La Fourmilière

nada a écrit : il y a ceux qui diront que c'est fichu, que l'hitoire est un eternel recommencement et que nous irons a la conquete de l'espace pour s'y installer.

je dois faire partie de cette catégorie de gens ...
en effet tout est un éternel recommencement ... même dans le cylindre ... ils essayent de tout recommencer ... ils ont mille ans pour redémarrer quelque chose ... et au final de 144 000 il passent à 6 !!!
les humains ne veulent pas changer ... chaque fois qu'on leur donne une chance de s'améliorer ils échouent ... et ce livre en est, pour moi, la preuve irréfutable !
encore une fois c'est mon avis et je ne fait pas de mon avis une pensée universelle ^^

[quote="bubulle"]
les humains ne veulent pas changer ... chaque fois qu'on leur donne une chance de s'améliorer ils échouent ... et ce livre en est, pour moi, la preuve irréfutable !quote]

Comme Bubulle, je pense que les hommes sont fait pour se terminer eux-mêmes !!!
Il paraît clair que ce livre est franchement pessimiste pour revenir au sujet !!! En bas de la couverture du livre LPDE, n'y a-t-il pas écrit : "Le Dernier Espoir, c'est la Fuite."

"""à part ça, vous aviez remarqué que les trois premières lettres des 3 mots les plus importants de cette petite phrase suivent l'ordre de l'alphabet ?"""

Je suis une optimiste convaincue
A la lecture de ce livre, rien ne permet de savoir combien de fois l'histoire s'est déjà déroulée, et combien de fois elle va encore se dérouler de la même façon. Ce que je sais, c'est que nous sommes de plus en plus nombreux à nous poser des questions du genre : qu'avons vous fait de notre planète, qu'avons nous fait de nous ? ça ne peut que déboucher sur quelque chose, à un moment donné. Il reste à savoir.... quand ?

Moi je pense que se livre nous offre une response plutôt pessimiste de l'être humain.
Les premiers humains ayant embarqués à bord du papillons se comportaient plutôt biens eux, malgré quelques erreurs, mais c'est parce que eux, ont connus le vraie monde monstrueux dans lequel on vit. Il ont tous fait pour qu cela change.
Tandis que les générations précédantes, elles, n'ont pas connus réelement la Terre et toutes les immondices qu'ils s'y passent.
Donc, automatiquement ils vont recréer le même shéma connu sur la Terre.
C'est comme un enfant, on peut très bien lui dire, ne touvhe pas ça, sa brule.
Il ne l'aura compris qu'une fois s'être brûlé.
L'Homme est comme ça, il attend d'avoir touché le fond, pour s'élencer sur la pente ascendante. Et le shéma, à mopn grand désespoir, se reproduira toujours je pense.
prenez comme exemple le réchauffement climatique, ont le sait depuis longtemps que le climat se détériore à cause de nous, et ce n'est que maintnant qu l'ont commnc à voir cla à la uns ds journaux t à entndr parlr partout! Et malgré cela, je ne vois pas moins de papier parterre, on consomme toujours autant d'eau, il y a toujours ces guerrespour le pétroes, et j'en passe...
On fonce dans le mur, on va toucher le fond...

petite réflexion a celui qui a posé ce sondage ???

alors qu'il n'y a que deux réponses possibles et pas de neutres comment peux tu arriver a un total de 99% a la fin???

