John Kennedy Toole
Posté : mer. mai 31, 2006 1:02 am
La conjuration des imbéciles est un livre que j'ai trouvé génial, l'histoire de ce livre est assez atypique (voir 4 eme de couverture ci dessous..., l'histioire qui y est racontée est assez décalée, le personnage ed' Ignatius est touchant, à la fois crétin et amusant, c'est un garçon qu'on aimerais certainement connaître, mais devant un tel phéniomène ce serais difficile de garder son séieux...
Ignatus en vendeur de saucisse est assez hilarant, si vousvendez des saucisses dans la rue, et que vous vous comportez comme ça, vous seriéez le le cauchemar de tout patron, même le plus gentil...
J'ai trouvé le commentaire d'un lecteur, sur Amazon, qui décrit assez bien le livre... Je vous recommande fortement ce livre, que ceux qui l'on déjà lu, donne leur avis ici, ce serais sympa...
Quatrième de couverture :
« Écrit au début des années soixante par un jeune inconnu qui devait se suicider en 1969, à l'âge de trente-deux ans, parce qu'il se croyait un écrivain raté, La Conjuration des imbéciles n'a été éditée qu'en 1980. Le plus drôle dans cette histoire, pour peu qu'on goûte l'humour noir, c'est qu'aussitôt publié, le roman a connu un immense succès outre-Atlantique et s'est vu couronné en 1981 par le prestigieux prix Pulitzer. Une façon pour les Américains de démentir à retardement le pied de nez posthume que leur adressait l'écrivain, plaçant en exergue à son livre cette citation de Swift: "Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui." » - Bernard Le Saux, Le Matin
SDM
Une tumultueuse et gargantuesque tragi-comédie humaine, qui a pour cadre les faubourgs perdus et les bas quartiers de la Nouvelle-Orléans. Le héros tient à la fois du Don Quichotte adipeux, du saint Thomas d'Aquin pervers et du Oliver Hardy délirant (cf. la préface). Tout ce qu'il entreprend tourne au grotesque ou frôle la catastrophe. Une oeuvre picaresque, originale et accessible, qui a fait, tardivement, l'unanimité de la critique. Hélas, puisque se croyant un écrivain raté, l'auteur s'est suicidé en 1969. Il avait écrit ##La conjuration## au début des années 1960.
Ignatus en vendeur de saucisse est assez hilarant, si vousvendez des saucisses dans la rue, et que vous vous comportez comme ça, vous seriéez le le cauchemar de tout patron, même le plus gentil...
J'ai trouvé le commentaire d'un lecteur, sur Amazon, qui décrit assez bien le livre... Je vous recommande fortement ce livre, que ceux qui l'on déjà lu, donne leur avis ici, ce serais sympa...
Quatrième de couverture :
« Écrit au début des années soixante par un jeune inconnu qui devait se suicider en 1969, à l'âge de trente-deux ans, parce qu'il se croyait un écrivain raté, La Conjuration des imbéciles n'a été éditée qu'en 1980. Le plus drôle dans cette histoire, pour peu qu'on goûte l'humour noir, c'est qu'aussitôt publié, le roman a connu un immense succès outre-Atlantique et s'est vu couronné en 1981 par le prestigieux prix Pulitzer. Une façon pour les Américains de démentir à retardement le pied de nez posthume que leur adressait l'écrivain, plaçant en exergue à son livre cette citation de Swift: "Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui." » - Bernard Le Saux, Le Matin
SDM
Une tumultueuse et gargantuesque tragi-comédie humaine, qui a pour cadre les faubourgs perdus et les bas quartiers de la Nouvelle-Orléans. Le héros tient à la fois du Don Quichotte adipeux, du saint Thomas d'Aquin pervers et du Oliver Hardy délirant (cf. la préface). Tout ce qu'il entreprend tourne au grotesque ou frôle la catastrophe. Une oeuvre picaresque, originale et accessible, qui a fait, tardivement, l'unanimité de la critique. Hélas, puisque se croyant un écrivain raté, l'auteur s'est suicidé en 1969. Il avait écrit ##La conjuration## au début des années 1960.
Un lecteur, sur amazon a écrit : "Ignatius, ce plan sodomiste me paraît fort impraticable". p.368
C'est l'histoire d'un gros. Ignatius J. Reilly qu'il s'appelle. Il habite à La Nouvelle Orléans et n'en est sorti qu'une fois. C'était en autocar panoramique "de la compagnie Greyhound", pour aller à Bâton Rouge. Il a vomi plusieurs fois. "Les autres passagers étaient plutôt courroucés". Il mange beaucoup, bouge peu et boit du Dr. Nut.
J'oubliais, il a un anneau pylorique. Me demandez pas, je sais pas ce que c'est. Sa mère boit du bourbon qu'elle fait réchauffer dans le four. Elle a sacrifié des héritages pour lui permettre d'aller à l'université. 10 ans qu'il y a passé, l'animal. Là-bas, il a rencontré "la péronnelle Myrna Mynkoff". Drôle d'oiseau aussi, celle-là. Militante pour tout, et surtout pour plus de sexualité en politique.
C'est en faisant la queue devant une boulangerie avec sa mère que son histoire va commencer, puisqu'il va être interpelé par l'agent Mancuso, à la recherche de suspect en tous genres. Nous allons ensuite le suivre dans son univers clos, régit par les cycles de la Fortune décrits par Boèce, vieux latin, où il va découvrir un bar louche qui fait des trafics, sa propriétaire, Jones le portier noir embauché à 20$ la semaine, une cigarette au bec sous ses lunettes noires, Santa la tante de Mancuso qui va convertir Mme Reilly au "bouligne" et même M. Levy, des pantalons Levy et M.Clyde, de Paradise Vendors S.A. (hotdogs).
Vue la vie de l'auteur, on ne sait pas bien si le titre fait référence à ses personnages ou bien à ses lecteurs. Toujours est-il que La conjuration des imbéciles est bien un livre rare, rien qu'à travers les péripéties qui ont accompagné sa genèse (le suicide de son auteur se croyant un écrivain raté avant la publication du livre est un excellent argument de vente). On appréciera en tout cas l'humour souvent caustique dont il fait preuve, son style acerbe et même délicatement agressif. Pas de bol, John.