Et vous, si vous étiez B. WERBER ?
Posté : mar. août 07, 2007 7:31 pm
Je me suis amusé dans ma dernière histoire à me mettre dans la peau de Werber qui parlerait à un ami sans tabou.
Voilà les états d'âme que je lui ai prêtés :
L’écrivain remplit les deux coupes de champagne et en proposa une à la jeune femme.
- Trinquons à la naissance d’une nouvelle amitié.
- A l’amitié.
Ils entrechoquèrent leurs verres.
- Saviez vous que l’on trinquait aussi pour faire fuir les mauvais esprits grâce au bruit que font les verres en se touchant ?
- Maintenant oui, c’est encore une chose que vous m’avez apprise.
- Vous savez mon but n’est pas tellement d’étaler ma science, mais de partager des connaissances glanées au cours de mes recherches. J’aimerai participer à une réflexion collective sur l’avenir de l’Homme, mes livres en sont un bon témoignage, je l’espère.
- J’en suis sûre. Vos ½uvres sont touchantes par leur humanisme. Elles sont faciles d’accès et proposent des pistes de réflexion qui nous font poser les bonnes questions. Enfin, je le perçois ainsi.
- Merci, je n’ai d’autres ambitions que de distraire, de faire rêver un peu tout en distillant ma vision des choses. Je ne suis pas un gourou ou un maître à penser comme veulent le faire croire certaines personnes. Vous savez il n’y a vraiment qu’une qualité que j’aimerai que l’on me reconnaisse.
- Laquelle ?
- D’être aware comme dirait l’un de vos compatriotes.
- Patriote, sans doute pas, con, oui ça sûrement.
- Ses propos sont quelques peu confus mais, en ce qui me concerne, vous voyez ce que je veux dire ?
- Je pense effectivement que vous êtes quelqu’un d’ouvert, de tolérant, qui ne prône pas la pensée unique et qui s’interroge sur ce qui l’entoure.
- Surtout sur l’Homme, ce qu’il réalise parfois me dépasse. Je me sens étranger à ce monde quand je regarde les informations.
- ais vous n’êtes pas pourtant pas seul, vous avez des millions de fans à travers le monde.
- Ah, j’essaie d’être le plus honnête, le plus disponible envers eux. Cela ne suffit pas toujours à certains. Trop possessifs, j'imagine : le fait que je ne réponde pas à un de leurs messages et je suis le dernier des enf..., enfin voilà.
Werber, c’était quelque peu emporté, sans doute à cause de la deuxième coupe qu’il venait de terminer. Il continua malgré tout à se livrer à la jeune femme.
- C’est le revers de la médaille, après tout. La célébrité à ses mauvais côtés, je viens d’en avoir une preuve flagrante avec ce cinglé.
- Et sinon, vous allez réaliser un autre film ?.
- Tout dépend. «« Nos amis les Humains » va être dur à rentabiliser, on attend les ventes du DVD et de l’album, après on avisera.
- Je l’ai bien aimé ce film. Il est drôle, caustique et aussi touchant, mais les critiques ne vous ont pas épargnées et on ne peut pas dire que l’on se soit bousculé pour vous distribuer.
- Sans chercher d’excuses, on n’aime pas les gens qui réussissent et encore moins ceux qui essayent d’enlever l’étiquette qu’on leur a collé dessus. Il aurait fallu que je fasse les fourmis toute ma vie. J’en ai marre de ce pays de médiocres ou de pseudo intellectuels qui se vengent de ne pas être ma place. Pour eux, une ½uvre est bonne quand quasiment personne ne peut la comprendre. J’emmerde leur snobisme. Je m’emporte, mais ça m’énerve et puis je me sens en confiance avec vous Daniella.
Et vous, si vous étiez Werber, face aux critiques sur son film, sur ses livres, sur la bêtise de certains de ses fans. Comment réagiriez vous ?
Trouvez vous mon Werber crédible ?
Perso, j'en aurai marre que l'on cherche à décortiquer tout ce que je dis, tout ce que j'écris, à chercher l'erreur.
Je trouve que c'est un homme à qui l'on demande beaucoup, rien qu'en lisant ce forum, on s'en rend compte.
