freud et compagnie

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sandlo
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freud et compagnie

Message par sandlo »

Que pensez vous des psychothérapies? Pensez vous qu'il faille travailler son passé pour aller de l'avant????
Personnellemnt, je crois qu'il faut en ressentir le besoin, que c'est une démarche intime, qui aboutit à une meilleure connaissance de ses propres schémas, représentations personnelles, afin de débloquer des noeuds psychiques que l'on conserve avec soi.
Je pense que mettre en lien les différentes époques de notre vie permet de trouver ce qui peut nous bloquer quelques fois dans notre présent

Par contre, je pense qu'il ne faut pas passer sa vie à faire une psychothérapie et qu'un moment ou un autre, il faut apprendre à se confronter à la vraie vie, sans l'analyser. Qu'il faut avoir confiance en ses appuis et valider qui l'on est.
A toujours vouloir descendre plus loin dans le puit de sa propre découverte, on risque d'y laisser quelques plumes. :shock:
"Il n'y a rien de permanent sauf le changement" Bouddha.
boz
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Message par boz »

Par contre, je pense qu'il ne faut pas passer sa vie à faire une psychothérapie et qu'un moment ou un autre, il faut apprendre à se confronter à la vraie vie, sans l'analyser.
D'un autre côté j'ai des exemples (très proche) de personne qui ont commencé des thérapies sans les finir (de leur faute ou de la faute du thérapeute qui pensait qu'il n'y avait plus rien à faire) ... et là c'est la catastrophe. Le résultat est pire que s'il n'y avait pas eu de thérapie!

Je trouve qu'il y a aussi beaucoup de psy (chiatres ou chologues) qui dans leur manière de guérir font plus de mal que de bien.
C'est pas une généralité, ma fille par exemple est parfois suivi par une psychologue et le travail (et surtout les résultats) sont probants et utiles.
Mais parfois je me demande dans quel sens le psy veut amener certains patients. J'en viens même à me demander si certains ne sont pas des charlatans ...
Quelques exemples :
- une personne qui voit tou en noir : le thérapeute essaie de lui dire que rien n'est de sa faute (surtout pas son comportement) mais que ce qui lui arrive, c'est la faute des autres (et uniquement ça!)
- une personne alcoolique suit une cure de désintox puis quelques mois plus tard rechute : le psy lui explique qu'il n'est pas alcoolique
- la psy généalogiste : ce qui vous arrive, c'est dû à votre date de naissance qui est la même que celle d'un de vos lointains ancêtre. Cet ancêtre a dû faire de la prison, ête violée, ... ou je ne sais quoi d'autre
- le psy dit : votre état de dépression est la faute à vos parents qui vous frappaient (alors que la personne n'a jamais été battue dans le sens ou on l'entend, peut être parfois sévèrement puni mais de là à dire battue, il y a une marge)

Vous allez vous dire que j'exagère mais non. C'est du pur vécu. Un peu brut de décoffrage et rapidement expliqué mais bien résumé quand même.

Personnellement, je pense qu'il vaut mieux éviter de commencer ce genre de thérapie et arriver à réfléchir sur soi.
Si la thérapie devient indispensable, il ne faut pas hésiter à changer (très rapidement) de thérapeute si on ne sent mal avec lui. Il faut être franc à 100% (malgré tout ce que j'ai pu entendre, il est possible de mentir et de fairte croire que c'est la vérité). Et comme tu le dis sandlo, il faut accepter de tout remettre en question quitte à y perdre des plumes
sandlo
Nymphe des bois
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Message par sandlo »

C'est que selon l'approche du psy on peut vite être embrouillé, c'est mieux d'être en confiance avec son thérapeute.
Il ne sert à rien de mélanger l'eau pour qu'elle se trouble, si c'est pour la laisser dans cet état, je suis d'accord que parfois il ne vaut mieux rien commencer, si on ne veut pas y mettre un peu du sien.
Le psy doit être prêt à nous faire prendre conscience de ce qui nous fait souffrir et que l'on ne veut pas forcément voir, et peut nous aider à trouver la clé pour ne plus rester dans cette eau boueuse qui nous empêche d'être mieux avec soi même avant tout.

