La Fourmilière

J'avais écris ce texte pour les personnes dont je m'occupais. Dans les cours de théâtre je leurs faisais parfois lire des poèmes et lorsque un leur parlais. Je le leur photocopiais.
Je me suis permis de créer un topic car on ne peux plus mettre une création au millieu d'autres.


La solitude que l’on s’est imposée,
Ou la bulle que l’on s’est inventée ?
Est-ce la réalité ?
Ou une barrière pour se protéger ?

Souvent on s’entoure,
Pour ne pas prendre de détours.
On prend un coup de bâton,
Et nous tombons.

Pourtant le sentier,
Qui nous a été tracé ?
N’est pas celui de notre vie,
Alors entrons en mal-à-dit.

Car notre apprentissage,
N’est pas trop sage.
C’est pourtant de l’amour,
Calfeutré de trop de velours.

Ce mal-amour que nous absorbons,
N’est juste pas adapté à nos oraisons.
Tout broyer,
Tout oublier.

Pour juste apprendre,
Ce qui nous ressemble,
Trouver notre identité,
Pour enfin s’envoler.

Arrêter d’avoir peur,
De nos leurres.
Comment on ne se. Et on ne se fait pas comprendre.
Il faut bien un jour rendre.

Pour cela partir dans un monde,
Qui fait que l’on ne se trouvera par trop immonde.
D’abord, on nous dit que l’on est quelqu’un d’exceptionnel,
Jalousement notre égo nous garde dans l’irréel.

Avancer avec tout ce que nous avons dans les mains,
Ne plus croire que l’on n’est pas un humain.
Tout ce qu’il y a à classer,
Il faut prendre modifier.

Les bonnes et mauvaises habitudes,
Ce n’est pas être prude !
La vie n’est pas si dure !
Non plus d’enlever sa robe de bure.

Ne pas se bousculer !
Juste avancer !
Réapprendre à s’aimer !
A réfléchir moins embrumé !

Tout mécanisme,
Même les séismes,
Ont une raison.
Il faut juste avoir de la compassion.

Comprendre, ne pas regretter.
Dépasser sa colère pour pouvoir avancer.
Réfléchir autrement.
Faire la guerre aux tourments.

Remplacer le temps faussement utilisé,
Par des pensées mieux appropriées.
Cela s’apprend,
Alors ta vie, tu la reprends !

Ca me parle et j'aime beaucoup J'admire beaucoup cette capacité qu'ont certains de mettre en mots ce qu'ils ressentent.
Re ema

Empathie Heureuse que cela te plaise.
Mais bou tu m'a percé à jour.

L'empathie m'a fait souvent aller dans pleins de compréhensions,
Mais cela m'a fait pas mal me perdre aussi.
Mes questionnements mon mis dans certaines situations,
Afin de mieux trouver des solution pour les vies.

C’est en se perdant,
qu’on se trouve,
C’est en aidant,
Que l’on prouve.

Parler vrai,
En le vivant.
Montrer,
En le prouvant.

Chaque destin est éprouvant,
Chaque chercheur est déœuvrant.
Car c’est avec sa santé,
Qu’il est allé chercher.

Le plus dur est de faire accepter,
Que c’est pour mon bien d’âme,
Que je me suis enterrée,
Et point de blâme.

Ma vie on me l’a donné
A mon droit de la mal mener.
A ma tristesse de la délaisser,
A mes pleurs de le constater.

C’est un jour,
Que je serais dans l’amour,
C’est un jour,
Qu’ils comprendront à leur tour.

Il n’y a pas de temps,
Pour éclore.
Il n’y a pas de chaînes,
Que j’ai encore.

Il y a juste les cicatrices,
Que je penses.
Que je panses,
Pour ne plus être factice.

Etre entière sans barrières,
Etre seule car unique.
Etre avec ma bannière,
Pour mon vrai unique.

C’est a ce prix,
Que je vainquis,
Que je compris,
Le sens de ma vie.

Que j’acceptais ma mission,
Sans plus de sous mission,
Juste un jour à l’unisson,
Exalter mon union.

