B.WERBER est il un E.T. ?2
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« Putain Marguerite, qu’est ce que tu lis encore ces conneries ! »
« Alors moi je me casse le cul pour ramener à bouffer et toi tu lis ces trucs débiles, t’es vraiment mauvaise à tout »
Aïe !!! Absorbée par ma lecture, je n’ai pas entendu Bernard arrivé. Vite une excuse.
« C’est un livre de Bernard WERBER, comme tu me manques tellement la journée, lire un écrivain, qui a le même prénom que toi, me donne l’impression que c’est toi qui m’écris »
« Tu me prends pour un con ! Ça n’a rien à voir, sinon j’aurai appelé mon fils Jean Marie. »
Notre fils, rectifie-je intérieurement.
« Tu l’as quand même appelé Bruno »
Erreur.
Fatale.
Ne pas lui tenir tête sinon il vérifie si la mienne tient toujours bien sur mes épaules, au propre comme au figuré.
La frappe est sèche et instantanée. Elle m’atteint au niveau de la pommette droite. Un revers de main comme on balaie une mouche. Je saigne comme j’ai déjà saigné des milliers de fois auparavant.
« Toi, c’est pas par hasard que tes parents t’ont donné le nom d’une vache ».
« Va te débarbouiller, Bruno rentre de l’école dans un instant. »
Je ne pleure plus comme si mes yeux avaient déjà tout donné. Bientôt je vais perdre la tête aussi, au propre comme au figuré, ah ! ah ! ah !. Le rire sans joie est mon dernier refuge mais j’ai appris que l’on s’habitue à tout, on s’adapte même au pire. Devant le miroir, je me remémore ma rencontre avec cet homme, tellement prévenant, attentionné qui m’a aidé à surmonter la perte de mes parents. Je l’ai rencontré au centre commercial où je faisais mes courses, il y est toujours vigile. Cet homme au corps imposant (surtout maintenant où la graisse a remplacée les muscles), au regard décidé, m’a tout de suite plue, il avait l’air rassurant. J’avais perdu mon porte monnaie dans le centre. Si on le retrouvait il m’appellerait. C’est ce qu’il a fait, il m’a même proposé un verre, il ne travaillait pas ce jour là ....
Tout a été très vite, trop vite je m’en rends compte, le mariage, la naissance de Bruno, les coups, les humiliations, l’isolement.
Aujourd’hui ça fait 10 ans. Bien sûr cela fait longtemps que l’on ne fête plus notre anniversaire de mariage, ni nos anniversaires même (des conneries pour faire vendre me dit souvent Bernard). Il reste les victoires du PSG, seuls moments de répit où je n’ai pas à faire attention au moindre détail. Je n’ai jamais aimé le foot ( c’est quand même stupide de courir après une balle, on n’est pas des chiens) mais je suis la plus grande supportrice de ce club, croyez moi sur parole.
J’entends la télé s’allumée.
Putain, quelle journée de merde. Cette petite pute a osé porter plainte. Ça fait maintenant deux ans que j’aide les femmes à garder leur honneur contre une petite compensation et c’est la première fois qu’il y a une ingrate. Pourtant elles devraient savoir que le vol est puni, que ces crimes se répercutent sur la qualité de mon travail. Je leur demande juste de me dé stresser, de payer leur faute d’une façon discrète et rapide (tout dépend de leur savoir faire sur ce dernier point).
Et voilà que cette allumeuse, que je vois sur nos caméras, vole un coupe merde et ne veut pas expier son péché, pire ose s’en vanter au responsable. Quelle petite salope.
En plus ce technocrate ne m’aime pas, il me soupçonne de dérober des articles mais il ne sait pas que c’est la juste rétribution de mon excellent travail : pas une des voleuses appréhendées n’a récidivées.
Alors quand je rentre j’aimerai que la grosse soit reconnaissante du sacrifice quotidien que je fais pour la nourrir. Elle pourrait faire autre chose que lire ces débilités qui lui montent à la tête. Est-ce trop demander ?.
