trop où il allait, il n’allait d’ailleurs sans doute nulle part. Il se contentait d’errer dans les rues et d’observer le monde autour de lui, cela faisait partie de ses passe-temps favoris. Il aimait bien « étudier » les meurs de ceux qu’il appelait tout simplement « les gens ».
___C’était là sa grande prétention. Il se sentait parfois différent de ses semblables, tout en restant conscient que ce n’était pas le cas. Souvent, il se sentait loin d’eux, il n’arrivait pas toujours à les comprendre. Il pouvait passer des heures à les observer allant et venant sur la place publique. Il avait parfois l’impression d’être seul et de regarder le monde à travers une vitrine, mais n’était pas toujours sur de savoir qui, de lui ou des gens, était de quel côté de la vitre. Ce constat le rendait parfois triste, il n’avait encore jamais rencontré de personne ayant adopté de mode de vie similaire au sien. Il avait même déjà hésité et hésitait encore parfois à abandonner ses valeurs et à passer de l’autre côté de la vitre. Il lui arrivait de penser que s’il était vraiment le seul, il devait forcément avoir tort quelque part. Quelque chose avait dû lui échapper. D’autres fois il pensait être le seul dans la raison, mais cette pensée lui faisait horreur. Pourtant, il ne s’était jamais décidé et savait qu’il ne se déciderait jamais à abandonner ce qu’il appelait « son intégrité ». Qu’il soit dans le tort ou dans la raison, en supposant que certains aient tort et d’autres raison, il n’abandonnerait pas sa personnalité. Il consentait pour l’instant à vivre à avancer seul. Cela le faisait souffrir mais la seule idée de renoncer à ce qu’il était le déprimait.
___Il marchait, lentement, sur le bord de la route. Arrivé à l’entrée du centre ville, une grande surface se dressa sur sa gauche. C’était un immense bâtiment recouvert de sombres miroirs, qui renvoyaient du triste paysage une image presque noire. Denis, pour une raison qu’il ne s’expliquait pas, de la curiosité peut-être, franchit l’immense porte vitrée pour se retrouver dans le hall d’entrée. Mais une autre porte, opaque, celle-ci, lui barra alors le passage. Il avait oublié, en entrant, que les grandes surfaces n’étaient ouvertes qu’aux consommateurs. Or, lui n’avait rien de spécial à acheter. Il aurait très bien pu sélectionner quelques produits peu chers sur le cadran qui se présentait à lui, l’accès lui aurait été autorisé. Mais il fallait en pré-sélectionner un certain nombre, il y avait une somme minimale à dépenser pour se voir autoriser l’accès, et il n’avait pas cette somme. En outre, il ne voyait pas l’intérêt de donner de l’argent pour des produits qui lui auraient été, de toutes façons, totalement inutiles. Il abandonna alors l’idée de « visiter » le bâtiment et fit demi-tour.
___S’apprêtant à sortir, il manqua de bousculer un homme qui entrait dans le hall. Sans lui prêter trop d’attention, il l’observa quelques secondes. L’homme s’approcha du cadran et commença à sélectionner quelques produits. Puis, il en retira un certain nombre de sa liste, pour les remplacer par d’autres, qu’il retira à leur tour. Il semblait hésiter. Au bout de quelques minutes, il réduisit sa sélection à quelques produits alimentaires dont le prix total ne dépassait pas quelques pièces et se décida à la valider. Une voix électronique se fit alors entendre.
- Consommation insuffisante. »
___L’homme sembla d’abord stupéfait, puis rapidement sur son visage se dessina une expression de colère. La machine afficha alors un choix de produit qui complèteraient sa consommation pour lui permettre d’entrer. Il explosa.
- J’ai pas besoin de tout ça… J’ai pas besoin de tout ça ! Pourquoi il doit y avoir une consommation minimale ?! J’ai pas besoin de toutes vos merdes, je veux juste de quoi manger ce soir !
- Veuillez sélectionner un des produits ci-dessus, reprit la machine. »
___L’homme hurla un coup en frappant du pied sur la machine. Sa rage lui mettait les larmes aux yeux. Il tremblait. Denis s’approcha de lui et se risqua à prendre la parole :
- Pourquoi vous complétez pas votre conso pour pouvoir entrer ? Une fois dedans vous n’aurez qu’à prendre que ce dont vous avez besoin.
- Non, fit l’homme, lorsqu’on fait la sélection ils relèvent l’empreinte de la carte bleue et si on n'achète pas tout ils nous collent un procès. »
Il resta un moment immobile, tremblant de colère, puis il reprit :
- C’est aberrant, ce système… c’est du chantage ! Ils nous imposent des trucs qui nous servent à rien, on ne peut pas n’acheter que ce dont on a besoin pour vivre ! On n’a même plus le DROIT de vivre ! »
___Son regard restait fixé sur la machine qui semblait le narguer. Denis considérait cet homme qui était en train se révolter contre la société dans laquelle il vivait. D’habitude, les gens achetaient les produits qu’on leur imposait sans discuter, ils trouvaient cela normal. Ou ils ne voyaient pas, en tout cas d’autres alternatives. Même si quelqu’un avait trouvé ça illogique ou odieux, il s’y était résolu. Mais cet homme, lui, allait se retrouver à court de vivre pour ne pas s’être soumis à la volonté d’une machine.
___L’homme fit alors demi tour, lentement, et sortit du hall la tête basse, sans même se soucier de la présence de Denis. Il passa devant lui sans même le voir. Denis le regardait s’éloigner, lentement, sur le parking. Il se sentait intrigué par cet homme. Celui-ci arriva au niveau de sa voiture, puis, après quelques secondes d’hésitation, partit à pied, non sans avoir jeté ses clefs dans une poubelle.
