Chris221 a écrit :Lorsque j'étais plus jeune , je devais avoir 8 ans tout au plus.
Un ami est venu me parler du rêve qu'il avait fait, ou c'était peut-être moi, il dirigeait son rêve, parvenait à voler autour de la cour de récréation.
Moui, je connais ça tiens!
Le premier rêve où je volais dans les airs fut dans ma cours de récréation vers l'âge de huit neuf ans également.
En gros, pour le décollage, je suis monté sur des marches invisibles, puis une fois en haut je commença à planer dans la cours de récré en zizaguant de temps à autre en dehors.
Perso j'ai découvers le "dreamtime" des Senois via un bouquin de Claude Traks "la recherche du message des dauphins".
Pour la chute libre, y parait que c'est juste l'appel de la terre nourricière, sinon pour voler, il existe un grand nombre de moyens, entre autre des marches invisibles, on peut faire de petits sauts sur le sol puis se mettre à rebondir de plus en plus haut, utiliser des machines annexes (avions, hélicoptères, etc...), décoller simplement, ....
Pour les "cauchemards", les assumer en s'y replongeant, et en les changeant (juste après le réveil quand le rêve est encore frais, plus simple à revisualiser puis à procéder à certaines modifications.).
Pour une meilleure perception, voir contrôle du rêve, personnellement cela se passe au mieux quand tout ce qui devait être fait dans la journée a été fait, que la pensée est sereine ( la vitesse du rêve s'en trouvera mieux gérable), que les émotions sont relachées ( le choix à agir n'en sera que mieux maitrisé et non pas emporté par).
Quand toutes les conditions sont réunies, quel pied de découvrir d'autres limites, où devenir très rapide, volant, transparent, fort, respirer sous l'eau, etc...., devient réellement des petits bonheurs, je confirme sans peine....!
Rêver sa vie, vivre ses rêves, de mon point de vue les deux sont indissociables, certaines pratiques appellent cela vivre éveillé
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