ben non, qui je suis pour réfuter ? personne mon cher Sylphe...
de deux choses l'une, soit tu démontres par la réfutation des arguments des autres, que tu as la vérité entre les mains...
Soit tu avances tes arguments pour prouver ton postulat...
De ce point de vue, je ne défends rien, je prends tout les postulats, et en tant que simple fourmis je m'interroge, et je rigole beaucoup quand l'on me présente un postulat comme étant la vérité absolu, que ce soit dans la démonstration que jésus a existé, ou dans la démonstration inverse, oui je rigole beaucoup, quand l'on ne me sert plus du postulat mais de la réalité...
Je dis simplement, que ce n'est pas parce que tu arrives à démonter tout les arguments des autres (ce qui avec un peu de dialectiques et de mauvaises foi, est assez facile, voir tes posts au dessus) que cela fait que tes arguments du coup sont plus important...
Ton postulat est tout à fait intéressant, outre la maniére dont tu le présentes, mais ça reste un postulat...
Sinon comme dis précedemment, si tu es persuadé de la vérité historique de ce que tu avances...rend public tes recherches, ta thése, et tu aideras grandement le monde scientifique à y voir clair dans la problématique "l'existence de Jésus".
J'espere de tout mon coeur par contre, que tu ne crois pas aujourd'hui suivre une ligne de pensée ou un postulat que personne n'a jamais pensé avant toi...ça serait triste...
Bref, nous avons bien compris ton intervention, nous avons bien compris ton argumentation, je suis pas sur que nous ayons forcement besoin des petites phrases ironique envers les autres fourmis...
J'ai relu les quelques dernières pages et une chose m'a choqué : Jésus n'est pas un prophète... Alors il faudrait que quelqu'un connaissant mieux le judaïsme que moi puisse me répondre mais il me semble avoir étudié dans mes cours de théologie que Jésus est le messie pour les chrétiens mais est considéré comme un prophète pour les juifs... Enfin c'est loin tout ça alors je fais peut-être une erreur...
Pour le coté historique, les historiens peuvent confirmer l'existence de ponce pilate et de barabas. Il est écrit dans les registres romains que barabas a été libéré et remplacé par un semeur de trouble, Jésus?
Les historiens peuvent, par les procès verbaux de l'époque, se rendre compte qu'il y a eu de l'activité en palestine il y a 2000 ans! Après, dire qu'il s'appelait bien Jésus et pas Ralph, je ne sais pas s'il y a des preuves, mais l'existence d'un homme qui parlait à la foule est prouvé...
Après pas de trace d'un procès verbal pour un homme qui marchait sur l'eau, mais c'est un autre problème... lol
Peu importe son nom... Barabas est très certainement un nom donné plus tard... De la même façon que Jésus! Les noms propres ça va, ça vient... Ils ne sont pas un éléments à retenir dans un travail d'historien, appelons le monsieur X si vous voulez
Toujours utile que monsieur X à une trace écrite de son existence...
Rectification, je viens de vérifier et c'est chez les musulmans que Jésus est un prophète...
bon, je t'avais fait tout un laïs qui a disparu ...
j'essaie de recommencer ...
je pense que les noms sont importants, c'est ce qui donne du sens ...
nous ne faisons pas un travail d'historien ; nous essayons juste de savoir si Jésus a existé ou non ...
en ce qui me concerne, il a existé en tant que fils d'homme (il se nomme lui-même ainsi) et en tant que fils de Dieu par son côté spirituel ...
s'il n'avait pas réellement existé, je doute qu'au bout de 2000 ans, on le mentionne encore ... et les gens qui croient en lui, bien sûr, ont la foi mais elle vient bien de quelque part, cette foi ... tout le monde ne l'a pas ...
breizhnad a écrit :J'ai relu les quelques dernières pages et une chose m'a choqué : Jésus n'est pas un prophète... Alors il faudrait que quelqu'un connaissant mieux le judaïsme que moi puisse me répondre mais il me semble avoir étudié dans mes cours de théologie que Jésus est le messie pour les chrétiens mais est considéré comme un prophète pour les juifs... Enfin c'est loin tout ça alors je fais peut-être une erreur
Jésus n'est même pas un prophète pour les Juifs. C'est un rabbin hérétique.