Au fait le PSG joue cet aprèm, coupe d’Europe s’il vous plait, allez les gars, c’est le moment de se mettre les doigts dans le cul. Maintenant que j’y pense, je crois que c’est la solution à mon soucis : je vais violer le directeur, ça devrait plaire à cet enculé ah ! ah !ah !.
Bruno rentre de l’école. Il a la tête basse et le visage renfrogné. Que s’est il encore passé ?
Depuis quelques temps, il se rapproche de son père et subit sa mauvaise influence : bagarres, insultes font partie désormais de son quotidien et ses notes, jadis excellentes, baissent.
« Qu’y a-t-il Bruno ? »
« La maîtresse veut que vous veniez la voir car j’ai embêté une fille »
Bernard, sans quitter son match, des yeux lui demande ce qu’il a fait.
« Ben y a une fille qui la ramène souvent dans la classe alors j’ai fait comme tu m’as dit : je l’ai soulagé là où ça la démangeait avec mon doigt mais j’ai dû le faire trop fort car elle a saignée et pleurée. »
« ah ! ah ! ah ! Lorsque je t’ai dit que certaines filles sont comme des machines a sous, ce n’est pas toujours le doigt qu’il faut introduire dans la fente pour jouer et gagner. »
Mon Dieu, l’ignominie de cet homme n’a pas de bornes. La lecture des romans de B. WERBER prêtés par Amandine, ma seule amie, m’a permis de m’évader quelque peu de cet enfer mais je ne peux fuir davantage : mon fils devient un monstre. Il faut régir mais comment ?
Le visage déconfit de ma Marguerite me laisse à penser qu’elle ne partage pas mon point de vue sur ses congénères. Sait-elle seulement que je rêve parfois d’enduire son visage porcin de miel, de l’attacher dans la cave afin de voir ce que les petites bêtes pourraient arranger à sa face de lune ? Juste pour sa-voir. T’as de la chance Marguerite, les grecs ont été laminés, 3-0 ( c’est eux qui l’ont eu dans le cul comme d’hab.).
Ma nuit est sans sommeil. La révélation d’un évènement majeur ou les ronflements de Bernard m’ont empêché de fermé l’½il (d’habitude les cocards ne m’en laissent pas le choix).
Aujourd’hui, c’est le grand jour de la semaine : je sors ! Avec Bernard certes, mais je sors : c’est le jour des courses. Ma pommette est un peu enflée mais le fond de teint fait des merveilles et puis qu’est ce que je suis maladroite tout de même !
Les rues de la ville sont des artères où mon âme peut circuler à nouveau après avoir souffert d’amémie. Je ne manque rien du spectacle vivant qui m’est offert, dévorant des yeux ce festin d’images et de visage, trop rare. Mon fils a toujours été l’excuse de ma fuite mais chaque sortie me rappelle combien ma vie est différente de la Vie. Soudain c’est le choc.
C’est lui, je le reconnais
Pas de doute possible, son visage m’est souvent apparu avec clarté lors de mes trop rares rêves.
« Bernard, c’est l’écrivain dont je te parlais hier qui se trouve sur le trottoir d’en face. Je t’en prie, demande lui un autographe, je ferai ce que tu veux ce soir. »
« Mais tu fais déjà ce que je veux même si c’est très mal fait. »
« Mais, comme je suis un grand homme et que tu es trop gourde pour lui demander, je vais aller le voir »
Bernard rattrape WERBER et l’accoste. Je vois que mon écrivain fétiche cherche un stylo sans en trouver, il invite mon mari dans une ruelle. Je ne les vois plus, plantée là à attendre mon trésor. Au bout d’un moment, une faible lueur rouge s’échappe de l’impasse obscure. J’attends toujours, me demandant ce qu’ils peuvent bien se raconter (Bernard, je t’en prie, ferme là).
Finalement, une voiture sort et passe à côté de moi, c’est lui ! Le talentueux auteur mais il me regarde à peine, les yeux mi-clos comme lorsque l’on a trop mangé (c’est étrange de penser cela, pourtant c’est ce qui me vient à l’esprit en l’apercevant). Mais que fait Bernard ?
