Un peu de culture pour commencer:
"L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie.
La vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit."
Gandhi
Le rôle des médias dans la politique contemporaine nous oblige à nousinterroger sur le monde et sur la société dans lesquels nous voulons vivre, en particulier, sur le genre de démocratie que nous voulons avoir. Je propose donc pour commencer, de mettre en parallèle deux conceptions distinctes de la démocratie.
La première et qu'aucune dissidence veut que l'ensemble des citoyens dispose des moyens de participer efficacement à la gestion des affaires qui le concernent et que les moyens d'information soit accessible et indépendants. Elle correspond, en somme, à la définition de la démocratie dans un dictionnaire.
Selon la seconde conception, le peuple doit être exclu de la gestion des affaires qui le concernent et les moyens d'information doivent être étroitement et rigoureusement contrôlés. Bien que cette conception puisse sembler bizarre, il est important de comprendre que c'est celle qui prédomine. En fait, c'est le cas depuis longtemps sur le plan pratique aussi bien que théorique. La longue histoire qui remonte aux premières révolutions démocratique modernes dans l'Angleterre du XIIème siècle témoigne largement de ce fait.
Lorsqu'elle est appuyée par les classes cultivées et qu'aucune dissidence n'est permise, la propagande de l'Etat peut avoir des effets considérables.
Le bien commun est une notion qui échappe complètement à l'opinion publique.
Notre devoir nous impose de dompter le troupeau dérouté, de ne pas lui laisser l'occasion d'exercer sa violence, de tout piétiner et détruire.
La faculté de raisonner est très peu répandue, que seul un nombre restreint de personne la possède.
La propagande est à la société démocratique ce que la matraque est à l'Etat totalitaire.
Les relations publiques sont une industrie gigantesque qui dépense environ un milliard de dollars chaque année.
Le procédé consistait à monter la population contre les grévistes en les présentant comme des agitateurs dangereux pour la population, opposés au bien commun.
Là réside la principe d'une bonne propagande. Il s'agit de créer un slogan que personne ne puisse contester et tous l'approuveront.
Une bonne partie de l'opposition aux Etats-Unis prend naissance dans les Eglises, simplement parce qu'elles sont là.
On doit ramener la population à l'état qui lui est propre : l'aphatie, l'obéissance et la passivité.
Le message passe comme une lettre à la poste quand le système d'éducation et les médias sont contrôlés dans leur totalité et que les érudits sont conformistes.
Si les gens ne restent plus le nez collés sur le petit écran, toutes sortes de pensées étranges vont surgir dans les esprits.
Il s'agit d'effrayer la population, de la terroriser et de l'intimider de telle sorte qu'elle n'ose plus voyager et tremble de peur enfermée chez elle.
Cela devrait nous effrayer d'être un pays totalitaire au point d'entrer en guerre sans qu'aucune raison ne soit fournie.
Mais aussi cet excellent site :
http://www.syti.net/Topics.html
Deux systèmes de valeurs sont donc en conflit selon ces deux sources. Le libéral faschisme contre la démocratie, des majorités contre des minorités, la morale héritée de la révolution française ou la pensée machiavélique d’élites autoproclamées.
Un conflit traditionnel de valeur, la droite s’opposant à celle de gauche. La destruction ou la sauvegarde de notre liberté, de notre dignité et de notre nature, de la nature. Mais ce combat n’a-t-il pas lieu plutôt pour disposer de celle-ci et non de nous la rendre ou prendre.
La pensée progressiste n’est pas en opposition avec la perte de la liberté. Elle est même inévitable. Quelle est cette liberté qui demande prescription d’autrui. Le mal est le même, soit une minorité très influente de droite ou de gauche manipule des majorités pour décider de ce qui est bon est mauvais. Les libertés de la morale actuelle sont une conception bourgeoise de la liberté. Les individus doivent disposer des libertés nécessaires au bon fonctionnement du système. L’individu est négligeable, il n’existe que dans les masses. L’indentification a des mouvements de masse fut utilisé par les nazis et les communistes et toujours utilisé aujourd’hui.
La liberté de presse est utile car elle permet de dénoncer la corruption des hommes politiques. Mais pouvez vous vraiment usez de cette liberté ? Je peux écrire sur Internet et éditer un livre mais il ne touchera personne. C’est la censure par l’effet de masse. Si on ajoute que les maison d’éditions appartiennent à de grands groupes je peux ne pas pouvoir éditer mon livre sans pouvoir rien y faire. La loi condamne la diffamation et je peux être poursuivi alors que je dis la vérité mais que la justice décide qu’il n’y avait pas assez de preuve. Loi et juge sur lesquels je n’ai aucune influence réelle. Il s’y ajoute donc l’auto censure. Si je lutte pour assurer mais droit je lutte contre des effets négatifs ce qui est motivant que lutter pour des effets positifs. Un combat destiner à être perdu. Mais les états et les multinationales, les O.N.G eux disposent de milliards pour nous faire acheter des choses dont nous n’avons pas besoins, nous faire donner notre argent, penser comme ils le souhaite.
