[Nouvelles] Débutant dans la matière !
Posté : mer. oct. 17, 2007 8:12 pm
Salut à tous !
J'ai toujours aimé écrire, que cela soit des nouvelles ou des rédactions au bahut. Seulement je dois écrire une nouvelle tous les deux ans alors c'est pour ça que j'ai décidé d'accéler mon rythme d'écriture.
Etant assez jeune (13 ans), ne vous attendez pas à un chef d'oeuvre. Mais j'accepte volontiers les critiques constructives qui me permettront d'avancer.
La nouvelle que je viens d'écrire s'appelle "Carnage". Elle fait référence à tous les drames qui se déroulent dans les écoles américaines. Cela va bientôt faire une semaine que je travaille dessus.
"Cette histoire s'était déroulée y'a 20 ans de cela je crois... Vraiment un moment qui restera jamais ancré dans ma mémoire. A l'époque j'étais à un collège aux Etats-Unis, dans l'état du Nevada. Je m'en souviendrais toujours.
Laurent, tu as fait tes exercices ?, me demanda le professeur de mathématiques.
Euh..., répondis-je, embarrassé. J'ai pas très bien compris les exercices.
Ou plutôt je ne les avais pas faits du tout. Moi faire mes devoirs c'est une chose qui se déroule très rarement et quand on me voit les faire, ça ne dure jamais très longtemps.
Viens au tableau alors, répondit le professeur.
Vous êtes sûr ?, demandai-je car je n'aimais vraiment pas du tout aller au tableau.
Allez Laurent, vas-y !, me dit mon voisin, mon ami : Alphonse.
Alphonse n'était pas comme les autres, c'est peut-être pour ça qu'il était mon ami. Il avait un esprit très décalé tout en restant quelqu'un de très intellectuel, qui avait une culture énorme. Il était assez grand, du moins, il me dépassait d'au moins dix centimètres et avait une musculature plutôt forte. Nous nous connaissions depuis la primaire et nous partagions ensemble beaucoup de points communs et on se créait un univers rien qu'à nous deux.
Gêné, je partis au tableau à contre-coeur. Je déteste vraiment passer devant tout le monde. Si tu dis ne serait-ce qu'une faute, tu peux être sûr que au moins une personne dans la classe de moque de toi. Mais bon, la vie est telle qu'elle.
Je commençai à corriger l'exercice lorsque soudainement, on entendit des cris. Non pas des cris de chahut, mais des cris de mort. La terreur commença alors à s'emplir dans notre salle de classe. Ces cris étaient accompagnés d'autres bruits forts : des coups de feu. Le collège n'était pas très plein ce jour-là, et notre classe était au rez-de-chaussée. Les cris et les bruits provenaient d'à côté.
J'allai rejoindre ma place quand nous entendîmes de lourds bruits de pas avançant vers notre classe.
Calmez-vous, calmez-vous !, chuchota notre professeur.
Puis un homme claqua la porte et l'ouvrit. L'homme était cagoulé, avec deux revolvers en main. C'était plutôt un élève, d'environ 15 ans, petit et avec un fort accent chinois.
QUE PERSONNE NE BOUGE !, proclama-t-il après avoir la porte. Le premier qui bouge, je lui éclate la cervelle !
Alphonse et moi avions très peur. Nous étions tellement soudés que l'on ne voulait pas mourir.
Le cagoulé nous scruta un à un et était prêt à tirer au moindre mouvement ou parole.
C'est une prise d'otage !, dit-il. Je suis bien armé et je ne suis pas prêt à renoncer à ma quête !
Pourquoi nous ? Pourquoi notre salle de classe ? C'est la question que je me suis posé à ce moment là. Tout le monde dans la classe avait peur, cela se ressentait. Puis on entedit un clapotement et des petits « bips ». Un des élèves essayait d'appeller la police. Le cagoulé entendit autant que nous ces petits bruits et retrouva vite qui appellait.
J'ai dit aucun bruit ni mouvement !!!, cria-t-il.