Je vais le rejoindre mais il n’y personne dans la ruelle, je regarde plus attentivement car de hauts murs font baigner cet endroit dans une obscurité inquiétante.
Je dois cependant me rendre à l’évidence : Bernard a disparu.
Ceci est le déroulement des évènements que j’ai pu reconstruire d’après le témoignage de « Marguerite X » (elle tient à garder l’anonymat), rencontrée, lors d’une avant première du film « Nos amis les humains », et des diverses investigations que j’ai pu mener sur place. Toute personne qui aurait vécu une histoire « singulière » de ce type est priée de me contacter afin de m’aider à retrouver mes amis : Mélina BOIRON et Stéphane DUTEUIL.
Je tiens à préciser que la police chargée de l’affaire n’a « pas d’éléments nouveaux » et qu’ « aucun fait ne pourrait, à cette heure, rapprocher l’écrivain Bernard WERBER à ces disparitions ».
Merci.
***Ajout :***
Aucune histoire ? Vous protégez B.W.
« Alors moi je me casse le cul pour ramener à bouffer et toi tu lis ces trucs débiles, t’es vraiment mauvaise à tout »
Aïe !!! Absorbée par ma lecture, je n’ai pas entendu Bernard arrivé. Vite une excuse.
« C’est un livre de Bernard WERBER, comme tu me manques tellement la journée, lire un écrivain, qui a le même prénom que toi, me donne l’impression que c’est toi qui m’écris »
« Tu me prends pour un con ! Ça n’a rien à voir, sinon j’aurai appelé mon fils Jean Marie. »
Notre fils, rectifie-je intérieurement.
« Tu l’as quand même appelé Bruno »
Erreur.
Fatale.
Ne pas lui tenir tête sinon il vérifie si la mienne tient toujours bien sur mes épaules, au propre comme au figuré.
La frappe est sèche et instantanée. Elle m’atteint au niveau de la pommette droite. Un revers de main comme on balaie une mouche. Je saigne comme j’ai déjà saigné des milliers de fois auparavant.
« Toi, c’est pas par hasard que tes parents t’ont donné le nom d’une vache ».
« Va te débarbouiller, Bruno rentre de l’école dans un instant. »
Je ne pleure plus comme si mes yeux avaient déjà tout donné. Bientôt je vais perdre la tête aussi, au propre comme au figuré, ah ! ah ! ah !. Le rire sans joie est mon dernier refuge mais j’ai appris que l’on s’habitue à tout, on s’adapte même au pire. Devant le miroir, je me remémore ma rencontre avec cet homme, tellement prévenant, attentionné qui m’a aidé à surmonter la perte de mes parents. Je l’ai rencontré au centre commercial où je faisais mes courses, il y est toujours vigile. Cet homme au corps imposant (surtout maintenant où la graisse a remplacée les muscles), au regard décidé, m’a tout de suite plue, il avait l’air rassurant. J’avais perdu mon porte monnaie dans le centre. Si on le retrouvait il m’appellerait. C’est ce qu’il a fait, il m’a même proposé un verre, il ne travaillait pas ce jour là ....
Tout a été très vite, trop vite je m’en rends compte, le mariage, la naissance de Bruno, les coups, les humiliations, l’isolement.
Aujourd’hui ça fait 10 ans. Bien sûr cela fait longtemps que l’on ne fête plus notre anniversaire de mariage, ni nos anniversaires même (des conneries pour faire vendre me dit souvent Bernard). Il reste les victoires du PSG, seuls moments de répit où je n’ai pas à faire attention au moindre détail. Je n’ai jamais aimé le foot ( c’est quand même stupide de courir après une balle, on n’est pas des chiens) mais je suis la plus grande supportrice de ce club, croyez moi sur parole.
J’entends la télé s’allumée.
Putain, quelle journée de merde. Cette petite pute a osé porter plainte. Ça fait maintenant deux ans que j’aide les femmes à garder leur honneur contre une petite compensation et c’est la première fois qu’il y a une ingrate. Pourtant elles devraient savoir que le vol est puni, que ces crimes se répercutent sur la qualité de mon travail. Je leur demande juste de me dé stresser, de payer leur faute d’une façon discrète et rapide (tout dépend de leur savoir faire sur ce dernier point).