Moi, si j'étais Werber je me prendrai 1 an de vacances et je me remettrai à écrire de façon anonyme.
Voilà les états d'âme que je lui ai prêtés :
L’écrivain remplit les deux coupes de champagne et en proposa une à la jeune femme.
- Trinquons à la naissance d’une nouvelle amitié.
- A l’amitié.
Ils entrechoquèrent leurs verres.
- Saviez vous que l’on trinquait aussi pour faire fuir les mauvais esprits grâce au bruit que font les verres en se touchant ?
- Maintenant oui, c’est encore une chose que vous m’avez apprise.
- Vous savez mon but n’est pas tellement d’étaler ma science, mais de partager des connaissances glanées au cours de mes recherches. J’aimerai participer à une réflexion collective sur l’avenir de l’Homme, mes livres en sont un bon témoignage, je l’espère.
- J’en suis sûre. Vos ½uvres sont touchantes par leur humanisme. Elles sont faciles d’accès et proposent des pistes de réflexion qui nous font poser les bonnes questions. Enfin, je le perçois ainsi.
- Merci, je n’ai d’autres ambitions que de distraire, de faire rêver un peu tout en distillant ma vision des choses. Je ne suis pas un gourou ou un maître à penser comme veulent le faire croire certaines personnes. Vous savez il n’y a vraiment qu’une qualité que j’aimerai que l’on me reconnaisse.
- Laquelle ?
- D’être aware comme dirait l’un de vos compatriotes.
- Patriote, sans doute pas, con, oui ça sûrement.
- Ses propos sont quelques peu confus mais, en ce qui me concerne, vous voyez ce que je veux dire ?
- Je pense effectivement que vous êtes quelqu’un d’ouvert, de tolérant, qui ne prône pas la pensée unique et qui s’interroge sur ce qui l’entoure.
- Surtout sur l’Homme, ce qu’il réalise parfois me dépasse. Je me sens étranger à ce monde quand je regarde les informations.
- ais vous n’êtes pas pourtant pas seul, vous avez des millions de fans à travers le monde.
- Ah, j’essaie d’être le plus honnête, le plus disponible envers eux. Cela ne suffit pas toujours à certains. Trop possessifs, j'imagine : le fait que je ne réponde pas à un de leurs messages et je suis le dernier des enf..., enfin voilà.
Werber, c’était quelque peu emporté, sans doute à cause de la deuxième coupe qu’il venait de terminer. Il continua malgré tout à se livrer à la jeune femme.
- C’est le revers de la médaille, après tout. La célébrité à ses mauvais côtés, je viens d’en avoir une preuve flagrante avec ce cinglé.
- Et sinon, vous allez réaliser un autre film ?.
- Tout dépend. «« Nos amis les Humains » va être dur à rentabiliser, on attend les ventes du DVD et de l’album, après on avisera.
- Je l’ai bien aimé ce film. Il est drôle, caustique et aussi touchant, mais les critiques ne vous ont pas épargnées et on ne peut pas dire que l’on se soit bousculé pour vous distribuer.
- Sans chercher d’excuses, on n’aime pas les gens qui réussissent et encore moins ceux qui essayent d’enlever l’étiquette qu’on leur a collé dessus. Il aurait fallu que je fasse les fourmis toute ma vie. J’en ai marre de ce pays de médiocres ou de pseudo intellectuels qui se vengent de ne pas être ma place. Pour eux, une ½uvre est bonne quand quasiment personne ne peut la comprendre. J’emmerde leur snobisme. Je m’emporte, mais ça m’énerve et puis je me sens en confiance avec vous Daniella.
Et vous, si vous étiez Werber, face aux critiques sur son film, sur ses livres, sur la bêtise de certains de ses fans. Comment réagiriez vous ?
Trouvez vous mon Werber crédible ?
Perso, j'en aurai marre que l'on cherche à décortiquer tout ce que je dis, tout ce que j'écris, à chercher l'erreur.
Je trouve que c'est un homme à qui l'on demande beaucoup, rien qu'en lisant ce forum, on s'en rend compte.
Moi, si j'étais Werber je me prendrai 1 an de vacances et je me remettrai à écrire de façon anonyme.