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Premier texte sortie droit de mon imagination

Posté : ven. oct. 20, 2006 8:29 pm
par Louis_VMV
Alors voila un soir je me suis dit tiens si j'écrirais un texte avec en implicite une sorte de "déclaration". Il est ptet un peux long mais je sais pas comment le mettre en lien, sur certains forum on peux y héberger un fichier... Bref
J'aimerais votre avis et vos impressions sur mon style d'écriture et le reste.
Je vous prie d'être indulgent sur les fautes (jeunes et fainéant...).
Merci a ceux qui me liront ;)

Une nuit à Venise

Elle était là assise sur le banc, je la voyais de profil dans ce magnifique endroit qu’est la place Saint Marc par une magnifique journée fraîche de février.
Le soleil commençait à réchauffer l’air vénitien. Elle était tranquillement entrain d’observer la mer calme où passais de temps à autres quelques bateaux sur bondée de touristes. Sa chevelure blonde étais chahuter par le vent marin, il ondulait gracieusement au gré du vent, elle se tenait bien droite sur le banc, ses formes majestueuses ressortais, l’on discernait très bien ces hanches, sa taille parfaite, sa poitrine d’une taille acceptable et ces épaules ni trop haute ni trop relâcher. Le temps s’emblait devenir lourd jusqu'à s’arrêter pendant que je l’admirais, moi qui avais perdu goût à la vie et avais tenté de me ressourcer dans cette paisible et sublime ville qu’est Venise. J’avais enfin trouvé d’un coup d’œil celle qui pourrait potentiellement me rendre à nouveaux heureux. Le plus dur restait à faire, l’abordage, qui reste une science, à mon grand malheur, inexacte, aucun moyen de prévoir les pièces qui vont bouger au contraire d’un jeu d’échec.
C’était quitte ou double, soit je repiquais au fin fond de mon gouffre en me faisant remballer, soit j’arrivais par de multiples manœuvres subtils à la conquérir et à faire un petit bout de chemin avec elle dans mon existence.
Surpris dans mes pensées par mon téléphone portable qui vibrait dans ma poche je fus ramené au temps présent. Je tournai la tête comme pour vérifier si l’ange aperçut quelques secondes plutôt n’étais pas parti rejoindre Saint Pierre au paradis, ouf il était encore par mis les mortelles. Je retournai mon attention sur l’écran de mon portable qui affichait bêtement « batterie faible ». Comme la vie est faite de petit rien qui vous dérange dans les moments de plus simple bonheur, c’est impressionnant. Suite à cet incident mineur je retournai à la contemplation de ma petite beauté. Elle était maintenant tournée vers la l’obélisque de la place, c'est-à-dire qu’elle regardait dans ma direction. J’arrivais à voir les trais fins et sensuelles de son visage, ces yeux étais marron clair, ces lèvres étais recouvertes d’un gloss rouge discret légèrement brillant au reflet de se beau soleil de fin d’hiver italien. Son buste bien taillé avec des épaules légères et des seins magnifiquement proportionnés était recouvert d’un haut moulant noir à col haut, le tout délicatement ornée d’une éole rouge très fine. Ces cuisses quand à elle était simplement habillé d’une robe noir à rayures rouge descendant jusque aux genoux. Ces mollets étaient entourés d’un collant trop fin pour ce mois de février frais. Elle était l’incarnation de la beauté à mes yeux, un irrésistible sentiment de courage me traversât, peut-être du a la détresse de ces derniers temps, me poussa vers elle. Je me levai et d’une démarche tranquille me dirigea vers elle, je lui demandai poliment si je pouvais m’asseoir à ces côtés sur le banc. Je lisais de la fatigue dans ces yeux. La pensée qui me traversât fut celle d’un idiot qui venait d’aborder une jeune fille et qui maintenant ne savais plus quoi faire. Mais quand mes yeux glissèrent le long des ces jambes les courages reviens et j’entamai la conversation. Elle parlait tranquillement et patiemment, je ne la dérangeais pas. Au fur et à mesure que nous en apprenions plus sur l’autre, l’impression que je gagne du territoire sur ces sentiments était forte en moi. Au bout d’une heure à parler de tout et de rien elle m’annonça devoir me quitter, je lui demandai si nous pourrions nous revoir et l’invita à dîner dans un restaurant a la mode de Venise. Elle accepta après quelques secondes de réflexion et nous nous quittâmes en échangeant nos numéros de portables. J’étais soulagé d’un poids énorme. Je rentrais à ma chambre d’hôtel heureux de ma nouvelle connaissance. J’étais impatient de la revoir et de pouvoir approfondir notre relation.
Le lendemain je fus réveillé par le soleil qui perçait a travers les fins rideaux de ma chambres, sa donnais une lumière tamisée dans cette chambre sublimement décorée. J’avais choisi un hôtel parmi les plus chics de Venise. Puis tout en émergeant de cette nuit agrémentée d’un rêve sensuelles en pensant a elle je m’interrogeais sur ce que j’allais faire avant mon rencard. Je descendis prendre mon petit déjeuner, et décida de déambuler pour visiter Venise un peux, j’étais ici que depuis hier matin, je n’avais que vu la place Saint Marc.
La matinée passât rapidement, je pris table à un restaurant ou l’on cuisinait des plats traditionnels et commanda un plat de pâtes aux pestos tout simplement.