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***Ajout :***
potom potom.....
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___William, après son renvoi, avait beaucoup réfléchi à sa situation et avait finit par se dire que tout compte fait, il y avait peut être là une chance à saisir.
___Il avait déjà été renvoyé, quelques années plus tôt, se retrouvant comme à cet instant privé de contraintes et du soutient de ses possessions. Il avait alors ressentit quelque chose d’incroyable. Un émotion effrayante s’était emparée de lui. Il avait douté. Il s’était efforcé de réfléchir à sa condition, à son mode de vie. Pendant quelques jours, il avait pu décider lui-même de son train de vie. Il se levait et se couchait quand il voulait. Il décidait lui-même du contenu de ses repas, les préparait seul. Il allait où il voulait, quand il voulait. Ses portes, ses volets, sa voiture, son réveil et même sa télévision étaient « endormis ». Ainsi que tous ses objets. Il les contrôlait tous. Et, par-dessus tout, personne ne se trouvait « au-dessus » de lui, personne n’était là pour lui donner des ordres, décider à sa place. Mais cela l’avait effrayé. Il s’était empressé de trouver un nouvel employeur, de mettre un terme à cette liberté atroce. Dès lors, il ne ressentait de nouveau plus rien. Il se contentait de faire ce que l’on lui disait, de vivre comme on le lui disait. Néanmoins, de temps en temps, cette émotion mystérieuse lui était revenue. Elle lui était revenue enveloppée de nostalgie, ou d’une sensation de manque. Cela l’effrayait encore plus, il avait eu des problèmes d’insomnie et des crises d’angoisse qui l’avaient souvent gêné dans son nouveau travail. Mais l’impact restait minime. Puis, pendant sept mois, les crises avaient cessé, il avait alors pu sombrer dans l’insouciance et dans le doux confort de la routine. Malheureusement, le huitième mois, les crises étaient revenues, plus violentes encore qu’avant, et avaient été la cause, d’ailleurs, des deux retards qui avaient provoqué son nouveau renvoi. Seulement cette fois-ci, il essayait d’y voir une opportunité, de se persuadant que tout cela devait avoir un sens.
___Il avait tout de même très peur. Certes, il préparait lui-même ses repas et décidait de leur teneur, mais après des années de dépendance à sa machine à repas, il ne savait pas cuisiner. Il se levait et se couchait quand il voulait, c’est vrai, mais il ne savait rien faire d’autre que travailler. Ainsi, il ne savait que faire de ses journées, se sentait écrasé par le poids de l’ennui. Enfin, sans travail, il ne gagnait plus d’argent. Il ne pourrait bientôt plus se nourrir, ni payer l’électricité ou même l’eau. Il ne pourrait plus non plus payer sa télévision. Enfin, ne pouvant plus nourrir sa banque, celle-ci avait sans doute déjà mis en attente les innombrables assurances qu’elle lui avait accordées, et ne tarderait pas à les lever définitivement. Il est vrai que les tremblements de terre étaient peu courants dans cette région, et qu’il n’avait jamais connu d’invasion de rat ou de blattes, ni même de cafards. En outre, sa maison étant faite de briques, de ciment et d’une charpente en aluminium, une assurance contre les termites pouvait sembler inutile. Mais il est bien connu que c’est lorsqu’on est le plus vulnérable que les ennuis surviennent. Ce n’était pas pour rien que de telles assurances existaient, si sa banque les lui avaient proposées, c’est que le danger était bien réel et présent. Quoi que…
___William fut saisi par le doute. Jusqu’ici son champ de pensée s’était limité à ce que l’on lui avait apprit. Mais il oublia quelques secondes tout ce qu’il savait et se mit à réfléchir. Après tout, en quoi pouvait bien lui être utile une assurance contre les « débris aériens ou spatiaux » ? Les chances pour qu’une météorites s’écrase sur sa maison étaient-elles si élevées ? Si tel était le cas, que resterait-il, de toutes façons, de sa maison ayant subi un tel impact ? Serait-il d’ailleurs toujours en vie pour le constater ? Une assurance couvrant les « situations de guerre » allait-elle réellement lui servir à quelque chose, en admettant que la guerre frappe un jour aux portes du pays ? Qu’est-ce qu’une banque pourrait bien faire pour lui dans ce cas là ?
___La seule fois où il avait fait appel à elle, sa maison avait été ravagée par un incendie à la suite de l’explosion de sa gazinière, mais son assurance n’avait rien voulu entendre. William n’avait pas eu en main une partie du contrat qui spécifiait que « seuls les incendies d’origine criminelle ayant entraîné la perte d’une membre de la famille habitant le foyer touché par le sinistre » étaient couverts. En outre, l’assurance couvrant les explosions de gaz ne prenait en compte ni les explosions dues à un mauvais fonctionnement de la machine, ni à celles dues à une mauvaise utilisation de celle-ci. Il avait donc du payer, en plus des réparations, du remplacement de tout l’ameublement et de la machinerie, une amende représentant plus de quatorze mois de salaire pour « tentative d’escroquerie » envers sa banque. Il l’avait payée et était encore, à l’heure actuelle, submergée par les dettes qu’il s’était endossé. Il avait, jusqu’ici, trouvé tout cela normal. Il avait pris à compte tout ce qui lui était arrivé. Mais il commençait à y voir clair.
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P.S merci pour vos nombreux avis et commentaires, très constructifs, ils m'aident beaucoup me dois-je de vous avouer
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