Et voilà que cette allumeuse, que je vois sur nos caméras, vole un coupe merde et ne veut pas expier son péché, pire ose s’en vanter au responsable. Quelle petite salope.
En plus ce technocrate ne m’aime pas, il me soupçonne de dérober des articles mais il ne sait pas que c’est la juste rétribution de mon excellent travail : pas une des voleuses appréhendées n’a récidivées.
Alors quand je rentre j’aimerai que la grosse soit reconnaissante du sacrifice quotidien que je fais pour la nourrir. Elle pourrait faire autre chose que lire ces débilités qui lui montent à la tête. Est-ce trop demander ?.
Au fait le PSG joue cet aprèm, coupe d’Europe s’il vous plait, allez les gars, c’est le moment de se mettre les doigts dans le cul. Maintenant que j’y pense, je crois que c’est la solution à mon soucis : je vais violer le directeur, ça devrait plaire à cet enculé ah ! ah !ah !.
Bruno rentre de l’école. Il a la tête basse et le visage renfrogné. Que s’est il encore passé ?
Depuis quelques temps, il se rapproche de son père et subit sa mauvaise influence : bagarres, insultes font partie désormais de son quotidien et ses notes, jadis excellentes, baissent.
« Qu’y a-t-il Bruno ? »
« La maîtresse veut que vous veniez la voir car j’ai embêté une fille »
Bernard, sans quitter son match, des yeux lui demande ce qu’il a fait.
« Ben y a une fille qui la ramène souvent dans la classe alors j’ai fait comme tu m’as dit : je l’ai soulagé là où ça la démangeait avec mon doigt mais j’ai dû le faire trop fort car elle a saignée et pleurée. »
« ah ! ah ! ah ! Lorsque je t’ai dit que certaines filles sont comme des machines a sous, ce n’est pas toujours le doigt qu’il faut introduire dans la fente pour jouer et gagner. »
Mon Dieu, l’ignominie de cet homme n’a pas de bornes. La lecture des romans de B. WERBER prêtés par Amandine, ma seule amie, m’a permis de m’évader quelque peu de cet enfer mais je ne peux fuir davantage : mon fils devient un monstre. Il faut régir mais comment ?
Le visage déconfit de ma Marguerite me laisse à penser qu’elle ne partage pas mon point de vue sur ses congénères. Sait-elle seulement que je rêve parfois d’enduire son visage porcin de miel, de l’attacher dans la cave afin de voir ce que les petites bêtes pourraient arranger à sa face de lune ? Juste pour sa-voir. T’as de la chance Marguerite, les grecs ont été laminés, 3-0 ( c’est eux qui l’ont eu dans le cul comme d’hab.).
Ma nuit est sans sommeil. La révélation d’un évènement majeur ou les ronflements de Bernard m’ont empêché de fermé l’½il (d’habitude les cocards ne m’en laissent pas le choix).
Aujourd’hui, c’est le grand jour de la semaine : je sors ! Avec Bernard certes, mais je sors : c’est le jour des courses. Ma pommette est un peu enflée mais le fond de teint fait des merveilles et puis qu’est ce que je suis maladroite tout de même !
Les rues de la ville sont des artères où mon âme peut circuler à nouveau après avoir souffert d’amémie. Je ne manque rien du spectacle vivant qui m’est offert, dévorant des yeux ce festin d’images et de visage, trop rare. Mon fils a toujours été l’excuse de ma fuite mais chaque sortie me rappelle combien ma vie est différente de la Vie. Soudain c’est le choc.
C’est lui, je le reconnais
Pas de doute possible, son visage m’est souvent apparu avec clarté lors de mes trop rares rêves.