Pour le coté historique, les historiens peuvent confirmer l'existence de ponce pilate
Oui
et de barabas. Il est écrit dans les registres romains que barabas a été libéré et remplacé par un semeur de trouble, Jésus?
non
Les historiens peuvent, par les procès verbaux de l'époque, se rendre compte qu'il y a eu de l'activité en palestine il y a 2000 ans! Après, dire qu'il s'appelait bien Jésus et pas Ralph, je ne sais pas s'il y a des preuves, mais l'existence d'un homme qui parlait à la foule est prouvé...
breizhnad a écrit :J'ai relu les quelques dernières pages et une chose m'a choqué : Jésus n'est pas un prophète... Alors il faudrait que quelqu'un connaissant mieux le judaïsme que moi puisse me répondre mais il me semble avoir étudié dans mes cours de théologie que Jésus est le messie pour les chrétiens mais est considéré comme un prophète pour les juifs... Enfin c'est loin tout ça alors je fais peut-être une erreur
Jésus n'est même pas un prophète pour les Juifs. C'est un rabbin hérétique.
1°) son nom : tout le monde sait que le soleil, c’est Apollon, ainsi nommé par les Grecs. La différence entre Apollon et Napoléon n’est pas grande. En effet, Apollon est le même mot qu’Apoléon. Apolluo et Apoléo sont deux verbes grecs qui signifient : perdre, tuer, exterminer. Or, on nous présente le prétendu Napoléon comme le plus grand exterminateur d’hommes de son temps.
Vous me direz : oui, mais dans Napoléon, il y a : Na ! Soit, mais en grec, né ou nai constitue une grande affirmation. Nous pouvons traduire cette syllabe par : véritablement. D’où il suite que Napoléon signifie : véritablement Apollon.
Certes ; ce personnage se nomme aussi Bonaparte. Mais comment interpréter Bonaparte, sinon par bonne partie, en opposition avec mala parte : mauvaise partie ? Il est donc absolument évident que Napoléon Bonaparte veut dire : l’astre dans la bonne partie ; Apollon, le soleil, quand il monte au firmament pour chasser les ténèbres.
2°) sa naissance : Apollon, suivant la mythologie grecque, naît dans une île de la méditerranée : Délos. Ainsi, a-t-on fait naître Napoléon dans une île méditerranéenne : la Corse. Vous observerez, en outre, qu’ayant voulu le faire régner sur la France comme Apollon régna sur la Grèce, on a choisi la Corse dont la situation, par rapport à la France, est identique à celle de Délos par rapport à la Grèce.
Il est vrai que Pausanias donne à Apollon le titre de divinité égyptienne. Sans être né en Egypte, il y est un dieu. De même nous dit-on qu’en Egypte, où sa carrière commence, Napoléon fut considéré comme être surnaturel, ami de Mahomet, et reçut des hommages qui tenaient de l’adoration.
3°) sa mère : On nous raconte que sa génitrice se nommait Loetitia. Il est clair que dans ce nom, qui signifie la joie, on désigne l’Aurore, dont la lumière enjoue la nature. L’aurore enfante au monde le soleil et lui ouvre, de ses doigts les portes de l’Orient.
Dans la mythologie grecque, la mère d’Apollon se nomme Léto. Ainsi, Loetitia a-t-il été choisi comme substantif du verbe Ioetor, ou de l’inusité Ioeto, qui se traduit par : inspirer de la joie.
On prête enfin à la mère de Napoléon cette parole familière : « pourvu que ça dure ! ». C’est l’antique prière des hommes à l’astre du jour, afin qu’il continue de distribuer ses bienfaisants rayons.
4°) ses s½urs : Selon l’affabulation, ce Napoléon-le Soleil, fils de Loetitia-l’Aurore, aurait eu trois s½urs. Ce sont évidemment les trois Grâces qui, avec les Muses, font l’ornement et le charme de la cour d’Apollon, leur frère.