Après, il y a les défenses de l'individu qui au cours de sa psychothérapie, lui font penser qu'il en assez dit et s'en va. C'est ce qu'il ressent sur le moment, et peut être qu'il ne reverra plus aucun spécialiste de sa vie. Mais peut être aussi que des années après, avec d'autres symptômes , il ira consulter pour ne plus avoir d'angoisse, de peurs, de TOC, d'anorexie, de boulimie, de tremblements, de penséees suicidaires....enfin tout ce qui peut traverser l'âme humaine... ;-)
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Noosnote
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Message par Noosnote »

Pour moi la psychanalyse est avant tout une science, qui étudie un aspect de la pensée humaine. Il est tout à fait possible de faire de la psychanalyse sans faire de psychothérapies.
Quant aux psychothérapies, elles sont basées, sur de nombreuses règles. Par exemple, il ne faut pas donner son analyse "cash" au patient, et le laisser modifier lui-même ses processus psychiques. C'est à Dire que le patient doit découvrir par lui-même pourquoi il va mal et s'auto soigner d'une certaine manière.
Après les théories peuvent différer d'un psychanalyste à l'autre selon son "école". C'est une discipline qui demande de nombreuses années d'études au préalable, si elle n'est pas correctement appliquée, elle peut effectivement faire plus de mal que de bien. Par contre bien faite, elle peut être très bénéfique! Il existe bien malheureusement de nombreux charlatans, et c'est pour cela que mon conseil serait de toujours se renseigner au préalable des qualifications du psy chez qui on voudrait aller avant tout choses!
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Canard
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Message par Canard »

Juste une petite précision : le titre de "psychanalyste" n'est pas protégé pour l'instant en France.
Seuls le sont les titres de psychologe ou de psychiatre (c'est à dire des gens ayant suivi un cursus reconnu).
Le problème c'est qu'actuellement le flou existant, certains s'installent en tant que "psychanalyste" alors qu'ils n'ont juste qu'une petite formation.

Après je crois que les thérapie peuvent aider à se sentir mieux, maintenant je pense qu'il est idiot d'aller voir un thérapeute pour faire plaisir à son entourage ou ce style de chose.
Il faut également garder à l'esprit que la psychologie est tout de meme une science récente, qu'elle est jour après jour en crise depuis un siècle, que les idées s'affrontent et que petit à petit la discipline se construit.
Gardons à l'esprit qu'un thérapeute n'est pas un magicien non plus.
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Couve ton oeuf camarade!! :)
magic berber
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Message par magic berber »

La psychanalyse en est encore à ses débuts, c'est évident, mais rappellons bien que c'est une science, trop souvent dénigrée du fait de son jeune âge - ou tout simplement parsqu'elle traite de l'esprit, encore tabou pour beaucoup.

J'aimerais éclaircir certains points ...

- une personne qui voit tou en noir : le thérapeute essaie de lui dire que rien n'est de sa faute (surtout pas son comportement) mais que ce qui lui arrive, c'est la faute des autres (et uniquement ça!)
D'un autre côté, il ne va pas dire à son patient "c'est entièrement de votre faute, suicidez-vous, le monde ne s'en portera que mieux!
- une personne alcoolique suit une cure de désintox puis quelques mois plus tard rechute : le psy lui explique qu'il n'est pas alcoolique
Il tente de le persuader qu'il ne l'est pas, et s'il y arrive, le patient ne le sera effectivement plus, vu que l'alcoolisme est une maladie totalement psychologique.
- la psy généalogiste : ce qui vous arrive, c'est dû à votre date de naissance qui est la même que celle d'un de vos lointains ancêtre. Cet ancêtre a dû faire de la prison, ête violée, ... ou je ne sais quoi d'autre
J'appelle ça une diseuse de bonne aventure, ou une astrologue.
- le psy dit : votre état de dépression est la faute à vos parents qui vous frappaient (alors que la personne n'a jamais été battue dans le sens ou on l'entend, peut être parfois sévèrement puni mais de là à dire battue, il y a une marge)
Le psy ne dit pas que ça, et d'ailleurs lorsqu'il le dit, il touche souvent juste. De plus, lorsqu'un enfant est "sévèrement puni", il suffit qu'il considère cela comme s'il avait été "battu" pour que le traumatisme s'installe. Peu importe les faits réels, le traumatisme vient du patient lui-même.
keloshni
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Message par keloshni »