L’après midi fut aussi courte que la matinée. Vers 17H je retournais à ma chambre pour me préparer. A 18h30 je quittai ma chambre et une demi heure plus tard j’étais assis a une table deux personnes la où nous avions rendez vous. J’étais impatient, je m’étais mis sur mon 31. Puis tout à coup la salle fut illuminée de sa majestueuse présence. Elle était habillée d’une belle robe rouge très simple, recouvert d’un simple gilet noir. Quand elle traversât la salle pour aller a ma rencontre tous les hommes présent dans la salle se retournais et l’observer passer devant eux. Elle vint s’asseoir en face de moi et me salua. J’étais encore impressionné par tant de grâce et de beauté en elle. Nous discutions tranquillement de cette ville magnifique qu’est Venise. J’en appris encore plus sur elle et dévoila au fur a à mesure mes raisons d’être ici. Je lui dis que je sortais d’un mariage raté. J’appris qu’elle était célibataire. Ca me soulagea énormément, le chemin était libre, je n’avais plus qu’à m’engager.
Après l’apéritif (une coupe de champagne) vit le l’entrée, une simple assiette de fois gras ornée de deux toasts dorée et de quelque légumes frais, le tout accompagné d’une bouteille de Sauternes. Après l’entrée vint le plat principal. Un magret de canard pour moi et de la dorade pour elle, le tout cette fois ci accompagnée d’un blanc sec et fruité. Je me demandais si c’était l’effet de l’alcool qui me permettait de discuter de choses plus secrètes, telle que mes petits tracas. Tout d’un coup je sentis une présence le long de mes jambes. Son pied déchaussé glissait le long de mes mollets tendrement. Elle me fixait intensément dans les yeux, je lui souris puis reporta mon attention sur le serveur qui voulait savoir notre choix pour le dessert. Je pris une simple glace à la framboise et un verre de whisky, elle prit une crème brûlés et un café. L’envie de la serrée dans mes bras et de la caresser tendrement montait en moi, je pense que ce sentiment étais réciproque vu la façon d’on elle me parlait et le regard qu’elle me lançait avec un sourire coquin au coin des lèvres. Après avoir réglé la note, je l’invitais à boire un dernier café dans ma chambre avant de la raccompagner. Elle accepta avec entrain. Tant disque nous marchions tranquillement sous un ciel étoilé pour rejoindre ma chambre, elle me prit doucement la main, m’attirât vers elle, et m’embrassât fougueusement. Je son odeur, ces cheveux qui me chatouillait le visage et sa poitrine contre collé a mon torse. Une immense joie montait en moi, un sentiment de triomphe et de bonheur. Elle stoppa et partie dans une ruelle obscur tout en riant. Je la suivis à travers les ruelles de Venise pendant 10min. Ce petit jeu ne faisait qu’augmenter mon désir, c’était elle qui menait le jeu. En arrivant à l’hôtel nous prîmes l’ascenseur et enfin nous arrivâmes à ma chambre. A peine celle-ci fermer elle me sauta dessus, s’accrocha à moi et m’embrasse a nouveau. Cette fois avec plus de passion, de plaisir et de sensualité que la fois précédente. Quand elle relâcha son étreinte, elle se dirigea vers la salle de bain tout en me lançant un dernier regard coquin. Je repris mes esprits et défit légèrement ma chemise blanche et alluma la chaîne-hifi qui diffusa un bon rock lent et beau. Tout à coup la porte de la salle de bain se rouvrit et le temps se figea. Elle était vêtue du plus simple apparat. Un sous vêtement rouge en tissu fin avec des dentelles noir en bordure. Elle avait déplié son éole noire et elle recouvrait maintenant son buste nu. Elle était sublime. Elle vint vers moi en se déhanchant sur le rythme qui montait en crescendo. Elle dansait a présent autour de moi tout en enlevant mes vêtements avec précision petit a petit. A la fin de la chanson je me retrouvais en caleçon. Maintenant c’était à mon tour, Je la pris tendrement dans mes bars et l’amena vers le lit, je la couchai dessus et lui enleva son fin voile et découvrit son torse. Je me sentais près à attaquer, à tout donner, à lui faire atteindre le septième ciel. Je me mis sur elle et tout en l’embrassant je fis glisser mes mains qui épousaient les formes de ces hanches avec douceur. Mes lèvres glissaient le long de son ventre tout en le recouvrants de petits baisers. [Blocage]
Je me réveillai par une matinée, me tourna dans mon lit et la sentie à mes côtés. Je la laissai dormir et parti commander le petit déjeuner au lit. Il était près de 10H quand le room service apporta le petit déjeuner, je pris une tasse de café et me décida à la réveiller. Je m’approchai d’elle et lui caressa tendrement le visage et la couvrit de baiser. Elle se réveilla doucement et me sourit…



Note de l’auteur : Cette histoire s’arrête là pour moi, mais dois continuer dans votre imagination, pour que vous rajoutiez votre « touche personnelle ». Les noms des deux amoureux sont inconnus pour vous permettre de peut-être vous mettre à leur place.
Quant à l’annotation « blocage » Elle est présente pour que je ne rentre pas dans « l’érotique » mais aussi car je n’y arrive pas à l’écrire. Mon imagination s’arrête la où s’arrête mon vécu.
Je finirais par une petite pensée. « L’auteur rajoute toujours une part de lui dans son œuvre » …