Moi je voudrais juste ajouter à tout ça que l'histoire actuelle de notre monde nous prouve déjà que nous n'apprenons rien de nos erreurs passés ! Les Etats-Unis sont en train de construire un mur sur la frontière avec le Mexique, et le Liban avec Israel fait de même ! Aurions-nous déjà oublié ce que l'on appelle encore le "Mur de la Honte" ? Le mur de Berlin est une des plus grandes honte de l'humanité, ainsi que le rideau de fer. Il faut croire que l'humanité ne retiens rien, pour l'instant, les seuls qui retiennent, c'est ceux qui ont vécu les évènements. Le mur était en Europe, donc seul les Européens sont voué à ne pas oublié ? L'humanité ne peut donc rien apprendre de ses erreurs passés si ces erreurs ne sont pas à l'échelle mondiale. Vous rendez-vous compte que beaucoup de gens en Chine ignore tout du génocide juif, de la persécution des tsyganes, des homosexuels et autres ! Ce n'est qu'un exemple, mais vous voyez bien que les erreurs, on les refait toujours ailleurs sur Terre, un autre peuple se chargera de refaire ce que nous nous avons déjà appris.

Mais j'irais plus loin encore, je pense même que l'on apprend rien de notre passé, on ne retient pas d'enseignement, pour preuve, en Chine, toujours : les Chinois ont une grande ranqueur envers les Japonais et l'occupation qu'il y a eut, ils en ont beaucoup souffert, et ressentent encore le poids de cette occupation et de la "honte" qu'ils ont ressentis que leur pays ai été aussi "faible" à leur yeux. Résultat : les voilà depuis plus de 50ans (pas si vieux donc !) en terres Tibétaines, terres qui ne sont pas à eux. Ils occupent le Tibet, comme une vulgaire conquête, transformant le pays, et exploitant le peuple tibetain.

Tout ça pour dire que Bernard Werber a raison, on n'apprendra jamais de nos erreurs, et l'humanité est vouée à un recommancement perpétuel ! Et c'est le message de son livre, enfin ce que moi j'ai compris, car le film se termine sur un commancement. Et les héros ignore tout de l'ancienne Terre...
Mais je pense que lorsque l'Homme aura acquis une conscience plus supérieure à celle que nous connaissons actuellement, il sera capable de faire des choses bien, et de ne pas recommancer bêtement ce que nous avons déjà fait par le passé.

Oui, c'est un livre pessimiste!! :p

Oui c'est vrai que le message est clair de la part de Bernard Werber.
Cet éternel recommencement semble plutôt pessimiste , les erreurs ne peuvent être corrigés , et ce serait dans la nature de l'homme de se descendre ainsi.

Mais je pense que Werber garde tout de même une vision plutôt optimiste en l'homme en tant qu' individu: il sait que chacun a en lui la capacité d'évoluer et de faire Quelque chose. C'est en tout cas ce qu'on peut ressentir à travers ses précédents bouquins.

Donc finalement , on ne sait pas vraiment -d'après ce "commencement" bouclant le livre - ce que va devenir cette nouvelle humanité. Peut on quand même être optimiste sur son avenir , bien qu'elle semble avoir des bases identiques à l'humanité dans laquelle on baigne.
Je pense que oui, qui sait si ces humains ne vivront pas une évolution bien différentes et bien meilleure que la notre ? Le péché originel ne s'est pas encore montré , reste un espoir : on peut se montrer optimiste.

Mais je pense que lorsque l'Homme aura acquis une conscience plus supérieure à celle que nous connaissons actuellement, il sera capable de faire des choses bien, et de ne pas recommencer bêtement ce que nous avons déjà fait par le passé.

Allons, c'est optimiste ça ! Et c'est optimiste de s'imaginer que c'est ces nouveaux hommes qui ont acquis une conscience supérieure !

'Fin bon, de toute façon l'erreur c'est l'humain

Les pessimistes trouveront le bouquin pessimiste... A contrario, les optimistes en feront une lueur d'espoir, tout comme moi

Forcément pessimiste :

Sur Terre : ca va pas fort.

On caste alors les meilleurs et on les met dans un vaisseau spatial.
Au début, c'est génial et très vite, les embrouilles reprennent. Même à partir des meilleurs bases.

1200 ans après, ils débarquent sur une autre planète, le couple se sépare.

Bref, la même histoire se répète et à mon avis se répetera sur la nouvelle terre.

Seuls points positifs :

- Le père et sa fille s'entendent bien après 19 ans de vie commune en autarcie sur une planète lointaine. Bel exploit.