magic berber a écrit :La psychanalyse en est encore à ses débuts, c'est évident, mais rappellons bien que c'est une science, trop souvent dénigrée du fait de son jeune âge - ou tout simplement parsqu'elle traite de l'esprit, encore tabou pour beaucoup.
Et bien justement c'est un peu tendancieux ca. Parce que l'existence de l'esprit n'est ni affirmée, ni infirmée par la science. Du coup la psychanalyse est essentiellement empirique.
magic berber a écrit :Il tente de le persuader qu'il ne l'est pas, et s'il y arrive, le patient ne le sera effectivement plus, vu que l'alcoolisme est une maladie totalement psychologique.
Etant donné que l'addiction physique est réelle, ca ne peut pas être une maladie totalement psychologique.
magic berber a écrit :
- la psy généalogiste : ce qui vous arrive, c'est dû à votre date de naissance qui est la même que celle d'un de vos lointains ancêtre. Cet ancêtre a dû faire de la prison, ête violée, ... ou je ne sais quoi d'autre
J'appelle ça une diseuse de bonne aventure, ou une astrologue.
La science moderne ne peut aucunement remonter au-delà de la naissance (A. Jacquart la nomme le 'big-bang' de l'être humain^^). A partir de là...bin justement^^, je rejoins Magic Berber.
magic berber a écrit :Peu importe les faits réels, le traumatisme vient du patient lui-même.
Oui. De la facon qu'on a de considérer ce qui nous entoure.
magic berber
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Message par magic berber »

Et bien justement c'est un peu tendancieux ca. Parce que l'existence de l'esprit n'est ni affirmée, ni infirmée par la science.
L'existence de l'esprit est affirmée, non pas en tant qu'une entité distincte, mais plutôt comme une accumulation de faits, de pensées, d'opinions.
Etant donné que l'addiction physique est réelle, ca ne peut pas être une maladie totalement psychologique.
L'addiction physique est bien moins intense que l'addiction mentale. Un alcoolique aura à 90% des cas une raison de l'être, une déprime, un mal profond.
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Message par keloshni »

magic berber a écrit :L'existence de l'esprit est affirmée, non pas en tant qu'une entité distincte, mais plutôt comme une accumulation de faits, de pensées, d'opinions.
Nous ne parlons pas de la même chose. Les paramètres que tu cite sont ceux qui participent à définir la personnalité, ce qui nous distingue de nos congénères (en dehors de notre matériel génétique).
La psychanaliyse fait appel à d'autres concepts, l'inconscient pathogénique et le déterminisme psychique de la sexualité enfantine. Et ca ce sont des notions dont l'existence ne peut être démontrée. Ni infirmée. Du coup la psychanalyse ne répond pas au critère de réfutabilité de Popper et ne peut pas être considérée comme une science.

http://www.pseudo-medecines.org/article ... g=fr&pg=26
magic berber a écrit :L'addiction physique est bien moins intense que l'addiction mentale. Un alcoolique aura à 90% des cas une raison de l'être, une déprime, un mal profond.
Les 'delirium tremens' et les crises de manque sont tout à fait réels..

Sinon pour revenir au sujet, je crois qu'il faudrait vraiment séparer les notions de 'psychanalyste', 'psychologue' et 'psychiatre' qui n'ont ni la même approche, ni les mêmes compétences.

Et je crois aussi, que quelque soit le type de thérapie choisi, elle sous-tend un processus et une implication personnelle, comme certain l'ont souligné.
Après, ceci ne peut pas être valable pour tout, mais si la tendance immédiate était de se confronter à nos problèmes/erreurs plutot que d'oublier/fuir, ca aurait valeur de 'prévention', et ca permettrait de faire le 'tri' entre la foule hétéroclite qui se présente à la porte de ces bouées de sauvetage.
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Message par Grey_jackal »

La psychanalyse en est encore à ses débuts, c'est évident, mais rappellons bien que c'est une science, trop souvent dénigrée du fait de son jeune âge - ou tout simplement parsqu'elle traite de l'esprit, encore tabou pour beaucoup.