Tout cela est transparent. Poursuivons …
5°) ses frères : La légende veut que cette personnification de l’astre qui règne sur la terre ait eu quatre frères. Trois, dit-on, furent rois. Ce sont le Printemps, qui régit les fleurs, l’Eté qui fait les moissons, l’Automne qui gonfle les fruits. Comme ces trois saisons tiennent leur puissance du Soleil, les trois frères de l’imaginaire Napoléon tenaient de lui leur trône et ne régnaient que par lui. L’un ne fut point roi. Des quatre saisons, l’une ne rège sur rien : c’est l’Hiver.
Accordons cependant à l’Hiver la triste principauté des neiges et des frimas. Que trouvons-nous dans la prétendue histoire napoléonienne ? L’empire de l’astre s’étant écroulé, le quatrième frère trouva un exigu refuge dans la principauté du village de Canino. Et Canino vient de Cani qui signifie : les cheveux blancs de la froide vieillesse.
Que découvrons-nous enfin dans l’affabulation ultime ? Quand il ne reste plus rien des trois belles saisons et que le soleil se trouve dans son plus grand éloignement, une invasion, venant du nord, décolore nos champs, nos campagnes, nos sillons et recouvre tout de son blanc manteau. Ainsi, la légende évoque un drapeau blanc, qui aurait chassé un drapeau de diverses couleurs, après le retirement du fabuleux Napoléon. Il est facile de voir la concordance entre les rythmes solaires célébrés dans l’Antiquité, et les ingénieuses fables imaginées au XIXe siècle.
6°) ses femmes : D’après le même système fabulatoire, Napoléon aurait eut deux épouses. Ainsi attribuait-on deux compagnes au Soleil : la Lune, selon les Grecs (Plutarque l’atteste) et la Terre, selon les Egyptiens. Avec la Lune, le Soleil n’eut point de postérité : c’est la première épouse de l’imaginaire Napoléon. Horus, né de la Terre fécondée par le Soleil, symbolise les produits de l’agriculture. Ainsi a-t-on placé la naissance du prétendu fils de Napoléon un 20 mars, à l’équinoxe du printemps.
7°) son action politique : On dit que Napoléon mit fin à un fléau dévastateur qui terrorisait toute la France (le mot terreur, est employé). Et l’on nomme ce fléau : l’hydre de la Révolution. Qu’est-ce qu’une hydre ? Un serpent. Peu importe l’espère, quand il s’agit de fable. C’est évidemment le serpent Python, terreur des Grecs, et qu’Apollon étouffa à peine sorti de son berceau. Voilà pourquoi l’on nous dit que Napoléon commença son règne en étouffant la Révolution. Que faut-il entendre par Révolution dans cette légende ? Une chimère, un monstre. Au reste, révolution est emprunté au mot latin revolvo, qui indique bien le serpent roulé sur soi. C’est le python de la mythologie antique.
8°) ses maréchaux : Ce fabuleux guerrier aurait eu douze maréchaux en activité, et quatre en réserve. Les douze premiers, bien entendu, sont les douze signes du zodiaque qui marchent sous les ordres du Soleil et commandent chacun des armées d’étoiles. Les quatre autres sont les points cardinaux, immobiles au sein du mouvement général ;
9°) ses victoires et sa défaite : On nous dit encore que Napoléon parcourut glorieusement les contrées du Midi. Mais qu’ayant pénétré trop avant dans le Nord, il ne put s’y maintenir. Or, cela caractérise parfaitement la marche du soleil. Après l’équinoxe de printemps, le soleil tente de gagner les régions septentrionales en s’éloignant de l’équateur ; Mais, au bout de trois mois de marche, il rencontre le tropique boréal qui l’oblige à reculer, à revenir sur ses pas vers le Midi en suivant le signe du Cancer, ou de l’Ecrevisse, signe qui exprime la rétrogradation. C’est là-dessus qu’on a calqué l’imaginaire expédition du légendaire Napoléon vers le Nord, vers Moscou, et la retraite qui s’ensuivit. Les succès et les revers du soi-disant Napoléon, ne sont que des allusions relatives au cours du soleil.
10°) son ascension et sa chute : Enfin, chacun le sait, le soleil se lève à l’orient, se couche à l’occident. Il semble, pour les spectateurs des extrémités de la Terre, sortir le matin des mers orientales pour s’abîmer le soir dans les mers occidentales.
