Katherine Neville
Posté : lun. juil. 18, 2005 11:50 pm
Cet auteur a écrit 3 romans à succès.
Le huit est, si je me souviens bien, une histoire tournant autour du monde des échecs, « un risque calculé » est un thriller financier, je vous parlerais ici du seul roman que j’ai lu, dont l’écriture se situe entre les 2 cités, « le cercle magique ».
Le cercle magique est l’histoire de manuscrits précieux, qui ont jadis été recherché par Hitler, car leur contenu une fois révélé, est sensé révélé le moyen d’obtenir une force infinie…
J’avoue qu’au début, je n’ai pas accroché avec l’histoire, on passe de récit se passant au temps de Pons Pilate, à une histoire alambiquée concernant la protection de ces manuscrits…
Je me suis tout de même accroché, et, vers le milieu du livre, en entrant plus au cœur de l’action, le livre est devenu passionnant (et du coup j’ai presque fait une nuit blanche pour le finir…
A un moment, un des personnage, Zoé, la grand-mère, de la femme, qui est le héros principal du livre, parle de « Lucky », qui n’est autre que le surnom d’Hitler avant qu’il devienne le Fuhrer… Elle a été une amie proche d’Hitler peut-être même sa maîtresse… Elle le présente sous un autre angle, qui pourrait « presque » nous faire passer cet homme, comme bon.
A un moment, sa petite fille lui fait remarquer qu’Hitler a été responsable de millions de meurtres, durant l’holocauste, et sa grand-mère lui demande si elle connaît le sens du mot holocauste. En voici une explication :
« Holo-kaustos. C'est-à-dire entièrement brûlé. En grec, quand un animal était sacrifié aux dieux, on disait qu’il avait été « entièrement consumé par le feu ». Les dieux avaient donc accepté le sacrifice. Aux yeux des Grecs, c’étaient surtout un remerciement, pour les bienfaits déjà reçus. Alors que les Sémites y voyaient plutôt l’expiation des péchés commis par la tribu. »
Ce qui est bien avec Katherine Neville, c’est qu’elle n’a jamais prétendu écrire la vérité dans son roman…Je suis presque sûr qu’écrire un tel roman nécessite au moins autant de recherches que pour écrire un Da Vinci Code…L’auteur a l’humilité de ne pas l’étaler à la face du monde et ne veux en aucun cas faire croire que les gens vont être éclairer sur certains points par ce livre… J’ai pris ce livre, comme un roman fantastique, qui donne envie de faire des recherches sur certaines affirmations de l’auteur (elle parle notamment, à un moment d’une théorie du physicien Tesla, selon laquelle, il existerait des points sensibles du globe, qui donneraient une puissance considérable à qui saurait les relier…
Enfin, vers la fin du roman, un des personnage du roman a un moment donne une superbe définition de l’amour :
« Je crois que l’amour, c’est quand tu sais que la personne aimée fait partie de toi. Q’une part d’elle ou de lui est à l’intérieur de toi. Tu ne peux ni manipuler ni trahir quelqu’un que tu aimes vraiment, parce que ce serait te trahir toi-même. »
Le huit est, si je me souviens bien, une histoire tournant autour du monde des échecs, « un risque calculé » est un thriller financier, je vous parlerais ici du seul roman que j’ai lu, dont l’écriture se situe entre les 2 cités, « le cercle magique ».
Le cercle magique est l’histoire de manuscrits précieux, qui ont jadis été recherché par Hitler, car leur contenu une fois révélé, est sensé révélé le moyen d’obtenir une force infinie…
J’avoue qu’au début, je n’ai pas accroché avec l’histoire, on passe de récit se passant au temps de Pons Pilate, à une histoire alambiquée concernant la protection de ces manuscrits…
Je me suis tout de même accroché, et, vers le milieu du livre, en entrant plus au cœur de l’action, le livre est devenu passionnant (et du coup j’ai presque fait une nuit blanche pour le finir…
A un moment, un des personnage, Zoé, la grand-mère, de la femme, qui est le héros principal du livre, parle de « Lucky », qui n’est autre que le surnom d’Hitler avant qu’il devienne le Fuhrer… Elle a été une amie proche d’Hitler peut-être même sa maîtresse… Elle le présente sous un autre angle, qui pourrait « presque » nous faire passer cet homme, comme bon.
A un moment, sa petite fille lui fait remarquer qu’Hitler a été responsable de millions de meurtres, durant l’holocauste, et sa grand-mère lui demande si elle connaît le sens du mot holocauste. En voici une explication :
« Holo-kaustos. C'est-à-dire entièrement brûlé. En grec, quand un animal était sacrifié aux dieux, on disait qu’il avait été « entièrement consumé par le feu ». Les dieux avaient donc accepté le sacrifice. Aux yeux des Grecs, c’étaient surtout un remerciement, pour les bienfaits déjà reçus. Alors que les Sémites y voyaient plutôt l’expiation des péchés commis par la tribu. »
Ce qui est bien avec Katherine Neville, c’est qu’elle n’a jamais prétendu écrire la vérité dans son roman…Je suis presque sûr qu’écrire un tel roman nécessite au moins autant de recherches que pour écrire un Da Vinci Code…L’auteur a l’humilité de ne pas l’étaler à la face du monde et ne veux en aucun cas faire croire que les gens vont être éclairer sur certains points par ce livre… J’ai pris ce livre, comme un roman fantastique, qui donne envie de faire des recherches sur certaines affirmations de l’auteur (elle parle notamment, à un moment d’une théorie du physicien Tesla, selon laquelle, il existerait des points sensibles du globe, qui donneraient une puissance considérable à qui saurait les relier…
Enfin, vers la fin du roman, un des personnage du roman a un moment donne une superbe définition de l’amour :
« Je crois que l’amour, c’est quand tu sais que la personne aimée fait partie de toi. Q’une part d’elle ou de lui est à l’intérieur de toi. Tu ne peux ni manipuler ni trahir quelqu’un que tu aimes vraiment, parce que ce serait te trahir toi-même. »