La psychanalyse est surtout une science qui n'a passé aucune étape de vérification quant à la validité de ses théories et dont les résultats sont forts douteux, comparés aux méthodes psychatriques plus modernes, basées sur les résultats des neurosciences.
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Message par Erratique »

Dans la plupart des dépendances, il y a un volet psychologique et un volet physique, inutile de chercher à savoir lequel prédomine car ça dépend totalement des personnes.


Les méthodes psychiatriques modernes passent souvent par des antidépresseurs, des anxiolytiques, etc. Bref, on soigne les dérèglements hormonaux, comme s'ils étaient la cause et non la conséquence d'un mal-être psychique. Le corps agit sur l'esprit autant que l'esprit agit sur le corps, et si certaines "dépressions" (au sens large pour désigner tous les désordres psychiques) sont effectivement purement métaboliques, ce n'est que très rarement le cas. Et les dépressions conjoncturelles se soignent bien mieux par la parole que par les médicaments, car la psychothérapie va chercher les causes de ce mal-être.


En théorie en tout cas.
Quand mes parents ont divorcé, ils ont jugé utile de m'emmener voir "un psy", pour être sûr que j'aille bien (et comme j'avais bien d'autres "problèmes" à côté, je me suis dit "pourquoi pas"). Le premier était un psychiatre, totalement incompétent à mon sens. Il a commencé par me faire faire un arbre généalogique de toute la famille, alors que cette notion n'a que peu d'importance dans ma vie (sauf la famille "restreinte", parents, fratrie, grands-parents). Bref, j'ai rapidement lâché prise, sentant que "ça ne collait pas".

La deuxième était une psychologue, avec qui le courant passait déjà mieux, m'enfin bon... Je vis beaucoup au "ressenti", et le fait de me demander des exemples concrets systématiquement pour illustrer mes propos avait tendance à me gonfler un peu. Je ne m'étais pas senti assez en confiance pour aller au fond des choses (et il y a beaucoup de choses à creuser dans ma vie psychique :lol:), et pour le peu qu'on a "fait"... "Si vous n'aimez pas le nouveau petit ami de votre mère, c'est parce qu'il prend la place de votre père, c'est normal, blabla". Non, si je ne l'aimais pas c'est parce que c'était un vrai connard, qui lui parlait mal, foutait les pieds sur la table, et était totalement irrespectueux et lourd. Quand il a confondu un pistolet de défense avec un jouet (pourtant, il y a une différence de poids... et de plomb) en me tirant une balle dans le bras, et qu'il ne s'est pas même excusé, continuant à être mort de rire, tout le monde a rejoint mon opinion sur lui. Or comme j'étais à présent d'accord avec tout le monde, il n'y avait plus de problème à résoudre... :lol: Merci au revoir !

Par la suite, j'ai préféré m'en tenir à une analyse personnelle, essayer de comprendre mes réactions tout seul, etc. Ca et ma rencontre du stoïcisme au détour des cours de latin, ça m'a permis de changer et d'atteindre une très bonne sérénité...
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Message par eragon06 »

