La Fourmilière

mdr mais derien , c'est bien normal que quelqu'un qui a fait 2 ans d'anglais en lv2 comme moi corrige les fautes de quelqu'un qui est en fac de langues mdrrrr

Y'a des fois où j'ai envie d'tout envoyer en l'air
parce que j'vois pas mon rôle dans l'univers
toujours en quête d'une mission, attention
on finit toujours par tourner en rond
en marchant trop de jours à reculons...
j'ai les yeux tournés vers le passé, des souvenirs tassés
et pas une seule canne à pêche pour me repêcher
j'me noye, j'étouffe, j'vois plus la surface
la dernière lueur du jour s'effaçe
arrive un moment où on touche le fond
pour reprendre une meilleure implulsion
mais faut faire gaffe de bien remplir ses poumons
j'ai pas d'écailles mais une solide carapace
même quelque fois j'me comporte comme un rapace
et j'abuse, à moi seul j'prends bien trop d'espace
à la place de branchies, j'ai des poumons noircis
pas les cigarettes et les soucis d'la vie
et chaque taffe est comme un soucis que j'évacue
une crasse de plus qui s'efface dans mon vécu
j'plane pas mais j'm'évade dans un monde irréel
j'décolle pas bien haut histoire qu'la chute soit pas mortelle
m'enfin bref de toute façons y'aura toujours des hauts et des bas
tout va bien quand on fait tout, qu'on s'débat...

***Ajout :***

va y que j'l'accoste, ce mec avec son pull lacoste
celui-là même qui est banquier à la poste
t'as déja vu dans son portefeuille ses billets suisses,
dans sa poche bien serrés contre sa cuisse
limite si y'a pas une chaîne accrochée à sa ceinture
encore faudrait-il qu'il en trouve une à sa mesure
peut-être un desdendant de chez mich'lin
ça on peut l'dire sans mentir il a fait l'plein
tous les jours il astique sa mercedez
et les week ends c'est barbec merguez
dans sa grande résidence à la campagne
quand il n'est pas dans son chalet à la montagne
sa femme s'occupe dans son club de tricot
et confectionne une écharpe pour qu'il ai bien chaud
elle a mis ses petits dans une école privée
pour qu'il ne puisse rien leur arriver
elle ne fait pas confiance aux baby sitters
dés qu'ils sont seuls elle prend trop peur
elle a ach'té mille gadgets genre talkie walkie
hésite à leur en greffer dans l'oreille pour qu'ça reste à vie
bien sûr en couple modèle jamais ils n'haussent la voix
elle dit tout l'temps au père "j'te laisse le choix"
bien sûr que ce texte est un carricature
ce n'est rien qu'un énorme délire pure
parce que l'on peut rire de tout
et que j'aime rire de moi comme de vous!

***Ajout :***

t'as résolu ton problème d'un coup d'flingue, dev'nu dingue
tu savais pas comment sortir de c'trou à rat, pas à pas
tu t'es enfonçé dans la merde, jusqu'à c'que tu perdes
tes repaires tes points d'ancrage, t'avais même perdu la rage
de te battre de continuer à vivre, tout l'temps ivre
entre tes bouteilles et tes joins, perché jusqu'au matin
t'es monté la-haut avant même de te foutre une balle dans l'cerveau
dans tes yeux c'était l'vide sidéral, jusqu'à c'que tu tires cette balle
pourtant si on r'monte le temps, enfant t'étais fort et souriant
toujours à aider ceux qui galéraient, t'étais d'venu l'emblême du quartier

t'étais plein d'rêves, des étoiles plein les yeux
ta vie fut brève, t'es monté aux cieux
ton rap est mort avant même de faire ses premiers pas
t'as emporté toutes les plus belles rimes avec toi