- Réussir à vivre à 144.000 dans un cylindre de 30 KM de long pendant 1200 ans, c'est quand positif. Combien de fois, lors des 1200 dernières années, le dernier espoir à été la fuite pour bien des individus en notre bas monde. La colonisation de l'Amérique et de l'Australie fut souvent un dernier espoir trouvé dans la fuite. Dans le Papillon, nul espoir de fuite n'était possible pour les papillonniens. Avoir survécu 1200 ans dans ces conditions est quand même un point positif à porter au crédit des papilloniens.

J'ai voté "pessimiste". Pas forcément mauvais, mais il nous fait prendre conscience que le monde tourne en rond, et si il avance, c'est pas sur le bon chemin.....

pour moi je pensse plus que c'est de " L'OPTIMISME " malgré les petit moment de PESSIMISME qui arrive de temps a autre dans le livre, mais a votre avis, ne faut t'il pas etre un petit peut PESSIMISTE pour devenir OPTIMISTE??!!

J'ai voté pour pessimiste... avant de m'appercevoir que manquait la case réaliste

Je n'ai pas voter, il n'est ni l'un ni l'autre, vas-t-on recommencer?

Peut-être.

Pour ma part je suis pessimiste. Nous ne sommes pas vraiment des humains, mais des homo sapiens sapiens, presuqe des humains mais encore des singes régis par leurs instincts.

Moi y compris.

Peut on être juste rêveur ?

Comme il l'a été dit plusieurs fois précédemment, je ne pense pas non plus qu'un vote avec seulement deux choix soit le bon. Et même, on peut supposer qu' un vote ne soit pas du tout un choix approprié pour un livre ( quel qu'il soit ).

Néanmoins, pour répondre le plus justement à la question posée, il faudrait relire le livre entièrement juste avant.

Du souvenir qu' il me reste ( c'est assez récent ), on ne peut pas résumer ce livre, cette histoire en deux mots. Premièrement, parce que pour le faire il faudrait des tonnes de descriptions en plus dans le roman ( ce qui serait d'une lourdeur exécrable ). Parce que, bien sûr, là, Werber nous montre une nécrose de la vie à cause de l'Homme, mais c'est bien évidemment un choix pour faciliter l'approche du lecteur, pour l'amener au raisonnement des " papillonniens " ... Vision qui est, peut-être, au départ, trop idéaliste.
Ensuite, durant le voyage d'un millénaire, l'Homme va être confiné à " l' abris " de ces bêtises antérieures. Au début, on lui montre les ignominies de l' Humanité pour faire ressortir ces " bons côtés " comme la volonté de paix, l' entre-aide ... Voyant que cela fini par ne plus marcher ( après le meurtre de la femme par un homme jaloux ) la coupure devient totale, l'ancienne " vie " est complètement abolie et il s'en suit une évolution régressive de l'Homme.

( je ne vais tout de même pas faire un résumé complet ^^ ).

A la fin du livre, Werber amène le lecteur dans son présent. Il lui intime que la fuite n'est pas toujours possible. Dans ce cas le premier choix qui s'offre aux lecteurs est d'agir. On peut considérer cela comme une morale, Werber quitte l' idéalisme pour se plonger dans notre réalité avec le lecteur : Pour nous la fuite est impossible, alors agissons.

il est tellement plus facile de faire naitre le mal
que de protéger le bien

l'homme n'est pas bon ou mauvais l'homme est l'homme
bon et mauvais




Baka a écrit:
Quand je fais quelque chose de mal, ce n'est pas moi qui le veut mais c'est quelque chose au fond de moi, un autre moi qui s'exprime, c'est comme si un coté " animal " ressortait et prenait le contrôle de mon corps et de mon esprit, c'est ce que je ressens quand par exemple j'insulte ou je critique quelqun sans le vouloir.


le choix, c'est nous, ne blamons pas le vide pour ce que nous faisons