Pour ne pas me perdre,
Il fallait que je sois certaine,
Ne plus m’enliser dans les merdes,
Il fallait que je sois sereine.

Pour ne pas oublier,
Il fallait que ce soit ancré.
Pour le digérer,
Il fallait que j’enlève mes souliers.

C’est en aillant plus rien dans les mains,
Que j’ai compris que j’avais tout au creux de mes reins.
Des miettes qui me reste de ce chemin.
J’ai une pause pour ne faire plus rien.

Pour l’instant je n’ai plus la force,
De repartir encore seule dans des habitudes,
Je suspends mon écorce,
Dans rien mis à par ma solitude.

Je continue à explorer ce qu’offre cette époque,
Que dans cette fourmilière avec équivoque,
Je prends le temps de me réouvrir,
A ce qui longtemps m’a fait jouir.

C’est avec tristesse que j’avais abandonné,
Ce qui par jeux m’avaient apporter,
Mais il fallait explorer sans se soucier,
Des convenances pour être respectée.

Voilà Celineswin la sensibilitée.
Ce que tu m'as inspiré.
Et merci

***Ajout :***

Toujours je m’en suis voulu,
Puis j’en ais voulu,
J’ai toujours essayé,
J’ai beaucoup testé.

Je me suis éprouvée,
Je me suis trouvée,
Je me suis beaucoup délaissée,
Je me suis beaucoup pleurée.

Je n’ai pas voulu regarder,
Tout ce que l’on me reprochait,
Tout ce que j’oubliais,
Tout ce que je laissais.

Car un jour, je savais,
Que je le, les retrouverais,
Mais pour l’heure ne pas regarder,
Pour moins saigner.

Un jour je serrais régulière
Car j’aurais un chêne pour être un lierre,
Non pour être parasitaire,
Mais complémentaire.

Je n’ai rien su entretenir,
Mais mon mal être,
A su ne pas leur mentir,
Pour ne pas qu’ils regrettent.

Qu’ils me laissent dans me quête,
Les éléments ont mes requêtes,
Qu’ils gardent pour quand je serais prête,
Et constamment je guettes.

C'est en surpassant ma pudeur celineswin
C'est en me foutant des dires et pensées
Que j'ai réussi à m'exprimer
Car ma vie est de donner
A ce que dieux parait il, a délaissé
Heureusement que j'ai un caractère de con
Disent les cochons
Pour voir les désespoirs.
Pour sentir les devenirs.
Pour redonner espoir,
A mon grand déboire,
Mais je préfère cela,
A quelque chose qui ne me ressemblerais pas.

***Ajout :***

Il y avait longtemps que je n'avais pas écris sous forme de poème.
Comme personne ne clavette entre cela va faire une même personne longtemps. Mais quel plaisir cela fait.

Discutions avec moi !

Ah ! qu’est ce que je vais faire de moi.
Ma carcasse où as tu ta place ?
J’ai la chance de pouvoir attendre pour faire un choix.
Il me tarde que je me déplace.

Que me faut il maintenant ?
Par quoi commencer ?
Pour me replacer ?
Pour cet élans ?

Je peux attendre,
Sans me méprendre,
Père de cœur m’accueille,
Pour repartir vers mon ailleurs.

Serais je heureuse si j’avais…
Une maison dans un prés …
Un travail d’a peux prés…
Un amour juste pour être enlacé…

Non !!!! Je ne serais pas comblée,
Comme d’hab. Je me lacerais.
Comme d’hab. Je repartirais.
Comme d’hab. Je Réétudierais.

Reposer ses valises,
Reposer ses savoirs,
Juste pour avoir des devises,
Juste pour encore un savoir.

Comment dans ce temps,
Avoir du temps,
Avoir de l’argent,
Comment devenir savant.

Heureux d’être en cet instant,
Heureux d’être pour un avant,
Heureux de contribuer au futur,
Heureux de regarder les augures.

Et pourtant si lasse,
Que les choses passent,
Et pourtant si optimiste,
D’avoir tant de pistes.

Mais à être tout,
On se retrouve en tout,
Mais à être malléable,
On se retrouve pliable.