Bon on va continuer à incendier Freud et la psychanalyse ici alors
Tout d'abord la psychanalyse n'est rien d'autre qu'une pseudo science, ne bénéficiant d'aucune étude, ni d'empiricité, elle est figé, la psychologie elle oui évolue, ses pratiques, approches, thérapies changent et évoluent, de nouvelles formes apparaissent.
La psychanalyse n'est basé que sur des élucubrations, sur rien de concret, sur aucunes études sérieuse, ni de nombreux cas clinique.
ça m'énerve cette confusion entre la psychanalyse et la psychologie, en psychoologie sont nés des thérapies assez brèves, des thérapies de groupes et même des thérapie en marchant qui donne d'assez bon résultat.
Pour la plupart des maladies mentales il est utile de conjugeur une psychothérapie avec des médocs, bien que ceci sont trop rapidement prescrit et trop lourd en effets secondaire oui.
Puis un homme tout seul n'a jamais fondé de thérapies ou de science, la psychanalyse n'en est pas une, ce n'est rien d'autre qu'une pseudoscience inefficace, qui à ralenti l'essor de la psychologie et psychiatre et qui pourrit encore un peu par ses théories en bois.
La deuxième était une psychologue, avec qui le courant passait déjà mieux, m'enfin bon... Je vis beaucoup au "ressenti", et le fait de me demander des exemples concrets systématiquement pour illustrer mes propos avait tendance à me gonfler un peu. Je ne m'étais pas senti assez en confiance pour aller au fond des choses (et il y a beaucoup de choses à creuser dans ma vie psychique ), et pour le peu qu'on a "fait"... "Si vous n'aimez pas le nouveau petit ami de votre mère, c'est parce qu'il prend la place de votre père, c'est normal, blabla". Non, si je ne l'aimais pas c'est parce que c'était un vrai connard, qui lui parlait mal, foutait les pieds sur la table, et était totalement irrespectueux et lourd. Quand il a confondu un pistolet de défense avec un jouet (pourtant, il y a une différence de poids... et de plomb) en me tirant une balle dans le bras, et qu'il ne s'est pas même excusé, continuant à être mort de rire, tout le monde a rejoint mon opinion sur lui. Or comme j'étais à présent d'accord avec tout le monde, il n'y avait plus de problème à résoudre... Merci au revoir !
Ceci en est une preuve, ce que cite Erratique n'est rien d'autre qu'une résurgence psychanalytique.
Il y'a des thérapies plus efficaces, beaucoup plus courtes et moins chers.
La psychanalyse n'a jamais soigné quelqu'un et Freud avait déjà des contestataire de son époque, de plus être psychanalyste ne nécessite aucuns diplôme.
Enfin le problème c'est que c'est uns des pays, la France, industralisé ou il y'a le plus de psychanalyste, ce qui à l'air peu efficace quant on voit la santé mental des français.
De plus Freud ayant inventé sa pseudoscience sous influence de la cocaïne, accentuant son côté irrationel en lui.
Regarde un peu le nombre d'expèriences, d'étude inutile qui ont blessé son narcissimes, qu'il à fait en tant que médecin, en cherchant les testicules d'angilles, sa coloration des bactèries et des neurones est un échec, de même que sa théorie sur les neurônes.
Et puis son affirmation comme quoi la cocaïne guérirait de l'addiction à la morphine, en affirmant que son patient qui était soigné par la cocaïne allait bien alors qu'il allait très mal.
Dans ses théories il ne bénéficie souvent d'aucuns cas cliniques, ou de très peu.
Et la mémorable humiliation qu'il à subi en octobre 1886 par la société impériale des médecins de Vienne?
Et quant il à commencé à étudier l'hystèrie, il préconise à ces malades de la morphine, de l'hypnose, de la cocaïne, des bains de mer, du dépaysement, de la cure de repos, de la suralimentation même.
Il croyait aussi avoir découvert les sources de l'hystèrie dans les traumatismes sexuels subi durant l'enfance, les élites rigouses psychiatrique de Vienne ont déclaré sa théorie un conte de fée pseudo scientifique.
La psychanalyse est quant même l'art de spéculer sans fait, puis pour lui on est tous malade également.
L'essentiel serait dans les désirs inconscient, sans rapport avec la réalité, et son refoulement plus que réfuté.
Par une bifurcation dans un monde inacessible, présumé irréfutable ou immunisé, l'inconscient, la psychanalyse s'est rendu hermétique dans sa pratique et ses contenus théorique. L'onirisme de l'Oedipe et les fantasme inconscient sont la soupape de sûreté de la psychanalyse.
Popper lui même avait dénoncé la psychanalyse comme une doctrine non scientifique, vu qu'elle ne prévoit aucunes falsification.
Heureusement cette arnaque qu'est la psychanalyse ne fait plus recette et est bientôt morte, vivement, pour être remplacé par de vrais thérapie.
Freud manquait énormément de rigueur, était un médecin raté, moquer par ses pairs, et désolé le cas du génie solitaire luttant contre le système n'a jamais marché.
De tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent.
L'Amour, c'est comme la grippe, on l'attrape dans la rue, on s'en soigne au lit.
Ton futur dépend de tes rêves. Ne perds pas de temps, va te coucher.
Certains hommes aiment tellement leur femme que, pour ne pas l'user ils se servent de celle des autres.
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