Les dictatures (mêmes sophistiqués) ont de préférables le fait que la perte de la liberté y est plus visible et aussi plus répressifs augmentant les opposition au système et des idéologies hostiles. La mondialisation sauvage et les méthodes de travail augmente le stress et l’instabilité qui participe a la chute du système. De plus les dictatures sont souvent moins efficaces. Il ne faut pas oublier que le système va traverser de graves crises qui vont l’affaiblir suffisamment pour pouvoir le détruire. Les inadaptés créer par le système (chômeurs, délinquants, dépressifs, emploi précaire), la fin de la pétrochimie base et du climat stable base du développement de notre société.
La différence est le futur de l’humanité durant laquelle on pourra vaincre la technologie. Pour preuve que ces deux pensées découle de la technologie qui les rends possible et les créer les USA : la populations est de plus en plus à fauche et les dirigeant de plus en plus en droite.
Vous voulez connaître notre futur ? Le voilà si ils gagnent. Personnellement je penche pour un mixte de l’ensemble.
171. Supposons maintenant que la société industrielle, après la crise des prochaines décennies, parvienne à un équilibre et fonctionne harmonieusement. Dans quel système serions-nous alors ? Nous allons envisager plusieurs éventualités.
172. Première hypothèse : les électroniciens inventeront des machines intelligentes qui feront tout mieux que les êtres humains. Dans ce cas, le travail sera vraisemblablement effectué par d'importants systèmes automatisés, extrêmement organisés, et aucun effort humain ne sera plus nécessaire. Deux cas peuvent alors se présenter : soit les machines prendront toutes les décisions sans supervision humaine, soit les hommes« continueront à les contrôler.
173. Dans le premier cas, on ne peut faire aucune supposition sur ce qui arrivera, parce qu'il est impossible de deviner comment de telles machines se comporteront. Tout ce qu'on peut dire c'est que l'espèce humaine serait alors à leur merci. A quoi on pourrait rétorquer que l'espèce humaine ne sera jamais assez stupide pour laisser un jour tout le pouvoir aux machines, mais nous ne disons pas que les hommes le leur abandonneront volontairement, ni que les machines s'en empareront. Nous disons que l'espèce humaine pourrait facilement s'accoutumer à une telle dépendance vis-à-vis des machines et qu'elle n'aurait alors pratiquement plus d'autre choix que d'accepter leurs décisions. A mesure que la société et les problèmes auxquels elle devra faire face deviendront de plus en plus complexes, et les machines de plus en plus intelligentes, les gens leur laisseront prendre la plupart décisions simplement parce que ces décisions donneront de meilleurs résultats que celles prises par les hommes. Finalement un stade sera peut-être atteint où les décisions nécessaires à la bonne marche du système seront si complexes que les hommes seront incapables de les prendre intelligemment. A ce stade, les machines seront effectivement au pouvoir. Les gens ne pourront plus les débrancher, parce qu'ils en seront devenus tellement dépendants que cela équivaudrait à un suicide.
174. Il est possible néanmoins que les hommes gardent le contrôle des machines. Dans ce cas, le commun des mortels conservera un contrôle partiel de sa voiture ou de son ordinateur personnel, mais les grands systèmes automatisés seront gérés par une minuscule élite, exactement comme aujourd'hui, à deux différences près. L'amélioration des techniques permettra à cette élite un plus grand contrôle des masses et, parce que le travail humain ne sera plus nécessaire, celles-ci deviendront pour le système un fardeau inutile. Si l'élite se montre impitoyable, elle peut tout simplement décider de leur extermination. Si elle ne l'est pas, elle se servira de la propagande ou de tout moyen psychologique ou biologique pour réduire le taux des naissances jusqu'à ce que la masse de l'humanité s'éteigne, lui laissant le monde. Si l'élite est composée de libéraux au cœur tendre, ils peuvent décider de jouer le rôle de bons pasteurs pour le reste de l'espèce humaine, en s'assurant que les besoins physiques de chacun sont satisfaits, que tous les enfants sont élevés dans de bonnes conditions d'hygiène mentale, que tout le monde s'adonne à de saines occupations et que les insatisfaits suivent un «traitement» pour soigner leur «problème». Bien entendu, la vie sera tellement vide de sens que les gens devront être programmés biologiquement ou psychologiquement, soit pour supprimer leur besoin d'auto-accomplissement, soit pour leur faire «sublimer» leur instinct de puissance dans un passe-temps inoffensif. Ces humains remodelés seront peut-être heureux dans une telle société, mais ils ne seront certainement pas libres. Ils auront été réduits à l'état d'animaux domestiques.