puis un jour t'as grandi, t'as tout envoyé balader t'es parti
avec quelques euros des grands mots, et un grand sac à dos
t'emm'nais avec toi tes souvenirs, confiant t'avancais avec le sourire
puis t'as compris qu'c'était pas gagné, on t'a plusieurs fois rejeté
t'as pas courbé l'dos, même si tu t'contentais d'ronger les os
trouvant quelques tafs au hasard, vendant quelques fringues au bazard
mais tu voyais grand tu voyais loin, tu voulais pas finir comme un chien
dans tes rêves tu f'sais la une, simplement en suivant ta plume
sans jamais vouloir faire fortune, tu n't'intéressais pas à la thune
dans ta tête des rimes de furieux, du rap t'étais fou amoureux
le temps passait tu voyais rien, tu t'levais tôt le matin
exténué pour final'ment gagner que dal, t'as songé à mettre un point final
trouvant du récomfort dans l'alcool, tu finissais tout habillé sur l'sol
des images plein la tête, où après un concert tu f'sais la fête
toi qui plaignait ces pauvres gars, le bedot a fait de beaux dégats
t'as arrêté de trimer, pour aller vivre dans un squat plein d'humidité
ne cherchant plus à voir le jour, tu fermais les yeux dev'nais comme sourd
tirant taffe sur taffe jour et nuit, voilà comment a fini ta triste vie...

t'étais plein d'rêves, des étoiles plein les yeux
ta vie fut brève, t'es monté aux cieux
ton rap est mort parce que t'as baissé les bras
t'as emporté les plus belles rimes avec toi...

Juste bravo: c'est génial

Edit Adweb: rooo devoir éditer un compliment qu'on nous fait ^^ attention au flood utilises les MP

des pensées, plus lugubres que jamais
parce que tu n'es plus là désormais
tu ne disparaîtra pas avec les années
sois en sûr je te le promets...

j'ai mal douleur physique mais aussi psychique
non je ne m'anesthésierai pas l'esprit
même si tout autour l'horizon est gris
je n'aime pas la lâcheté car elle fait mal
je n'arrive pas à trouver quelque chose de plus sal

pardonne moi je n'ai pas toujours su
c'est maintenant que mon coeur est à nu
que je n'peux plus rien faire, juste me taire
et rêver de les voir brûler en enfer

si tu savais comment j'rêve de partir
mais certains s'en réjouieraient trop
alors j'pense tout l'temps à l'avenir
au point de noyer mon cerveau de rêves idiots...

si tu savais comment ça m'tente
de dévaler trés vite la pente
mais je ne le ferai pas par désespoir
juste pour aller voir...

donner un coup d'oeil dans les coulisses
juste entrevoir ce que ça fait quand on glisse
quand on a finit notre show, qu'on monte tout là-haut
est-ce que par hasard c'est bien plus beau?!

bref j'sais que c'est impossible
que certaines choses sont inacessibles
je n'ai jamais baissé les bras ni les armes
je ne tomberai jamais sous son charme

sans avoir combattu ça j'te l'jure
mais j'fonçe peut-être déja dans l'mur
on n'peut pas rev'nir en arrière
repenser toujours à hier...

***Ajout :***

t'inquiète pas pour moi
tu sais j'suis lunatique
tu verra, demain ça ira
même si mon coeur pique

j'ai des grands moment d'faiblesse
entre deux moments d'maladresse
juste ce qu'il faut de tendresse
mais t'inquiète j'te donne ma promesse

que demain tu m'verra sourire
j'te parlerai plus d'l'envie d'mourir
parce que rien ne peut me détruire
juste quelques trucs dans l'av'nir

mais des choses qui n'dépendent pas de moi
donc tu vois pour l'moment tout va
j'marche encore bien droit, j'bois pas
j'avance prudemment, j'm'écrase pas sur l'tas

n'ai pas peur car ta souffrance se transfert
elle coule aussi bien que mon sang dans mes artères
j'ai comme un énorme mal pulmonaire
et tout d'un coup mon coeur qui se serre

je n'aime pas qu'on vienne m'aider
à mes yeux mes problèmes n'ont aucun interêt
donc ne t'arrêtes pas quand t'en as toi-même à régler
je sais ce qui ne va pas et j'ai gardé la clé

alors si j'souris sans conviction
ne fais pas attention
je ne perds pas la raison
je rentre toujours à la maison...

***Ajout :***

...lassitude, j'ai du mal à prendre de l'altitude
évacuer, tout ce stress toutes ces pensées
entendre, même si ca fait mal pouvoir comprendre...

