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Posté : dim. nov. 12, 2006 4:17 pm
par Grey_jackal
Ben pouquoi changer de disques, les fonctions trigo sont et resteront toujours théoriques.
Pas plus que 1+1=2. 1+1=2 est une définiton qui s'applique à certains cas réels, et la trigonométrie est une conséquence des postulats de l'espace euclidien, également appliquables. Ca, et les séries de fourrier indiquant que tout phénomène périodique peut être décrit par une somme de cosinus.
Posté : dim. nov. 12, 2006 4:24 pm
par touffman
C'est bien beau les séries de Fourrier mais pourquoi Fourier a-t-il développé ce superbe outils mathématiques, encore une fois pour un besoin concret : l'etude analytique de la chaleur.
En revanche, tu as raison pour les postulats euclidien. C'est peut-être l'exception qui confirme la règle
Posté : dim. nov. 12, 2006 5:23 pm
par cillbq
Pour ma part, j'aime bien les math; tant qu'elle reste dans un domaine abordable pour qui n'est pas en fac de math...
Pour ceux qui doutent de l'utilité réelle des maths, je recommenderais les ouvrage d'un prof de math en fac à Lille, J. P. Delahaye, ses livres peuvent vous réconcilier avec les maths.
Voici les titres que je posséde :
Logique, informatique et paradoxes.
Jeux mthématiques et mathématiques des jeux.
Les innattendus mathématiques.
L'intelligence et le calcul (sous titré de Gödel aux ordinateurs quantiques).
Merveilleux nombres premiers.
Le fascinant nombre Pi.
Posté : lun. nov. 13, 2006 10:19 am
par Titanium_Nerv
moi ce que j'aime bien dans els math c'est qu'après tu peux faire des pires raisonnements sur n'importe quoi alors qu'il n'y en a pas besoins et épater tout le monde parce que t'arrive à calculer la diagonale de ta télé en pouces avec le théorème de pythagore et des conversions plutôt que de prendre un mètre et de la mesurer.
Posté : lun. nov. 13, 2006 11:51 am
par Grey_jackal
épater tout le monde parce que t'arrive à calculer la diagonale de ta télé en pouces avec le théorème de pythagore et des conversions plutôt que de prendre un mètre et de la mesurer.
Sauf si la télé n'a pas une métrique euclidienne, auquel cas ça ne marche pas!
Posté : mer. nov. 15, 2006 11:04 am
par kermo
Ah oui les maths c'est aussi raconter des blagues que 99% des personnes ne comprendront pas.
Posté : jeu. nov. 16, 2006 3:39 am
par Monsieur T
Personnellement j'ai répondu oui.J'ai toujours été très bon en mathématique sauf en 436,car je ne faisais pas mes devoirs parce que je croyais que je n'avais pas besoin de les faire comme dans les années précédente,mais je me suis vite rendu compte qu'Il fallait que je les fasse apres avoir eu 55% a mon premier examen.Bien entendu apres j,ai essayé de faire mes devoirs,mais cela ne m'Intéressait plus.J'étais totalement découragé.J'ai réussie a finir l'année avec 61%.Par contre en mathématique 536 j'ai eu un professeur de mathématique qui était en train de faire son doctorat a l'Université en math et il m'a fait aimé les maths a nouveau.J'ai fini l'année avec 92%.Maintenant je suis au cégep en calcule différentiel et je trouve sa plutot simple.
Personnellement je préfère la physique au mathématique,car ces quelques choses de concret.
Posté : jeu. nov. 16, 2006 12:03 pm
par bubulle
moi j'aime bien les maths ... enfin y'a des trucs qui me gonflent comme dans toutes les matières mais je trouve intéressant de chercher fouiner se poser une tas de questions ...
j'me suoviens j'adorais les suites et particulièrement les raisonnements par l'absurde alors ça partir du résultat pour trouver ... le résultat je trouve ça génial ^^
Posté : ven. nov. 17, 2006 1:03 am
par Orion
puisque ça parle mathématique,
je voulais vous dire que les maths c nimporte koi, et je vais vous le demontrer,
et tout ce qui vous entoure s'ecroulera
voila, je vous demontre que -1 = 1;
-1 = (-1)1 = (-1)2 x ½ = ((-1)2) ½ = ( ( +1)2 ) ½ = (+1)2 x ½ = (+1)1 = 1
vous comprendrez que c des puissances.
voila,
Posté : ven. nov. 17, 2006 9:04 am
par Grey_jackal
voila, je vous demontre que -1 = 1;
-1 = (-1)1 = (-1)2 x ½ = ((-1)2) ½ = ( ( +1)2 ) ½ = (+1)2 x ½ = (+1)1 = 1
vous comprendrez que c des puissances.
les règles d'association de puissances ne fonctionnent plus avec des nombres négatifs. C'est pourquoi on écrit i plutôt que racine de -1.
Posté : ven. nov. 17, 2006 1:11 pm
par Orion
j'etais sur que vous alliez dire ça, mais l'erreur n'est pas la
faut chercher plus
Posté : ven. nov. 17, 2006 1:29 pm
par Grey_jackal
j'etais sur que vous alliez dire ça, mais l'erreur n'est pas la
faut chercher plus
Voyons donc.
-1
C'est la valeur de départ. A priori correcte.
(-1)1
1 est élément neutre, ça marche.
(-1)2 x ½
(-1)^(2*1/2), on a -1^1, ce qui donne lui-même.
((-1)2) ½
L'erreur vient de là. La fonction carré n'a pas de réciproque sur tout |R, puisqu'elle n'est pas bijective. De ce fait, l'application de la fonction carrée suivie de l'application de sa réciproque ne marche que sur le domaine où la fonction est bijective. C'est de ça dont je parlais dans la composition des puissances.