C’est ce que nous devons entendre dans la légende selon laquelle l’empereur allégorique vînt par mer de l’Orient (l’Egypte) pour régner et s’éteignit dans les mers occidentales (Sainte-Hélène) après un règne de douze années : les douze heures durant lesquelles le soleil brille sur l’horizon.
Résumons-nous : A la lumière de la science des symboles, il est maintenant évident que la prétendue histoire de l’élévation, du déclin et de la chute d’un fabuleux personnage nommé allusivement Napoléon, est résurgence du mythe solaire antique dans la mentalité moderne. Le prétendu héros historique est une figure allégorique dont tous les aspects sont empruntés à la religion apollinienne. Cela est prouvé par son nom, par le nom de sa mère, par ses trois s½urs, ses quatre frères, ses deux femmes, son fils, ses maréchaux et ses exploits. C’est prouvé par le lieu de sa naissance, par le temps qu’il employa à parcourir sa carrière, et par la région où il disparut.
Ce Napoléon Bonaparte, dont on a dit tant de choses, sur lequel on a tant écrit, n’a aucune sorte d’existence réelle. C’est une chimère, une fable, une parabole. En y accordant une croyance historique, vous avez été victime d’un quiproquo. Vous avez pris pour de l’histoire une mythologie du XIXe siècle, renouvelée de l’antique.
« Je viens de vous résumer un opuscule de 45 pages, imprimé à Agen en 1835, sans nom d’auteur. C’est une rareté bibliographique. Cet opuscule porte un titre mirifique : Grand erratum, source d’un nombre infini d’errata. L’auteur est un ancien oratorien, puis magistrat : Jean-Baptiste Pérès …
Son propos n’est pas de démontrer que Napoléon n’a pas existé. Mais de montrer, par l’absurde, que Jésus-Christ a existé.
Pérès invente ce génial canular pour ridiculiser les esprits de son temps qui nient la réalité du Nouveau Testament, et donc de Jésus. Pour ceux-ci, il s’agit simplement de la mythologie solaire antique. »
Extrait de : "Napoléon n’a pas existé" par Louis PAUWELS
breizhnad a écrit :J'ai relu les quelques dernières pages et une chose m'a choqué : Jésus n'est pas un prophète... Alors il faudrait que quelqu'un connaissant mieux le judaïsme que moi puisse me répondre mais il me semble avoir étudié dans mes cours de théologie que Jésus est le messie pour les chrétiens mais est considéré comme un prophète pour les juifs... Enfin c'est loin tout ça alors je fais peut-être une erreur
Jésus n'est même pas un prophète pour les Juifs. C'est un rabbin hérétique.
Faux...tu le dis toi même Jésus n'a pas existé...
Mais les Juifs qui préfèrent croire qu'il a existé disent que c'est un sorcier ou un rabbin de seconde zone mais non un prophète.
***Ajout :***
ENIAD a écrit :« Je viens de vous résumer un opuscule de 45 pages, imprimé à Agen en 1835, sans nom d’auteur. C’est une rareté bibliographique. Cet opuscule porte un titre mirifique : Grand erratum, source d’un nombre infini d’errata. L’auteur est un ancien oratorien, puis magistrat : Jean-Baptiste Pérès …
Son propos n’est pas de démontrer que Napoléon n’a pas existé. Mais de montrer, par l’absurde, que Jésus-Christ a existé.
Pérès invente ce génial canular pour ridiculiser les esprits de son temps qui nient la réalité du Nouveau Testament, et donc de Jésus. Pour ceux-ci, il s’agit simplement de la mythologie solaire antique. » Extrait de : "Napoléon n’a pas existé" par Louis PAUWELS
Il s'agit d'une caricature du système de Dupuis dans "L'origine de tous les cultes'.
Mais il va vous être difficile de nier la parenté entre Jésus et d'autres dieux de la végétation qui sont ressuscités bien avant lui...
et je ne chercherais pas à le faire, Sylphe, parce que ça me convient parfaitement que la vie, la mort et la résurrection de Jésus soit ainsi liées à la Terre et aux grands astres qui nous gouvernent ...