Ah ben puisqu'il parait qu'il faut retourner à ce post, hein.
Les molècules sont former d'atomes 99.99999% plus petit que la molècule et chaque atome est (a son échelle) très distancer.
C'est complètement faux : l'atome fait approximativement quelques centaines de picomètres (je prend comme base le rayon minimale d'une orbite électronique, 52.9 pm). Une molécule n'est pas beaucoup plus grande que deux atomes mis bout à bout, puisque c'est plus ou moins ça. (les orbitales se recoupent). Pour citer, une liaison entre deux atomes est entre 1 et 2 angström, soit... quelques centaines de picomètres.
Des éléctrons encore plus petits tourne atour de l'atome.
La comparaison est plus adaptée - l'électron est considéré comme ponctuel jusque là, en tous cas plus petit que 10^-17 mètres. Mais bon...
Serait t'il possible que notre Terre est l'éléctron, notre soleil l'atome, et notre gallaxir une molècule d'un monde suppérieur?
Mais bon, non. Les lois sont très différentes aux deux échelles (sinon, l'électron négatif irait souvent s'écraser dans le noyau positif!). Et par ailleurs, tu confonds l'atome et le noyau.
Premièrement, l'orbite d'une planète n'a rien à voire avec celle d'un électron. L'électron n'a pas d'orbite, mais ce qu'on appelle une orbitale (ou spin-orbitale, si on veut être pédant), en fait une probabilité de présence en chaque point de l'espace et du temps, le rayon d'un atome n'étant en fait que la zone de probabilité maximale d'existance d'un électron à cet endroit.
Deuxièmement, ces orbitales ne sont pas le résultat d'un mélange d'attraction et de vitesse initiale - quoi qu'il arrive, un électron ne pourra jamais s'écraser dans son noyau (du moins dans des conditions normales). Il restera fermement sur son orbitale - ou bien sautera à des nombres incalculables de fois sa propre taille plus loin s'il vient à être excité.
L'électron est difficilement assimilable à une planète concrète. Ce n'est qu'une probabilité de présence sur une zone.
Bref, en dehors du "un machin est en fonction du temps autour d'un autre machin" et "L'un est petit et l'autre est gros", les deux sont difficilement assimilables.
Bon, après, on peut toujours dire "Tout cela est partie constitutive d'un ensemble plus grand" (sans avoir besoin de comparaison à un atome). Mais l'univers n'étant pas infini et qu'on semble en avoir vu la plupart des recoins, l'ensemble magique qui vous préoccupe se planque bien.
qu'est-ce qui te dit que l'espace temps est le même vu d'un electron que vu d'une planette?
J'ai du mal à comprendre ce que vient faire l'espace-temps dans l'histoire. L'espace-temps est à cet échelle pratiquement plat dans la plupart des circonstances (le rayon de courbure sera dans la quasi-totalité des cas immense par rapport aux particules elles-mêmes). Ce qui est plus ou moins le cas chez nous.
Avec la technologie moderne, on a décourvert les quarks, et autre particules élémentaires. Vu qu'on sait regarder encore plus petit un électron, et qu'en plus les électrons font l'objets d'études depuis des décennies, à mon avis on aurait déjà trouvé...
Un quark n'est pas plus petit qu'un électron, et on ne sait pas voir un objet plus petit qu'un électron. On ne sait à vrai dire pas voir un électron : qu'importe la puissance déployée jusqu'à aujourd'hui, l'électron apparait toujours comme un point.
Peut-être est-ce nous qui faisons partie d'un ensemble de molécules, et que d'autres essayent de nous observer avec leur microscope...
Ils auront bien du mal : ce serait des gens très lent, vu que les interactions sont alors limitées à la vitesse de la lumière! Le temps que l'ordre de leur cerveau éventuel aille jusqu'à l'organe manipulateur, voilà que quelques milliards d'années se seront écoulés.
je croie que même les propositions les plus invraissemblables ne peuvent être infirmé à défaut d'etre affirmé alors, oui, "qui sais ?"
Si ça se trouve, l'holocauste n'est même pas arrivé!
Et qu'est ce qui nous prouve que les quarks, justement plus petits que les electrons, ne seraient pas des êtres pensant habitant notre intérieur, nous qui sommes leur univers...
Selon toute vraissemblance (c'est requis par le modèle standard), les quarks sont des composants ultimes de la matière. Pas d'organes, et donc encore moins de pensée.
Il ne faut pas oublier que nous avons à l'intérieur du corps des êtres vivants, qui ne pensent peut être même pas appartenir à notre corps: des bactéries dans nos intestins, voir même les mitochondries dans nos cellules, qui sont à l'origine des bactéries qui vivaient en dehors de nous, et qui ont fini par se symbioser avec nous dans une homeostasie, mais là je m'éloigne...
Et puis je suis à peu près sûr qu'ils ne pensent même pas tout court!