***Ajout :***

à quoi bon quand on n'voit plus rien à l'horizon
que nos jours sont dégarnis de tout désir
qu'on ne rêve plus que de partir...

à quoi bon toujours faire attention
se protéger et prendre soin de soi
de toute façon ça ne dépend pas de moi...

à quoi bon on finit par tourner en rond
se torturer l'esprit, faire de nos jours des nuits
ne plus savoir ce qu'on veut faire de sa vie...

mais il y a toujours cette petite étincelle
qui finit par nous remettre en selle
on la hait parce qu'elle est tellement belle
qu'elle nous empêche rien qu'un instant d'avoir l'esprit rebel...

mais il y a toujours ce petit arrière goûts
quand on se souvient d'absolument tout
de ces petits bonheurs qui valent un sous
mais représentent tout pour nous...

***Ajout :***

Suite à une conversation avec une fourmi hier soir, j'ai eu envie d'écrire un p'tit texte le voici ^^


me voilà avec mes 90 ans! "papi, papi tu mens!" d'accord d'accord en réalité je m'approche plutôt des 100! Que voulez-vous, arriver à cent ans n'est pas aussi génial que ça en a l'air!
Déja, je ne bouge plus de mon lit! Ma chair s'étale sur les draps en une masse informe qui en recouvre pratiquement toute la surface! Mes jambes ressemblent à deux immenses saucissons qu'on aurait oublié de ficeler et qui se seraient durcis au fil du temps! Mon dentier a rendu l'âme depuis quelques mois déja et je me retrouve à siroter une sorte de soupe multicolore qui sent tell'ment fort que mon nez, bien que presque inutilisable, en a des frissons!
Bref vous l'aurez compris, c'est pas la joie! Mais je ne laisse pas ce dernier texte pour me plaindre, ni pour que vous me preniez en pitié et veniez me voir plus souvent! Je vous écris simplement pour vous parler un peu de moi, de ma vie, qui prend fin lentement...

Fils de cheminot, j'ai grandi au milieu des flancs que me préparait ma mère et des tartes que me donnait mon père! Il faut dire que je n'étais pas un de ces gentils garcons avec la mèche bien sur le côté comme il faut et un pantalon sans un pli! Non, j'avais toujours une déchirure au genoux qui était complétée par une marque au fesses quand mon père voyait ça et j'avais toujours un épi rebel qui malgrès une tonne d'une sorte de gel à l'époque n'arrivait pas à applatir.
A l'école, je n'étais pas non plus de ceux qu'on voyait assis au premier rang, et mes notes non plus n'étaient pas au premier rang! Mais je trichais un minimum pour ne pas avoir à redoubler et partir le plus tôt possible de cet endroit où même la cour m'aparaissait comme une prison avec ces grandes grilles l'entourant!

Bref, je quittais rapidement ce lieux sinistre, et m'intéressais plutôt à ce qui se passait tard le soir, dans les coins reculés de la ville! Trés vite je devins un accro de géométrie et je roulais bientôt les plus beaux cônes de mon quartier. Je restais de longues heures allongés dans l'herbe à fixer les étoiles, ne pensant à rien, juste à suivre ces petits points qui devenaient de plus en plus flous avec les heures...

Mon père s'aperçut aussi trés vite de mes escapades nocturnes, et il me força à travailler sur les voies de chemin de fer! Je ne voyais plus mes rares amis, qui eux continuaient l'école, et il m'arrivait parfois en les voyant, d'envier leur insouciance et leurs cours qui me semblaient maintenant beaucoup moins ennuyant que le travail sur la voie!

Mais il était trop tard pour regretter! Je les vis s'en aller vers des villes dont les noms résonnaient à mes oreilles comme des trésors, où ils allaient poursuivre leurs études dans de belles et grandes facs! Tandis que moi...moi je me retrouvais cheminot...

Ma mère mourut quand j'arrivais sur mes vingt ans! Mon père et moi restions distants pour éviter de s'accrocher! On ne travaillait pas aux mêmes endroits ni aux mêmes heures, ce qui facilitait notre cohabitation.

Bientôt j'économisais de l'argent, dépensant deux gardant un, et me trouvais un appartement, au rez de chaussé, supportant le tapage nocturne de mes voisins du dessus qui avaient eu la bonne idée de pondre un bambin alors qu'eux-mêmes n'avaient pas fini d'être éduqués.