Puis il dégaina et tira sur la personne. Le corps gisait sur le sol : l'élève était mort. Le cagoulé était donc prêt à tuer et ce n'était pas du bluff. Certains commençèrent à pleurer. Moi je voulais juste rester entier. Le tuer continua à nous scruter pendant de longues minutes lorsqu'on entendit des sirènes. Des sirènes de police ! L'appel avait donc fonctionné ! Les policiers ayant du entendre le coup de feu grâce au téléphone avaient certainement pu localiser l'appel.
Le tueur s'énerva et tira sur une autre personne dans la classe. L'élève n'était pas mort mais souffrait beaucoup. Puis un hélicoptère de police se fit entendre. La grosse artillerie était sortie.
Vous êtes cernés !, dit un policer avec un mégaphone.
Le tueur s'énerva encore plus et tua encore. 3 personnes cette fois-ci dont le professeur. Ce dernier était très blessé mais les autres mourirent sur le coup.
Seulement un des élèves qui était juste à côté de moi était mort : Alphonse. Le tueur avait tué Alphonse, mon ami. Je commença alors à verser des larmes. Mon meilleur ami n'était plus là, il était parti au ciel. Je me retins de ne pas pleurer, ne voulant pas finir comme eux, mais j'étais très choqué comme tout le reste de la classe.
La suite se déroula très vite : les policiers pénétrèrent dans l'établissement et courèrent vers la classe. Ils dégainèrent et visèrent le cagoulé.
Hahaha ! Vous vous croyez malins bandes d'abrutis, dit le cagoulé.
Certainement plus que toi !, répliqua un des policiers.
Hahaha ! Vous, les flics, avec vos airs supérieurs !
Pourquoi fais-tu ça ? Tu sais très bien que tu finiras mort ou en prison pour très longtemps !, répondit le policier.
Je vais vous massacrer le visage !, dit le cagoulé avec un air assez primitif.
Cette scène dura environ 15 minutes. Pendant ces quinzes minutes, les policiers discutèrent avec le tueur, toujours décidé à commettre son méfait. Le stress était de plus en plus fort dans la salle de classe. On se demandait vraiment si on allait mourir. Desfois le tueur pointaitn son arme sur une personne bruyante ou qui bouge. Je fus pointé environ 2 fois, ce qui me calma à ne plus parler. Le suspens était insoutenable, surtout avec les corps qui avaient fini de se vider de leur sang.
Nos coeurs battaient très forts, chaque seconde, on avait peur que ça soit la dernière de notre vie. De plus, l'accent chinois du criminel était très énervant, ce qui contribuait au stress. De longs regards noirs se faisaient entre les policiers et le criminel, qui laissaient paraître ses deux yeux bridés au travers de sa cagoule.
Je peux t'assurer, mon petit, dit l'un des policiers, que tu as fait un très mauvais choix, crois moi.
Je n'en suis pas si sûr !, cria le criminel.
La scène se déroula très rapidement. Le tueur tira sur quelques policiers sauf que ces derniers allèrent plus vite que lui. Nous fermâmes les yeux à cause des forts bruits des coups de feu. Quand je les ouvrirent, le tueur gisait sur le sol comme les 5 autres élèves. Cette scène d'horreur était terminée, mais mon Alphonse n'était plus de ce monde. Je pleurai sur son corps pendant des heures. Les ambulanciers n'arrivèrent même pas à saisir la dépouille tellement je la serrai dans mes bras.
Les policiers otèrent la cagoule du meutrier et reconnaissèrent son visage.
C'est Liang Chan, dit l'un des policiers. Il a déjà été dans un asile, il était très perturbé mentalement.
Mais comment il s'est procuré ces armes ?, demandai-je.
Le port d'armes est légal !, répondit-il.
J'avais oublié que j'étais aux Etats-Unis, et que le port d'armes était légal dans ce pays. Mais cela signifait quoi ? Que c'était légal de tuer son voisin ? Que c'était légal d'avoir la possibilité de tuer quelqu'un ?
Je mis au moins un an pour me remettre de cet événement et il n'y a pas un jour sans lequel je pense à Alphonse."