Nous avons tous une fonction,
Nous avons tous une connexion,
Nous avons tous traversé des tempêtes,
Nous avons tous avancé à être moins bête.

Quand on se retrouve enfin,
Emus d’avoir traversé tant de confins.
Embarrassé d’en être amoché,
Mais fier d’y être arrivée.

Stop ! un temps par pitié.
Je veux voir arrivée,
Sans plus me brusquer,
L’horizon que je veux me fixer.

J’ai de nouvelles données,
Mais vers où les orienter ?
Des empêchements se sont dissipés,
Je n’y suis pas habituée.

Toujours ce souhait,
Propre à l’humanité,
Toujours cette attente,
Qui est déprimante.

Comme cela me hante,
Comme cela me laisse du temps,
Comme cela me plante,
Comme cela est récurent.

Etre accompagner,
Pour tout déballer,
Ne plus être amputé,
De tout ce qui me fait.

Ne plus composer,
Dans des contrées,
Qu’il faudra quitter,
Car on sait.

Que l’on n’est pas à sa place,
Que l’on serra lasse,
Que l’on sera éjecter,
Que l’on n’est pas de cette race.

Leurs égos
Nous fait défaut,
Leurs ergots,
Ne sont pas beaux.

Alors je me lèves ?
Pour mettre en place qu’elle machine ?
Activer qu’elles doctrines ?
Je m’investis dans quelle officine ?

Patience ! dans ce non être,
Patience ! dans ce non devenir,
Patience ! dans ce mal être,
Patience ! dans ce souvenir.

Il me semble que des traits s’esquissent,
Il me semble que les nuages se désépaississent,
Il me semble que ce doit être ainsi,
Il me semble au delà de mon dépit.

Comme d’hab. J’aurais un sursaut de vie,
Comme d’hab. J’aurais envie,
Comme d’hab. Je me dirais : au moins j’ai appris,
Comme d’hab. Ca attendra dans l’oublie.

Je pioches dans mes apprentissages,
Je constates qu’ils ont acquis des présages.
Je constates Qu’ils seront toujours de mes âges.
Je constates qu’ils ne sont pas que de passage.

Ils savent que je les ais abandonné
Afin de mieux les exploiter,
Afin de mieux me trouver,
Afin de mieux les respecter.

Eux ne m’ont pas jugé,
Car ils savaient,
Qu’ils n’étaient pas oublié,
Car un jour ré exploité.

Aujourd’hui que j’ouvres mes mains,
Je constates moi qui avais peur d’un dédain,
C’est pas vrai que je n’est rien,
J’ai simplement à mettre cela dans un écrin.

Eh bien alors je "clavette" pour que tu n'aies pas encore à éditer.

C'est pas du flood : c'est utile pour que ce soit plus lisible.

Appréciant la poésie
est-il possible
que tu écrives un haïku?



(ne le prends pas mal)

Royal Musashi Ton haïku question.
Petite def pour les règles que je ne connaissais pas.
Le HAIKU est un court poème d'origine japonaise de 17 syllabes soumises à l'alternance 5-7-5.
Il peut faire partager, des émotions, des sensations, des impressions en puisant son essence dans les images de la nature.

Boitant pour marcher,
Une branche venue m’aider,
J’ai pu aller loin.

Les cieux en pleurant,
Mon laver la colère,
Je les aient pe(a)nsé.

La voix de l’oiseau,
Me prend dans ses bras doux,
Calme tous mes feux.

Sans un vrai rêve,
On se meure dans ses pleures,
Tant pis. C’est la vie ?

L’espoir pour ce jour ,
C’est de toujours être le jour,
Qui est le bon jour.

Je suis au passé,
Je projettes l’avenir,
Mais pour maintenant.

Pause le bilan,
Tu veux être quoi maintenant,
Un tout c’est bien mieux.

L’eau est d’un trouble,
On ne voit plus les poissons,
Le temps l’éclaircit.

Yes! Les derniers sont mieux il me semble?

A toi maintenant
Il faut que m'entraine un peu.

***Ajout :***

Bannissements de sentiments

L’absence
Laisse place à l’errance,
Une nouvelle danse,
Prend place en cadence.

