Salut, c'est mainate
Posté : lun. oct. 22, 2007 5:03 pm
Bonjour, Je m’appelle Nicolas, j’ai 20 ans et je suis étudiant en 2ème Bach bio ingénieur à Gembloux (en Belgique…). Passé cette description superficielle, les choses qui me tienne à c½ur. Je suis un éternel fan de Werber et pour mon bien être de lecteur je trouve des explications à chacune des erreur qu’il commet dans ses livres. Heureusement elles sont peu nombreuses et mon imagination peut rester fixé sur la trame de l’histoire. Je suis émerveillé par tout ces livre et quand on me demande celui que j’ai préféré je réponds sans hésité : “le dernier que j’ai lut” et quand on me demande “oui mais c’est lequel alors ?” alors je réponds en commençant par “En l’occurrence c’est…” ! Je trouve humble de faire passer des idées des hautes sphères scientifiques à travers de livres pour monsieur tout-le-monde avec un soupçon de vulgarisation sans infantiliser le lecteur. En restant tout fois en accords avec l’enfant qui dort en chaque lecteur il sait faire vibrer les émotions de ceux ci. Je le remercie donc et c’est une sorte d’hommage à sa personne qui me pousse à m’inscrire ici, je sais qu’il aime voir les idées voyager et s’échanger ; je ferai de mon mieux pour prendre et donner un maximum d’idée et ne jamais fermer la porte à un penseur. J’ai lut tous ses romans et j’essaye de me mettre à jour en bd, théâtre et film… Je suis fâché que les journalistes n’aient pas su mettre en valeur la réunion de deux personnes faisant à mes yeux partie des libres penseurs (entendu notre Bernard et ce vénéré Claude Lelouche). Je n’ai pas pu apprécier le film et j’attendrais donc sa sortie en dvd pour réparer cette erreur.
Etant d’un naturel angoissé, j’ai trouvé dans Werber un double remède. Il me permet d’avoir des mondes où me réfugier en cas de crise et il me permet d’ouvrir mon esprit. Quand aucun de ses livres n’est dans mon sac, une seule solution, écrire et créé moi-même un monde. Je m’attelle à finir une longue histoire (qui commence après 6ans à prendre formes) mais c’est fréquemment qu’entre deux cours, assis en tailleur, le bloc sur mes genoux, j’ouvre un nouveau monde, et il n’est pas si rare que j’arrive à la finir, mais je n’aime pas terminer une histoire par le mot fin, j’aime à penser que moi ou qui me lira pourra retourner dans le monde et le poursuivre. Jamais je ne laisse de limite dans le temps où l’espace, toujours mes histoires sont des mondes qui sont proposer et mes lecteur (bien peux nombreux pour le moment) peuvent à leur guise y entrer et le parcourir dans le sens qu’ils souhaite.
Bon, je m’emballe et j’écris trop, si je veux que quelqu’un essaye de lire ceci jusqu’au bout il faut que ça ne soit pas trop rebutant. Merci si vous êtes arrivé jusqu’ici et à bientôt…
Etant d’un naturel angoissé, j’ai trouvé dans Werber un double remède. Il me permet d’avoir des mondes où me réfugier en cas de crise et il me permet d’ouvrir mon esprit. Quand aucun de ses livres n’est dans mon sac, une seule solution, écrire et créé moi-même un monde. Je m’attelle à finir une longue histoire (qui commence après 6ans à prendre formes) mais c’est fréquemment qu’entre deux cours, assis en tailleur, le bloc sur mes genoux, j’ouvre un nouveau monde, et il n’est pas si rare que j’arrive à la finir, mais je n’aime pas terminer une histoire par le mot fin, j’aime à penser que moi ou qui me lira pourra retourner dans le monde et le poursuivre. Jamais je ne laisse de limite dans le temps où l’espace, toujours mes histoires sont des mondes qui sont proposer et mes lecteur (bien peux nombreux pour le moment) peuvent à leur guise y entrer et le parcourir dans le sens qu’ils souhaite.
Bon, je m’emballe et j’écris trop, si je veux que quelqu’un essaye de lire ceci jusqu’au bout il faut que ça ne soit pas trop rebutant. Merci si vous êtes arrivé jusqu’ici et à bientôt…