[Galerie] Soda
Posté : mar. oct. 28, 2008 7:32 pm
L'ère plastico-électrique et élastronique.
Un monde où, la technologie humaine permettrait de transformer les planètes en vaisseau, leurs lunes serviraient de base pour les télécommunications ainsi que de moyens de surveillance des populations vivant sur les planètes.
Certaines lunes pourraient servir à ouvrir des brèches permettant le voyage dans le temps de leur planète respectives, dans cette univers émergerait deux personnages adversaires. L'un peut se contrôler à volonté et dans la totalité à l'image d'un héros qui cherche l'illumination et qui conçoit que le plus grand des voyages est intérieur au point de maitriser son corps à en devenir une boule malléable et adaptable à tout environnement.
L'autre, antihéros, peut à souhait contrôler l'environnement, à l'exception du héros, pensant que le pouvoir c'est la conquête et la maîtrise de l'univers, et par détail ornemental, où aussi exerçait un danseur magicien qui s'attelait à se promouvoir en donnant de sublimes prestations.
Dans une lutte interminable le héros n'a plus d'autre choix que d'envelopper, d'un corps en matière non-conductrice, donc de se rendre intérieur l'antihéros le maîtrisant en une boule électrique. Une dualité qui les rend unifiée donnant un tout nouveau personnage qui peut se déplacer dans l'univers à volonté, si ce n'est dire que c'est l'univers qui se déplace autour de lui (cf. vaisseau dans le dessin animé Futurama), transformant son corps en s'adaptant successivement aux différentes matières qu'il traverse.
Enfin l'incroyable personnage au bout de sa quête se rend compte qu'il ne contrôle rien mais est la conception, fantasmagorie fantaisiste, de l'Être qui le concevait depuis le début et avait tous les pouvoirs sur lui ainsi que l'univers dans lequel il évoluait.
Les fatals caprices de l'omnipotence.
Le comble de la sournoise vicieuse ironie du sort, sous les outrages terrorisant d'un tonnerre d'applaudissement.
Comme une nuit de cure, d'insomnie presque forcée et d'inconfort qui rend l'esprit délirant au vent violent de libellules demoiselles, précédé d'une intelligence inspirée par une prose, débouchant sur une pyramidale tour touristique en métal, en apparence hasardeusement mystifiante au point rouge, technologique, éprouvant et harceleur, sommet d'un iceberg de délires de persécution paranoïaque par une bête naît d'une morale frustrante et d'espoirs déplacés, nourrit de chairs martyrisées et produit d'une société qui garde en son sein des gens esseulés, abandonnés face à leur froide et sombre solitude les prenant de leurs épaules à leur poitrine ayant pour confort l'inconfort sol malpropre et bois des bancs faisant sortir une folie, presque incompréhensible, de leur bouche, seul moyen de contenance d'un chagrin larmoyant avec comme seul sursis la paix, des uns d'alcools d'autres d'un joint chaleureux, ainsi que pour seule présence divine les louanges de sons de cloches rageant.
Ne restant plus, qu'après une pluie attisante du feu de la déprime, l'inlassable goutte d'eau faisant déborder le vase de la sérénité provoquant l'âme pleine de sédition face à l'inégalité et aux privilèges de certains, à sortir ses griffes acérées comme pour marquer le luxe bruyamment narguant et stationnant, âme qui, à force d'être saoulée par le rythme distant et frénétique de sa société, ne reste plus qu'à être sanglée des mains par sa taille seul face à une vitre, incomprise face à l'ineffable Dieu, prête à être neuroleptisemment constipée et soumise par le mal presque insoignable du syndrôme d'une capitale Suèdoise.
Sous un soleil fier et rayonnant participant à l'abusive tourment, manifestation de l'injuste jugement d'une esclavagisante frustration ayant pour seule apaisement les images de corps payés à être subtilement violés dut encore à une société, massivement surpeuplée.
Regarde bien dans le miroir
il laisse l'ego s'abreuvoir
d'un liquide froid et glacial
neutre qui l'emprisonne mal
Où suis-je ?
Qui suis-je ?
Monde ou démon ?
Leurs lettres mélangées
engrainent une réalité.
Abimes
Qui veut que tu souffres
sombre dans le gouffre
où raisonne la raison
qui tout simplement est un don
Le passé, une destinée
le passé écrit un souvenir qui reste inchangé
présent est une plume sa trace est un futur appliqué
mais futur devient écrit quand il est passé
un souvenir écrit par le présent tracé est la destinée.
paix heure, terre heure
Ils se croient révolutionnaires
alors que c'est ma mère la terre
Ils la brutalisent de leurs lances
génération dégermée de la dégénérescence
lève toi et pense.
Mouvements purs
Essai de le rattraper
passé présent purs
mouvements futurs
le temps qui est libéré
frère de l'éternité
Médiation, méditation
Qui veut me faire patient du docteur passion
pour qu'il soigne qu'il n'y a pas de sang
et s'il n'y avait pas Sion plus de Mehdi à Sion
Alors soyons passant et faisons plus de cent pas en avant
Celui qui guérit est clément
pour lui n'existe que le passé et le présent
Aucun lieu suffisamment grand
pour contenir l'immense géant
Sa foi en son infinité
lui inspire ce qu'il est,
en lui est tout ce qui existe,
aucune existence lui résiste
et contre son omnipotence
il ne peut y avoir de résistance
Un monde où, la technologie humaine permettrait de transformer les planètes en vaisseau, leurs lunes serviraient de base pour les télécommunications ainsi que de moyens de surveillance des populations vivant sur les planètes.