L’instinct de survie,
Efface ce sursis,
Si le doute est en vie,
La réponse à déjà pris vie.

Trop d’attente,
De place latente,
De vide qui se lamente,
Le silence qui tourmente.

D’autres pas arpentes,
Un élan charpente,
Une idée charmante,
Balais une partante.

Le temps est révolu,
N’en parlons plus,
Juste déçus,
D’avoir crus.

Que seul mon avancé,
Soit ajourné,
Que ma destinée,
Soit mon seul aimé.

Que mon c½ur soit arraché,
Que la vie désirée,
A jamais écartée,
Ne vienne plus troublé.

Je l’ai en-boité,
Pour ne plus aimer,
Ne plus se lamenter,
Et le temps mieux exploité.

Sans lendemain,
Donner la main,
Un nouveau chemin,
Passe par les reins.

Le doute,
Dégoûte,
Goûte,
La déroute.

La porte se referme,
Sur un visage blême,
De dos il voit la reine,
Qui repart sans chaînes.

Quand d’un élans,
On n’a pas le cran,
D’un prince charmant,
On redevient manant.

Contrat diction
L'âme vagabonde
Regard hazard et persévers

_________________ _________ ___________________

L'esprit profond résonne et sonde
Hymne à la Vie l'Amour, la Terre

______________________ _________________________

Contradiction
Naissance d'un monde
Fondement des êtres
Houles et repères...


...............................
Des Hommes sans gages
....Un monde sans rage....
....Le tout serein, calme...
............Et présage..........

Ah ! bordel comme c’est beau de s’avoir attendre.
Comme il est difficile de comprendre.
Comme parfois les étapes sont pour nous surprendre.
Ah ! bordel comme la vie est tendre.

Pouvoir voir les états d’âmes dans cet ailleurs.
Arriver à accepter tout en sachant que l’on ne se trompe pas.
Le croire et pourtant le voir avec une autre.
Se faire oublier et se mentir par ailleurs.
Continuer à se mettre dans cet état d’esprit pour de meilleurs pas.
Se rendre compte que tout à servi dans le sens de l’autre.

Attendre pour enfin aller jusqu’à la fin d’une histoire.
Vivre des bouts en parallèle pour comprendre le vrai sens.
Se mettre dans une vie que l’on ne croyait pas pour soi.
Se rendre compte que c’est cela que l’on souhaite partager avec toi.
Enfin rassembler ce que l’on avait dispersé en fragment dans des histoires.
Être émus en voyant en une seule personne réuni les multiples sens.
Se rendre compte que l’on est respecté et aimé pour la totalité de soi.
Ne plus partir dans les rêves pour être deux car tu es dans le réel toi.

Assisté de loin à des ébats et donc par respect se retirer.
Voir le paradoxe d’une hystérique qui le rabaisse et l’humilie et le manipule.
Voir aussi des bouts de bonheur qui sont de base mais si furtif et futiles.
Se mettre à douter et à se reconditionner pour continuer sans pleurer.
Ne pas rentrer dans des schémas dans lesquels on ne s’est pas consulté.
A chaque fois se rendre compte que dans le réel l’autre encore plus parfait.
Je pense que l’on peut s’arrêter de se croiser pour se retirer.
J’ai enfin trouvé la vrai vie que je veux partager jusqu’à chaque crépuscule.
Grâce à certaines projections d’humains sur moi j’ai aimé ce que je croyais puérile.
Il parait qu’il y a un an de fiançailles afin de pouvoir vivre ensemble le temps s’est écoulé.
Que parfois il faut se mettre en phase pour ne plus subir et être usurpé.
Qu’il y a un temps pour ne plus douter de la véracité des faits.

Lorsque le dragon a qui on retire ses dons car pas asses affiné.
Que l’on muselle pour ne pas être réquisitionné.
Lorsque ce qui est séparé se rassemble pour devenir entier.
Sans avoir été influencé pour ne pas être approprié par des métiers
Et que l’on devient des vases communiquant avec clarté.
Lorsque le lion n’a plus peur de son essence qui fût maltraité.
Lorsque les doutes se sont dissipés et que les souhaits se sont encrés.