D'ailleurs, ton calcul aurait tout aussi bien put se terminer plus vite à partir de là. (-1)² = 1, et la racine de 1 donne 1 aussi.
Posté : ven. nov. 17, 2006 1:38 pm
par Orion
en fait la proprieté mathétique est la suivante :
n = m x p => (a)^n = (a) ^m x p pour n , m, et p appartenant a N
or 1/2 n'appartient pas à N.
donc on a pas le droit de transformer 1 en 2x1/2 en puissance.
le probleme vient du fait que 1/2 n'est pas un entier.
Posté : ven. nov. 17, 2006 3:59 pm
par kermo
On peut tout à fait écrire -1 = (-1)^(2*1/2), puisque le calcul qui est fait en premier est celui dans la parenthèse c'est exactement pareil que d'écrire (-1)^(1).
L'égalité qui est fausse est celle-ci : (-1)^(2*1/2) = [(-1)^2]^(1/2)
Elle est fausse parce que le terme de gauche est égal à -1 alors que le terme de droite est égal à 1.
Mais ça marcherait avec 3*1/3, par exemple.
On ne peut pas dire pourquoi une égalité est fausse, il n'y a pas une raison unique, tout au plus peut-on indiquer dans un raisonnement où est l'erreur.
La propriété utilisée est celle-ci :
x^(ab) = (x^a)^b
Les domaines de validité en (x,a,b) sont a priori pour le moins tordus, ce qui est sûr c'est que pour x=-1, a=2 et b=1/2 ça marche pas. Mais ça marche pour x=2, a=Pi et b=-4,83.
Posté : ven. nov. 17, 2006 6:34 pm
par Orion
kermo a écrit :
L'égalité qui est fausse est celle-ci : (-1)^(2*1/2) = [(-1)^2]^(1/2)
Elle est fausse parce que le terme de gauche est égal à -1 alors que le terme de droite est égal à 1.
justement!
c ce qu'on veut demontrer.
kermo a écrit :On peut tout à fait écrire -1 = (-1)^(2*1/2), puisque le calcul qui est fait en premier est celui dans la parenthèse c'est exactement pareil que d'écrire (-1)^(1).
L'égalité qui est fausse est celle-ci : (-1)^(2*1/2) = [(-1)^2]^(1/2)
Elle est fausse parce que le terme de gauche est égal à -1 alors que le terme de droite est égal à 1.
Mais ça marcherait avec 3*1/3, par exemple.
On ne peut pas dire pourquoi une égalité est fausse, il n'y a pas une raison unique, tout au plus peut-on indiquer dans un raisonnement où est l'erreur.
La propriété utilisée est celle-ci :
x^(ab) = (x^a)^b
Les domaines de validité en (x,a,b) sont a priori pour le moins tordus, ce qui est sûr c'est que pour x=-1, a=2 et b=1/2 ça marche pas. Mais ça marche pour x=2, a=Pi et b=-4,83.
tu sais que ca peut marcher pour une infinité de nombre, mais il suffit d'un exemple qui marche pas pour prouver que c faut
la proprieté que j'ai ennoncé ne colle pas avec la demo, donc, lerreur vient a letape juste avant celle que tu as indiqué,
donc tout ce qui vient apres n'a pas de sens.
mais lerreur se situe bien a lendroit ou on met : 1=1x/2 . c interdit
Posté : ven. nov. 17, 2006 6:39 pm
par Silmarill
franchement, en generale, j'ai horreur des math. Mais quand il est question d'astronomie et calcul de mouvement des planetes, ça me semble un jeu d'enigme. donc je dirais plutôt que cela depend des domaines
Posté : ven. nov. 17, 2006 6:56 pm
par Grey_jackal
mais lerreur se situe bien a lendroit ou on met : 1=1x/2 . c interdit
Vous allez rire, mais il est tout à fait possible de faire en sorte que ça marche.
Il suffit de prendre -1 = e^(i.pi).
(-1)² = e^(i.2pi) = 1
Et en passant à la racine, soit la puissance un demi, on retombe sur e^(i.pi).
Mais en prenant la définition de la racine qui n'est valable que sur les réels positifs, vous n'irez pas loin.
Posté : lun. nov. 20, 2006 9:09 pm
par kermo
Orion a écrit :justement!
c ce qu'on veut demontrer.
Mais il n'y a rien à démontrer, le nombre de gauche est -1, le nombre de droite est 1 et donc l'égalité n'est pas vérifiée, c'est tout. Peu importe la façon compliquée dont tu écris ces nombres.
tu sais que ca peut marcher pour une infinité de nombres, mais il suffit d'un exemple qui marche pas pour prouver que c faut
C'est surtout qu'une égalité littérale s'accompagne toujours du domaine de validité des variables utilisées.
Dans ton problème il n'y a aucune variable, il n'y a donc rien à "démontrer" c'est juste du calcul qui se fait directement du moment qu'on connaît l'utilité d'une parenthèse :
(-1)^(2*1/2) = (-1)^(1) = -1
[(-1)^2]^(1/2) = [1]^(1/2) = 1
Avant d'être des blagues et des astuces de calculs, les maths c'est un minimum de rigueur dans les termes utilisés.
Posté : lun. nov. 20, 2006 10:53 pm
par Orion
wowowo, mais on sait bien que -1 est different de 1, tu nous aprends rien
jadore les maths cété pour se marrer qu'on a voulu montrer que -1 = 1, toi tu ma parles de variables
,
le terme de droite est different du terme de gauche, ca c clair, je croyais que tu avais compris que le jeu etait de trouver l'erreur, et pas seulement dire, ah! le terme de gauche et celui de droit sont different".
voila desolé qd meme