« Bernard, c’est l’écrivain dont je te parlais hier qui se trouve sur le trottoir d’en face. Je t’en prie, demande lui un autographe, je ferai ce que tu veux ce soir. »
« Mais tu fais déjà ce que je veux même si c’est très mal fait. »
« Mais, comme je suis un grand homme et que tu es trop gourde pour lui demander, je vais aller le voir »
Bernard rattrape WERBER et l’accoste. Je vois que mon écrivain fétiche cherche un stylo sans en trouver, il invite mon mari dans une ruelle. Je ne les vois plus, plantée là à attendre mon trésor. Au bout d’un moment, une faible lueur rouge s’échappe de l’impasse obscure. J’attends toujours, me demandant ce qu’ils peuvent bien se raconter (Bernard, je t’en prie, ferme là).
Finalement, une voiture sort et passe à côté de moi, c’est lui ! Le talentueux auteur mais il me regarde à peine, les yeux mi-clos comme lorsque l’on a trop mangé (c’est étrange de penser cela, pourtant c’est ce qui me vient à l’esprit en l’apercevant). Mais que fait Bernard ?
Je vais le rejoindre mais il n’y personne dans la ruelle, je regarde plus attentivement car de hauts murs font baigner cet endroit dans une obscurité inquiétante.
Je dois cependant me rendre à l’évidence : Bernard a disparu.
Ceci est le déroulement des évènements que j’ai pu reconstruire d’après le témoignage de « Marguerite X » (elle tient à garder l’anonymat), rencontrée, lors d’une avant première du film « Nos amis les humains », et des diverses investigations que j’ai pu mener sur place. Toute personne qui aurait vécu une histoire « singulière » de ce type est priée de me contacter afin de m’aider à retrouver mes amis : Mélina BOIRON et Stéphane DUTEUIL.
Je tiens à préciser que la police chargée de l’affaire n’a « pas d’éléments nouveaux » et qu’ « aucun fait ne pourrait, à cette heure, rapprocher l’écrivain Bernard WERBER à ces disparitions ».
Merci.
***Ajout :***
Aucune histoire ? Vous protégez B.W.
l'homme est un loup pour l'homme
-
- Ouvrière baroudeuse
- Messages : 140
- Enregistré le : lun. janv. 29, 2007 3:05 pm
- Localisation : Montpellier
- Contact :
-
- Ouvrière baroudeuse
- Messages : 140
- Enregistré le : lun. janv. 29, 2007 3:05 pm
- Localisation : Montpellier
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Mmm j'avoue ne pas saisir quelle différence de finalité il peut y avoir entre un sujet qui s'appelle "Werber est-il un ET" et qui est le "témoignage" de quelqu'un et un sujet portant le nom de "Werber est il un extraterrestre" et qui est le "témoignage" de quelqu'un aussi... ?
Tu peux éclairer ma lanterne?
Wing
Tu peux éclairer ma lanterne?
Wing
"Un film sans cinéma, c'est un rendez-vous manqué."
Le sujet est un prétexte :
dans le 1 je parle d'un certain mal de vivre.
dans le 2 j'aborde le thème des femmes battues
Ceci m'amènera à la conclusion dans le 3
De plus c'est aussi l'occasion de rendre hommage à des gens que j'estime (dont WELLES pour ceux qui comprendront).
Merci
BISOUS MOUILLES
La Cigale de Guadeloupe
dans le 1 je parle d'un certain mal de vivre.
dans le 2 j'aborde le thème des femmes battues
Ceci m'amènera à la conclusion dans le 3
De plus c'est aussi l'occasion de rendre hommage à des gens que j'estime (dont WELLES pour ceux qui comprendront).
Merci
BISOUS MOUILLES
La Cigale de Guadeloupe
l'homme est un loup pour l'homme
Bien, vu que le premier post intituller "WERBER est il un Extratrerrestre ?" est partis en déconfiture, je me demande si les fourmis se sont rendu compte que sous une histoire incluant B.Werber, se cache tout simplement une nouvelle, que perso je trouve vraiment génial... Nico peut semblé dérangeant pour certain, mais si c'est le cas, c'est seulement pour ceux qui sont fervant déffensseur de B.W. et fermé a toute nouveauté, si je puis dire, puisque nouveauté n'est pas vraiment le terme... Si ses histoire dérange certaine fourmis, c'est peut etre juste qu'elles sont un peu oppressente... Mais perso, j'en demande encore