Les actrices vont se rhabiller et sans méchanceté mais remerciement.
Accepter la rééducation et l’ouverture échangé.
Que son égo et hystérie se retirent calmement.
Quelle apprécie ce qui a été prêté pendant une plongé.
Car à se cramponner au détriment du bonheur de l’autre.
Cet égoïsme risque de détruire ce qu’elle a entrevu d’une relation.
Et ne pourra même pas le vivre quand elle sera avec son autre.
Dommage si il faut agir sur d’autres terrains qui ne sont pas sa nation.

Merci de m’avoir appris à me battre pour moi en observant ce manège.
Merci de nous avoir fait prendre conscience de pouvoir vivre cela.
Merci de nous avoir aidé à ne pas rentrer dans ces comportements là.
Merci de nous avoir évité d’être recouvert par ce genre de neiges.

A chaque fois que je regarde derrière je me rends compte que tout est sage.
A chaque fois que je demande pourquoi je m’aperçois que j’ai encore appris une nage.
A chaque fois que je repars dans cet état c’est pour te sentir et te rencontrer.
A chaque fois que je me bloque c’est par ce que tu n’es pas dans ma contré.
Je me rends compte en ayant lu tes souhaits que j’ai pu m’incarné.
Je me rends compte en te lisant de tout ce que tu as enduré.
Je me rends compte en échangeant des éclaircissements des incartés. (Incartades mais pour la rime)
Je me rends compte que maintenant je veux fusionner sur la durée.

Incroyable comme tes souhaits me vont.
Incroyable comme mes aptitudes te compléteront.
Incroyable comme on ne sera plus seul pour nos missions.
Incroyable comme je veux m’asseoir à tes côtés dans toutes les maisons.
L’organisation est aussi une de mes fonctions.
L’amour de mon compagnon est toujours ma vocation.
De compléter et sublimer des missions fait ma fonction.
D’ouvrir et de protéger les raisons est une de mes portions.

Appel de mission, je pars en accompagnement.
Cet un bon jour pour un enracinement.
14/02/08 de la semaine 7 au calendrier grégorien, le premier quart de lune pour un départ.
Si ce jour sous l’égide de l’amour te va oui pour ma part.

DéliceS

Comme j’aime la vie…
C’est une image lointaine…
Mais ce c½ur te ravie.
Car sans source ni fontaine,
Ni amour, ni même haine…

Et banissant le temps, qu’épépite les pendules
Je hurle pour l’instant. Que chacun le module...

Et puis bien des pensées, des phrases enchevêtrées
Par la route des Saints j’ai voulu m’engager
Mais je reste un humain, même extrasensoriel
Qui s’éprend pèle mêle poudre cosmique destin

Et résonne des phrases, le discours se morcelle :
Ces âmes en peine pullulent mortifiées sous la lune
Que la plume relève douce et belle, incrédule.

Puis éclosion soudaine,
D’une fleur de lotus…

Sur un lit de sirène
La sagesse est confuse…

….Dan se dé li dan les airs….

Que l’empathie donne plusieurs vies,
Comme il est dur de stopper l’activité de zapping,

Que les perso ont un sujet de prédilection,
Que l’un ne se perde pas,
Et assume sa multiplicité parfaite.

Que de facette à un humain,
Qu’il est bon de parfois se retrouver,
Qui peux le rassembler.

Qui peut répondre à cela,
Qui peut brouiller les pistes,
Qui sait qui peux ?

Dans les méandres des chemins,
Arriver à se poser dans du vrai,
Ne pas que côtoyer des surfaits.

Que la blancheur ne s’entache pas,
Que le poids soit enlevé,
Et que dorme un ange.
_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-

Ne pas trop écrire où échanger,
Les idées net-ées sont critiquées si manuscrite,
Ne pas attiser les dents contre un charmant,
La peur de donner une opinion est là.

Que les échanges soient court-circuités,
En étant pris comme joug ou rivalité,
Que la personnalité se face par rivalité,
N’est pour moi pas une intelligence.

La nonchalance est elle une protection,
Assisté ne fait qu’attrister,
Qui prend la place de l’autre,
S’effacer ou continuer ?