175. Mais supposez que les électroniciens échouent à perfectionner l'intelligence artificielle et qu'ainsi le travail humain soit encore nécessaire. Même dans ce cas, les machines prendront en charge de plus en plus de tâches simples, et il y aura donc un excédent croissant de travailleurs peu qualifiés. (Nous connaissons déjà cette situation. Il y a beaucoup de gens à qui il est difficile, voire impossible, de trouver du travail parce que, pour des raisons intellectuelles ou psychologiques, ils ne peuvent pas acquérir le niveau de formation qui les rendrait utiles au système actuel.) Pour ceux qui auront un emploi, les exigences augmenteront ; ils auront besoin de plus en plus de formation, de plus en plus de compétences, et devront être de plus en plus fiables, «formatés» et dociles, car ils sembleront de plus en plus aux cellules d'un organisme gigantesque. Leurs tâches deviendront de plus en plus spécialisées et leur travail sera, en un sens, sans contact avec le monde réel, parce que concentré sur une toute petite partie de la réalité. Le système devra utiliser tous les moyens possibles, psychologiques ou biologiques, pour fabriquer des hommes dociles, ayant les compétences voulues par le système, «sublimant» leur instinct de puissance dans une quelconque tâche spécialisée. Mais le terme «docile» demande à être précisé. La société peut trouver la compétition utile, pour autant qu'elle ait les moyens de la canaliser au mieux de ses intérêts. On peut imaginer une société future dans laquelle existerait une compétition sans fin pour obtenir des positions de prestige et de pouvoir. Mais seule une infime minorité de gens y atteindront le sommet, où se trouve le pouvoir réel (voir la fin du paragraphe 163). Une telle société, où un individu ne peut satisfaire son besoin de puissance qu'en évinçant une grande quantité de gens et en les privant de toute possibilité de satisfaire le leur, est vraiment répugnante.
176. On peut envisager divers scénarios combinant plusieurs aspects des possibilités que nous avons évoquées. Les machines, par exemple, pourraient réaliser la plupart des travaux d'une réelle importance pratique, tandis que les hommes resteraient rivés aux tâches subalternes. Le développement massif du secteur des services va, paraît-il, créer des emplois. Ainsi les gens passeront leur temps à se cirer mutuellement les chaussures, à se conduire en taxi les uns les autres, à faire de l'artisanat les uns pour les autres, à se servir à table réciproquement, etc. Cela nous semble une fin particulièrement indigne pour l'humanité et nous doutons que beaucoup de gens puissent trouver à s'épanouir dans des occupations aussi insignifiantes. Ils rechercheront d'autres voies, dangereuses — les drogues, les crimes, les sectes, les groupes fanatiques —, tant qu'ils ne seront pas conditionnés biologiquement ou psychologiquement à s'adapter à un tel mode de vie.
177. Inutile de préciser que les scénarios décrits ci-dessus n'envisagent pas toutes les éventualités. Ils indiquent seulement le genre de résultats qui nous semblent les plus probables. Mais nous affirmons qu'il n'est pas possible de concevoir un scénario quelque peu plausible et qui soit plus réjouissant. Il ne fait guère de doute que, si le système industriel-technologique survit aux prochaines quarante ou cent années, il aura dans l'intervalle acquis certaines caractéristiques : les individus — au moins les «bourgeois», qui sont intégrés au système et le font marcher, et qui pour cette raison détiennent tout le pouvoir — seront plus dépendants que jamais des grandes organisations ; ils seront plus «socialisés» que jamais, et leurs qualités physiques et morales seront dans une large mesure dues au remodelage génétique plutôt qu'au hasard (ou à la volonté de Dieu, ou à quoi que ce soit d'autre). De la nature sauvage, il ne restera que des lambeaux placés sous la garde des scientifiques et réservés à leurs études. A long terme, disons dans quelques siècles, il est probable que n'existeront plus ni l'espèce humaine ni les autres organismes complexes tels que nous les connaissons aujourd'hui ; quand on commence à modifier les organismes par la génétique, il n'y a plus de raison de s'arrêter, et les modifications continueront donc probablement jusqu'à ce que l'homme et les autres organismes vivants soient complètement transformés.
178. Il est de toute façon certain que la technologie est en train de créer un nouvel environnement physique et social, radicalement différent de ceux auxquels la sélection naturelle a adapté physiquement et psychologiquement l'espèce humaine. Si l'homme n'est pas remodelé artificiellement pour être adapté à son nouvel environnement, c'est au travers d'un long et douloureux processus de sélection naturelle qu'il devra y parvenir. La première hypothèse est beaucoup plus probable que la seconde.
179. Mieux vaut se débarrasser de ce système pourri et en assumer les conséquences.
Et voilà j'ai finit, trop n'est pas assez. J'ai un peu dépasse du sujet mais c'est le fruit d'une intense reflexion et non un manque de respect.
La première source est : Noam Chomsky qui enseigne la linguistique au MIT et a ecrit plus de trentre livre.
Ma reponse est oui, nous sommes manipulés et les médias sont un moyen important de notre manipulation, que celle ci soit faites dans un but morale ou economique. Le système nous connais mieux que nous nous conaiisons nous même, nous controlons de moins en moins nos vies.
Pour le travail des journalistes je diarais que quand il y a conflit entre la morale et le travail on considère toujours (ou presque mais je parle en général) que le travail passe avant. Un policier croie au respect de la loi mais est pret à l'enfreindre pour faire condamner les criminels. On considère normal que un chomezur soit obligé de suivre une formation pour retrouver un emploi et on ne lui demande pas si ilk trouve cela indigne.