Ce n'est que vers 21 ans que je commencais à m'intéresser aux femmes...Après quelques histoires sans lendemain, je choisis la fille d'un boucher, une fille remarquable qui est maintenant votre grand-mère! Paix à son âme!

Elle fut sans doute la meilleure chose qui m'arriva dans la vie avec la naissance de nos deux fils et après de vous trois! Plus tard je revis mes amis d'enfance, deux étaient ingénieurs, possédaient une seconde résidence, et partaient en vacances dans des terres dont les noms m'étaient alors presque inconnus. Le troisième était avocat!

Voilà une histoire bien banale que je vous ai raconté là...Une histoire de grand-père qu'on écoute par respect, qui ressort rapidement par l'autre oreille si jamais elle est rentrée! Une histoire qui fait rire! Une histoire à la fin de laquelle on sourit et on dit "alala mon pauvre pépé!" Mais sans pour autant en tirer une morale...Oui cette histoire est courte, je pourrai la rallonger, mais je veux que vous gardiez l'essentiel...

l'essentiel c'est de suivre ses rêves, de se donner les moyens...et pour le reste...je vous laisse y réfléchir...

*il s'endormit le clavier d'ordinateur sans fil sur les genoux, fatigué d'avoir du faire fonctionner aussi fort son cerveau pour dompter cette technologie qui lui faisait comprendre qu'il ne faisait déja plus parti de ce temps*

(ouais bref sans commentaires ^^ pas top top, j'ai du mal a aller au bout de ce que je veux, et la j'ai un peu perdu le fil mdr)

alalala tu nous fais toujours des surpises adweb !!et quelle surprise!!!!!c'est toujours chouette

j'ai bcp aimé en fait c'est trop trop signifiant et puis j'adore ton imagination grand père mdr!!C'est........SUPER voila


edit Adweb: attention au flood

j'ai peut-être l'air d'une branche qui tremble
mais tu sais au fond on se ressemble
je cache mon jeux, pour être heureux
parce que je ne veux pas d'une vie à deux

j'ai peut-être l'air d'un chien perdu
qui a peur d'être jeté à la rue
mais ce n'est qu'une impression
que je donne pour fuir l'affection

j'ai peut-être l'air d'un p'tit gamin
qui a besoin qu'on lui tienne la main
mais j'regarde toujours avant de traverser
et on marche toujours du même côté

j'ai sûrement un côté faible au fond de moi
mais je sais quelle est ma voie, ne t'inquiète pas
et je garde ce masque pour ma tranquilité
peut-être qu'un jour je le perdrai...

***Ajout :***

le précédant n'était pas top ^^ alors voila j'en refais un en éspérant qu'il soit mieux!

tu me tends la main, tu crois que je sors du chemin, mais tout va bien
j'ai une solide carapace, assez d'espace, je n'ai pas peur des rapaces
je laisse les gens profiter, je pourrais l'éviter, mais c'est une façon d'aimer
tu vois j'ai besoin d'amour, au fil des jours, et pourtant je reste sourd
je ne veux pas d'histoires, même si ce n'est qu'un soir, je garde mon territoire
alors si je ne le décide pas, jamais ca n'arrivera, du moment qu'on en fait le choix...
j'ai le coeur sur la main, sans aucun frein, mais je m'arrêterai peut-être demain
j'ai appris à m'aimer, même si je montre l'opposé, je sais quand même que j'plais
j'ai compris ce qui fait fuire, ce qu'il faut faire luire, ce que je dois écrire
j'aime fixer au fond des yeux, je me sens mieux, quand j'y vois ce que je veux...