L’ouverture des mémoires est un délice,
Mais le temps pourra lui être propice,
Le parallèle est amusant, voir succulent,
Et si oeuvrant que c’est fascinant.

-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_

Comme il est étrange,
Mon comportement change,
Pourtant ce n’est pas la personne,
Et les attitudes le font.

Je n’arrive plus à préserver,
Tout est en passe d’arriver,
J’ai des envies refoulées,
Qui grandissent et ne se bannissent.

Des images m’enveloppent,
Pas une ne dérangent les anges,
Les rêves se mélangent ça change,
Les mains vides se colorent.

Retour aux sources
Pour une nouvelle pousse
Atterrissage en douce
A un merveilleux couple.

***Ajout :***

Prend un sachet de thé à la camomille et/ou verveine et/ou lavande et/ou millepertuis.
Tu peux mélanger le tout.
Si tu as des problèmes, des difficultés, des souffrances, des chagrins et des maladies incorpore mentalement tout cela dans le sachet.
Car le solstice d’été permet de brûler tout cela pour repartir plus léger vers l’avenir.
A oui il faut une bougie rouge ou un feu ainsi qu’un récipient si tu n’as pas ton chaudron pour y laisser brûler tes maux mis en mots ou en pensées dans les herbes. Elles seront le réceptacle qui se consumera.
Tu le brûlera à un certain moment du rite donc suit et prend le temps de ton introspection.

Ô Grande Déesse, Ô Dieu,
Vos énergies font vibrer la nature entière
Et la terre est baignée de chaleur et de vie.
Voici le temps d’oublier soucis et fléaux du passé ;
Voici le temps de la purification.
Ô ardent soleil,
Par la toute-puissance,
Consume futilités, souffrances et fléaux,
Purifie-moi,
Purifie-moi,
Purifie-moi.

Prend ton sachet invocatoire et met le en contact avec le feu.
Lorsqu’il a pris feu, laisse le tomber dans le chaudron.

Je vous bannis
Par les pouvoirs de la Déesse et du Dieu !
Je vous bannis
Par les pouvoirs du soleil, de la lune, des étoiles !
Je vous bannis
Par les pouvoirs de la terre, de l’air, du feu, de l’eau !

Arrêtes-toi un instant pour regarder les souffrances, les blessures réduites à néant.

Ô gracieuse Déesse, Ô Dieu bienveillant,
En cette nuit magique du solstice d’été
Je vous prie de charger ma vie d’émerveillement et de joie.
Aidez-moi à m’harmoniser aux énergies qui flottent
Dans l’air de cette nuit enchantée,
Je rends grâce.

Médite sur la purification à laquelle tu t’es soumis.
Prends le temps de sentir les puissances de la nature qui circulent en toi maintenant que tu es lavé.
Célèbre cela par une petite fête par exemple.

Wicca magie blanche.

Je peux me permettre ?
J'aime beaucoup ce qui est dit, les réflexions ...
Vraiment beaucoup !!
Mais je me permets de dire ce que j'aime moins personnellement car, en tant que poète moi même, cela ma fait évoluer.
Par rapport aux sons, au rythme, il y a un je ne sais quoi qui me dit que c'est du texte, que c'est poétique, mais que c'est pas poésie. Je le redis ce n'est pas à mal que je dis ça et je ne prétends pas savoir le faire.
Le jeu sur les sonorités, les sons, les rythmes ...
Pour moi, un poème peut ne rien dire mais s'il joue, s'il sonne, s'il roucoule, s'il montre, s'en est un.
Le mieux est selon moi (encore lol ), l'alliance des deux.
Mais hyper félicitations !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ce n'est pas de moi c'est en cela que c'est signé.
Mais je voulais partager avec ceux qui l'on lu les bien fait que cela procure. Que l'on y croix ou pas!
Merci d'avoir posé tes remarque rêvelin

Ce n'est pas de toi ??

"Mais je voulais partager avec ceux qui l'on lu les bien fait que cela procure"

Je ne comprends pas ce que cela veut dire. Tu peux redire ? Désolé ...