J'accepte volontiers les critiques constructives.
J'ai toujours aimé écrire, que cela soit des nouvelles ou des rédactions au bahut. Seulement je dois écrire une nouvelle tous les deux ans alors c'est pour ça que j'ai décidé d'accéler mon rythme d'écriture.
Etant assez jeune (13 ans), ne vous attendez pas à un chef d'oeuvre. Mais j'accepte volontiers les critiques constructives qui me permettront d'avancer.
La nouvelle que je viens d'écrire s'appelle "Carnage". Elle fait référence à tous les drames qui se déroulent dans les écoles américaines. Cela va bientôt faire une semaine que je travaille dessus.
"Cette histoire s'était déroulée y'a 20 ans de cela je crois... Vraiment un moment qui restera jamais ancré dans ma mémoire. A l'époque j'étais à un collège aux Etats-Unis, dans l'état du Nevada. Je m'en souviendrais toujours.
Laurent, tu as fait tes exercices ?, me demanda le professeur de mathématiques.
Euh..., répondis-je, embarrassé. J'ai pas très bien compris les exercices.
Ou plutôt je ne les avais pas faits du tout. Moi faire mes devoirs c'est une chose qui se déroule très rarement et quand on me voit les faire, ça ne dure jamais très longtemps.
Viens au tableau alors, répondit le professeur.
Vous êtes sûr ?, demandai-je car je n'aimais vraiment pas du tout aller au tableau.
Allez Laurent, vas-y !, me dit mon voisin, mon ami : Alphonse.
Alphonse n'était pas comme les autres, c'est peut-être pour ça qu'il était mon ami. Il avait un esprit très décalé tout en restant quelqu'un de très intellectuel, qui avait une culture énorme. Il était assez grand, du moins, il me dépassait d'au moins dix centimètres et avait une musculature plutôt forte. Nous nous connaissions depuis la primaire et nous partagions ensemble beaucoup de points communs et on se créait un univers rien qu'à nous deux.
Gêné, je partis au tableau à contre-coeur. Je déteste vraiment passer devant tout le monde. Si tu dis ne serait-ce qu'une faute, tu peux être sûr que au moins une personne dans la classe de moque de toi. Mais bon, la vie est telle qu'elle.
Je commençai à corriger l'exercice lorsque soudainement, on entendit des cris. Non pas des cris de chahut, mais des cris de mort. La terreur commença alors à s'emplir dans notre salle de classe. Ces cris étaient accompagnés d'autres bruits forts : des coups de feu. Le collège n'était pas très plein ce jour-là, et notre classe était au rez-de-chaussée. Les cris et les bruits provenaient d'à côté.
J'allai rejoindre ma place quand nous entendîmes de lourds bruits de pas avançant vers notre classe.
Calmez-vous, calmez-vous !, chuchota notre professeur.
Puis un homme claqua la porte et l'ouvrit. L'homme était cagoulé, avec deux revolvers en main. C'était plutôt un élève, d'environ 15 ans, petit et avec un fort accent chinois.
QUE PERSONNE NE BOUGE !, proclama-t-il après avoir la porte. Le premier qui bouge, je lui éclate la cervelle !
Alphonse et moi avions très peur. Nous étions tellement soudés que l'on ne voulait pas mourir.
Le cagoulé nous scruta un à un et était prêt à tirer au moindre mouvement ou parole.
C'est une prise d'otage !, dit-il. Je suis bien armé et je ne suis pas prêt à renoncer à ma quête !
Pourquoi nous ? Pourquoi notre salle de classe ? C'est la question que je me suis posé à ce moment là. Tout le monde dans la classe avait peur, cela se ressentait. Puis on entedit un clapotement et des petits « bips ». Un des élèves essayait d'appeller la police. Le cagoulé entendit autant que nous ces petits bruits et retrouva vite qui appellait.
J'ai dit aucun bruit ni mouvement !!!, cria-t-il.
