En effet, soit c'est pour "contrôler" ou alors pour frustrer.es femmes sont en quelques sortes prise en otage de la tentation des hommes.
necessaire pour tenir au calme une société.
Ca me rappelle un reportage où ils montraient des fanatiques chrétiens qui se flagellaient (un peu comme l'Opus Dei, avec le silice, cette jambière avec des piques, rendue célèbre (avec un peu d'exagération aussi dans le personnage, mais c'est une autre paire de manches) et la transe mystique.
Le plaisir après la douleur (dû à l'endormophine) pouvait permettre d'atteindre la transe, en se vouant alors à Dieu, ou quelque'un/chose d'autre.
De même, je pense, pour faire un parallèle, que c'est là le sens chez les prêtres cathos, de faire "face aux épreuves" pour se réorienter vers Dieu (la question du mariage des prêtres appelle à un autre débat... donc, je ne m'étends pas là dessus).
On compenserait donc la frustration en se donnant à fond pour Dieu. Du moins, peut être était-ce ce qu'on pensait à l'époque... parce que la frustration, ça entraîne aussi la névrose... et le passage à l'acte...