Certaines lunes pourraient servir à ouvrir des brèches permettant le voyage dans le temps de leur planète respectives, dans cette univers émergerait deux personnages adversaires. L'un peut se contrôler à volonté et dans la totalité à l'image d'un héros qui cherche l'illumination et qui conçoit que le plus grand des voyages est intérieur au point de maitriser son corps à en devenir une boule malléable et adaptable à tout environnement.
L'autre, antihéros, peut à souhait contrôler l'environnement, à l'exception du héros, pensant que le pouvoir c'est la conquête et la maîtrise de l'univers, et par détail ornemental, où aussi exerçait un danseur magicien qui s'attelait à se promouvoir en donnant de sublimes prestations.
Dans une lutte interminable le héros n'a plus d'autre choix que d'envelopper, d'un corps en matière non-conductrice, donc de se rendre intérieur l'antihéros le maîtrisant en une boule électrique. Une dualité qui les rend unifiée donnant un tout nouveau personnage qui peut se déplacer dans l'univers à volonté, si ce n'est dire que c'est l'univers qui se déplace autour de lui (cf. vaisseau dans le dessin animé Futurama), transformant son corps en s'adaptant successivement aux différentes matières qu'il traverse.
Enfin l'incroyable personnage au bout de sa quête se rend compte qu'il ne contrôle rien mais est la conception, fantasmagorie fantaisiste, de l'Être qui le concevait depuis le début et avait tous les pouvoirs sur lui ainsi que l'univers dans lequel il évoluait.
Les fatals caprices de l'omnipotence.
Le comble de la sournoise vicieuse ironie du sort, sous les outrages terrorisant d'un tonnerre d'applaudissement.
Comme une nuit de cure, d'insomnie presque forcée et d'inconfort qui rend l'esprit délirant au vent violent de libellules demoiselles, précédé d'une intelligence inspirée par une prose, débouchant sur une pyramidale tour touristique en métal, en apparence hasardeusement mystifiante au point rouge, technologique, éprouvant et harceleur, sommet d'un iceberg de délires de persécution paranoïaque par une bête naît d'une morale frustrante et d'espoirs déplacés, nourrit de chairs martyrisées et produit d'une société qui garde en son sein des gens esseulés, abandonnés face à leur froide et sombre solitude les prenant de leurs épaules à leur poitrine ayant pour confort l'inconfort sol malpropre et bois des bancs faisant sortir une folie, presque incompréhensible, de leur bouche, seul moyen de contenance d'un chagrin larmoyant avec comme seul sursis la paix, des uns d'alcools d'autres d'un joint chaleureux, ainsi que pour seule présence divine les louanges de sons de cloches rageant.
Ne restant plus, qu'après une pluie attisante du feu de la déprime, l'inlassable goutte d'eau faisant déborder le vase de la sérénité provoquant l'âme pleine de sédition face à l'inégalité et aux privilèges de certains, à sortir ses griffes acérées comme pour marquer le luxe bruyamment narguant et stationnant, âme qui, à force d'être saoulée par le rythme distant et frénétique de sa société, ne reste plus qu'à être sanglée des mains par sa taille seul face à une vitre, incomprise face à l'ineffable Dieu, prête à être neuroleptisemment constipée et soumise par le mal presque insoignable du syndrôme d'une capitale Suèdoise.
Sous un soleil fier et rayonnant participant à l'abusive tourment, manifestation de l'injuste jugement d'une esclavagisante frustration ayant pour seule apaisement les images de corps payés à être subtilement violés dut encore à une société, massivement surpeuplée.
Regarde bien dans le miroir
il laisse l'ego s'abreuvoir
d'un liquide froid et glacial
neutre qui l'emprisonne mal
Où suis-je ?
Qui suis-je ?
Monde ou démon ?
Leurs lettres mélangées
engrainent une réalité.
Abimes
Qui veut que tu souffres
sombre dans le gouffre
où raisonne la raison
qui tout simplement est un don
Le passé, une destinée
le passé écrit un souvenir qui reste inchangé
présent est une plume sa trace est un futur appliqué
mais futur devient écrit quand il est passé
un souvenir écrit par le présent tracé est la destinée.
paix heure, terre heure
Ils se croient révolutionnaires
alors que c'est ma mère la terre
Ils la brutalisent de leurs lances
génération dégermée de la dégénérescence
lève toi et pense.
Mouvements purs
Essai de le rattraper
passé présent purs
mouvements futurs
le temps qui est libéré
frère de l'éternité
Médiation, méditation
Qui veut me faire patient du docteur passion
pour qu'il soigne qu'il n'y a pas de sang
et s'il n'y avait pas Sion plus de Mehdi à Sion
Alors soyons passant et faisons plus de cent pas en avant
Celui qui guérit est clément
pour lui n'existe que le passé et le présent
Aucun lieu suffisamment grand
pour contenir l'immense géant
Sa foi en son infinité
lui inspire ce qu'il est,
en lui est tout ce qui existe,
aucune existence lui résiste
et contre son omnipotence
il ne peut y avoir de résistance