Puis il dégaina et tira sur la personne. Le corps gisait sur le sol : l'élève était mort. Le cagoulé était donc prêt à tuer et ce n'était pas du bluff. Certains commençèrent à pleurer. Moi je voulais juste rester entier. Le tuer continua à nous scruter pendant de longues minutes lorsqu'on entendit des sirènes. Des sirènes de police ! L'appel avait donc fonctionné ! Les policiers ayant du entendre le coup de feu grâce au téléphone avaient certainement pu localiser l'appel.
Le tueur s'énerva et tira sur une autre personne dans la classe. L'élève n'était pas mort mais souffrait beaucoup. Puis un hélicoptère de police se fit entendre. La grosse artillerie était sortie.
Vous êtes cernés !, dit un policer avec un mégaphone.
Le tueur s'énerva encore plus et tua encore. 3 personnes cette fois-ci dont le professeur. Ce dernier était très blessé mais les autres mourirent sur le coup.
Seulement un des élèves qui était juste à côté de moi était mort : Alphonse. Le tueur avait tué Alphonse, mon ami. Je commença alors à verser des larmes. Mon meilleur ami n'était plus là, il était parti au ciel. Je me retins de ne pas pleurer, ne voulant pas finir comme eux, mais j'étais très choqué comme tout le reste de la classe.
La suite se déroula très vite : les policiers pénétrèrent dans l'établissement et courèrent vers la classe. Ils dégainèrent et visèrent le cagoulé.
Hahaha ! Vous vous croyez malins bandes d'abrutis, dit le cagoulé.
Certainement plus que toi !, répliqua un des policiers.
Hahaha ! Vous, les flics, avec vos airs supérieurs !
Pourquoi fais-tu ça ? Tu sais très bien que tu finiras mort ou en prison pour très longtemps !, répondit le policier.
Je vais vous massacrer le visage !, dit le cagoulé avec un air assez primitif.
Cette scène dura environ 15 minutes. Pendant ces quinzes minutes, les policiers discutèrent avec le tueur, toujours décidé à commettre son méfait. Le stress était de plus en plus fort dans la salle de classe. On se demandait vraiment si on allait mourir. Desfois le tueur pointaitn son arme sur une personne bruyante ou qui bouge. Je fus pointé environ 2 fois, ce qui me calma à ne plus parler. Le suspens était insoutenable, surtout avec les corps qui avaient fini de se vider de leur sang.
Nos coeurs battaient très forts, chaque seconde, on avait peur que ça soit la dernière de notre vie. De plus, l'accent chinois du criminel était très énervant, ce qui contribuait au stress. De longs regards noirs se faisaient entre les policiers et le criminel, qui laissaient paraître ses deux yeux bridés au travers de sa cagoule.
Je peux t'assurer, mon petit, dit l'un des policiers, que tu as fait un très mauvais choix, crois moi.
Je n'en suis pas si sûr !, cria le criminel.
La scène se déroula très rapidement. Le tueur tira sur quelques policiers sauf que ces derniers allèrent plus vite que lui. Nous fermâmes les yeux à cause des forts bruits des coups de feu. Quand je les ouvrirent, le tueur gisait sur le sol comme les 5 autres élèves. Cette scène d'horreur était terminée, mais mon Alphonse n'était plus de ce monde. Je pleurai sur son corps pendant des heures. Les ambulanciers n'arrivèrent même pas à saisir la dépouille tellement je la serrai dans mes bras.
Les policiers otèrent la cagoule du meutrier et reconnaissèrent son visage.
C'est Liang Chan, dit l'un des policiers. Il a déjà été dans un asile, il était très perturbé mentalement.
Mais comment il s'est procuré ces armes ?, demandai-je.
Le port d'armes est légal !, répondit-il.
J'avais oublié que j'étais aux Etats-Unis, et que le port d'armes était légal dans ce pays. Mais cela signifait quoi ? Que c'était légal de tuer son voisin ? Que c'était légal d'avoir la possibilité de tuer quelqu'un ?
Je mis au moins un an pour me remettre de cet événement et il n'y a pas un jour sans lequel je pense à Alphonse."
J'accepte volontiers les critiques constructives.