C'est peut-être moi qui ait écrit ça, si c'est le cas, je m'en excuse, c'était en fait pour moi-même, je sais que si ce qui est arrivé à ta tante m'arrivait, je ne pourrai sans doute me résoudre à me voir mourir, dignement ou pas, je n'en aurai pas la force.Micro a écrit :Biensur que l'on euthanasira jamais ce qui veulent vivre mais ce n'est pas cce que j'ai voulut dire. Ce que je veux dire c'est que ma tante a été forte et digne jusqu'au bout contrairement à ce que disent certains. Un truc comme "veux-tu mourir dignement ou déperrir à petit feu". Je ne veux pas savoir qui a dit ça et c'est pour ça que je ne le dis pas je m'en fiche. L'important c'est que quelqu'un le pense et il n'y a sans doute pas que lui. Je veux dire, si ma tante, une humaine comme les autres, a sut se battre et mourire dignement c'est que d'autres peuvent le faire. D'autres humains comme les autres. Je sais que chaque maladie est différente mais le problème n'est pas là le problème et là "la malade a-t-il "envie" de se battre ou pas ?". A partir de ce point je pense que tout le monde devrait avoir le choix.
Mais je crois que ta tante faisait partie des exceptions... Quand tu vois ton corps mourir à petit feu, dans le cas de cancer foudroyants, que tu sais ta fin proche et douloureuse, je n'ose pas imaginer ce qi se passe dans ta tête.
Ma tante aussi est morte d'un cancer généralisé, qui l'a tué petit à petit en un an à peine.Je ne reviedrais pas sur l'injustice de la chose, elle a toujours eu une vie saine. Elle a énormément maigri, la chimio a sans doute aidé son corps à dépérir plus vite.. Je sais que même si elle était entourée, que son mari l'a accompagnée jusqu'au bout, elle aurait préféré avoir à lui donner cette image d'une femme diminuée... Je veux dire par là qu'elle ne faisait plus que la moitié de son poids, elle ne reconnaissait plus personne... C'était son rêve, mourir comme elle l'aurait voulu... Mais elle n'en a pas eu le droit.Et ça c'est pas juste.
Que cux qui veulent se battre le fassent, tout le monde approuvera, la loi aussi, mais que ceux qui souhaitent aandonner au bord de la route car la côte à grimper est trop raide est longue, ça, la loi semble incapable de le comprendre.
Ce que je veux, c'es avoir le choix de pouvoir dire stop en cas de maladie comme celle de ma tante, savoir que si la douleur est trop insurmontable, une porte s'ouvre à moi... C'est pas trop demandé, non ?? Choisir sa propre mort, ça semble tellement évident..