classe utopique
Posté : ven. mars 17, 2006 9:44 pm
Une utopie que j'ai mis dans mon skyblog (http://ljonas6@hotmail.com):
Il était une fois, dans le lycée Charles Nodier, une classe de seconde ; une classe tout à fait banale... Seulement dans cette classe, il régnait une organisation assez spéciale. En effet, la seconde 2 était partagée en plusieurs castes qui regroupaient cinq à six adolescents chacunes.
Ces castes étaient les suivantes : les humoristes, les artistes, les intellos, les lecteurs-écrivains et les philosophes.
Les humoristes étaient les plus populaires, ce sont eux qui mettaient de l'ambiance, eux qui faisaient sourire même les cœurs déchirés, eux qu'on appelait « les blagouneurs ».
Les artistes étaient aussi très appréciés. Ils étaient très spéciaux ; ils s'habillaient toujours en couleur, ils chantaient incroyablement bien ; jouaient magnifiquement bien du piano, de la guitare (parfois électrique), du violon (ils ont fondé un groupe s'intitulant « Coularty Love ») ; et ils nous donnaient avec générosité leurs œuvres dessinés de leurs doigts agiles.
Les intellos étaient certes dans leur bulles, mais ils s'en donnaient à cœur joie pour nous expliquer théorèmes en maths, guerres en histoire et autres déclinaisons en langue.
Les lecteurs-écrivains nous faisaient partager leurs manuscrits, poèmes et citations. Ils passaient tout leur temps libre à lire et faire des essais. Ils s'intéressaient à tout et avaient un immense culture.
Les philosophes, enfin, étaient très rêveurs. Ils se posaient sans cesse des questions et essayaient-en vain- de nous expliquer toutes leurs théorie sur dieu, sur la raison de notre présence sur terre, sur les comportements humains...
Il y avait aussi une sixième catégorie : les politiciens, mais seuls trois d'entre nous y faisaient parti, dont les deux délégués de classe. Ils cherchaient sans cesse à rendre notre classe hiérarchique. Etant un peu communistes, nous ne les aimions pas beaucoup mais, grâce à leur sens de la révolution et de la communication, ils apportaient quand même des bonnes choses à la classe, tels que l'abolition des remarques douteuses des professeurs...
Chacun appartenaient à environ trois de ces castes, ce qui élargissaient le partage d'idées.
Vous aurez sans doute compris que ce texte n'est qu'un idéal, une utopie.
Si vous avez d'autres idées de « classes utopiques » comme celle-ci, merci de les déposer à cette adresse : ljonas6@hotmail.com; ou bien postez les en commentaire
A la place d'esseyer de vous changer, tentez de vous accepter tel que vous êtes.
Il était une fois, dans le lycée Charles Nodier, une classe de seconde ; une classe tout à fait banale... Seulement dans cette classe, il régnait une organisation assez spéciale. En effet, la seconde 2 était partagée en plusieurs castes qui regroupaient cinq à six adolescents chacunes.
Ces castes étaient les suivantes : les humoristes, les artistes, les intellos, les lecteurs-écrivains et les philosophes.
Les humoristes étaient les plus populaires, ce sont eux qui mettaient de l'ambiance, eux qui faisaient sourire même les cœurs déchirés, eux qu'on appelait « les blagouneurs ».
Les artistes étaient aussi très appréciés. Ils étaient très spéciaux ; ils s'habillaient toujours en couleur, ils chantaient incroyablement bien ; jouaient magnifiquement bien du piano, de la guitare (parfois électrique), du violon (ils ont fondé un groupe s'intitulant « Coularty Love ») ; et ils nous donnaient avec générosité leurs œuvres dessinés de leurs doigts agiles.
Les intellos étaient certes dans leur bulles, mais ils s'en donnaient à cœur joie pour nous expliquer théorèmes en maths, guerres en histoire et autres déclinaisons en langue.
Les lecteurs-écrivains nous faisaient partager leurs manuscrits, poèmes et citations. Ils passaient tout leur temps libre à lire et faire des essais. Ils s'intéressaient à tout et avaient un immense culture.
Les philosophes, enfin, étaient très rêveurs. Ils se posaient sans cesse des questions et essayaient-en vain- de nous expliquer toutes leurs théorie sur dieu, sur la raison de notre présence sur terre, sur les comportements humains...
Il y avait aussi une sixième catégorie : les politiciens, mais seuls trois d'entre nous y faisaient parti, dont les deux délégués de classe. Ils cherchaient sans cesse à rendre notre classe hiérarchique. Etant un peu communistes, nous ne les aimions pas beaucoup mais, grâce à leur sens de la révolution et de la communication, ils apportaient quand même des bonnes choses à la classe, tels que l'abolition des remarques douteuses des professeurs...
Chacun appartenaient à environ trois de ces castes, ce qui élargissaient le partage d'idées.
Vous aurez sans doute compris que ce texte n'est qu'un idéal, une utopie.
Si vous avez d'autres idées de « classes utopiques » comme celle-ci, merci de les déposer à cette adresse : ljonas6@hotmail.com; ou bien postez les en commentaire
A la place d'esseyer de vous changer, tentez de vous accepter tel que vous êtes.