Et ben ça en fait des choses ! C'est vachement si tu écris beaucoup, y'a pleins d'idées, pleins de choses importantes, plein d'espoir ! Tu m'a l'air d'être passionné. Vachement important pour écrire, vital même ! J'aime ce que tu écris, même si je n'aime plus du tout écrire en vers (en fait j'avais l'impression de ne pas être libre). Les textes de rap sont bien, à mon avis, c'est très interessant à écrire car totalement libre au niveau de la construction. Biensur il faut mettre des rimes, mais tu les mets où tu veux, et, finalement, ça sonne (et d'ailleurs ces textes sont faits pour être très musicaux donc forcément tu vas les travailler à l'oreille).
Par contre, pour ton histoire, la seule choe que je pourrai te dire, c'est qu'il faut faire super gaffe aux répétitions qui sont vraiment une plaie quand on écris, un putain de cauchemar, y'a de quoi s'arracher les cheveux !

oui je sais les répétitions mon immense problème lol merci


y'a trop d'phrases qui blessent, et moi j'ai trop d'faiblesses
tu sais j'ai pas souvent la haine, mais tell'ment le coeur qui saigne
j'cache bien toutes mes blessures, j'en parle pas même si c'est dur
il parait qu'la parole guérit, moi j'dis rien et j'suis toujours en vie
ne m'fais pas croire que seul j'suis rien, j'ai tracé un bout d'chemin
j'te vois dans mes yeux dans la glace, et j'suis dans l'impasse
j'sais qu'j'suis trop rêveur, et qu' un jour ca m’port’ra malheur
j'ai avalé trop de somnifères, acceptes ou pas ce trait de caractère
j’me débats j’trace ma route, j’travaille d’quoi gagner ma croûte
j’suis pas d’ceux qui s’tuent à la tâche, j’veux que tu le saches
pour ceux qu’j’aime j’dirais amen, même si il faut que j’me saigne
on m’dit qu’j’ai l’cœur sur la main, mais cette douleur au creux des reins
m’rappelle que j’aurai pu faire mieux, j’regarde et des fois j’m’en veux
mais les regrets sont inutiles, en parler n’est qu’une chose futile
alors j’garde tout l’temps l’sourire, même quand j’me mets à faiblir
parce que sombrer ne mène nul part, que les moments d’bonheur sont rares
j’pense à tous ces bons moments, pour oublier c’que j’vis à l’instant
bref j’sais pas c’que j’veux t’dire, alors j’vais m’arrêter d’écrire…

***Ajout :***

inspiré de mon thème sur les intellos


elle a des double foyers, qui tombent sur son nez
on l'appelle la calculatrice, avec ses boutons qui laissent des cicatrices
son sac date de la primaire, avec écrit scott derrière
sa trousse est en cuir, elle n'a que des bics pour écrire
toujours au premier rang, le doigt levé pointé en avant
elle fait toujours ses devoirs, dit bien poliment au revoir

il est petit et maigrichon, on le surnomme cornichon
il sait pas faire une roulade, problème de dos irréparable
il louche avec ses yeux marrons, son gros nez de cochon
ses fringues sont rapiécées, pas la même couleur sans l'ourlet
il marche les pieds d'travers, on voit surtout son derrière

ils se moquent toujours d'eux, inventent toutes sortes de jeux
à celui qui inventera le quolibet, qui sera le mieux adapté
ca passe par binoclard, à tu t'habilles comme un clochard
des regards dédaigneux, sous lesquels ils baissent les yeux
des rejettés d'la société, qui ont l'malheur de cartonner
ils les excluent sans leur parler, juste les devoirs à demander

mais ceux-là mêmes qui se moquent, ont une confiance en toc
ils n'aiment pas la différence, la banissent par méfiance
et ce ils c'est nous, quand on rigole de tout
qu'on dit des choses atroces, en jettant des regards féroces
on arrive à toucher l'coeur, et ils cachent leurs pleurs
ils n'ont que leur fierté, demandent simplement de l'amitié
mais les enfants sont cruels, et on est tous pareils...


bon voilà sans le retravailler parce que sinon j'effacerai tout ^^

***Ajout :***

j'ai la rime qui blesse, j'profite de tes faiblesses
j'sais où ca t'fait mal, mes mots partent comme des balles
j'suis d'humeur cynique, j'envoie ton coeur à la clinique
j'ai plongé dans ton âme, j'enfonce lent'ment ma lame
tout droit dans ton coeur, j'casse ton bonheur
j'ai un sourire en coin, j'sens venir ta fin
j'me nourris de tes larmes, de tes cris, j'anéantis ton espoir, ta vie
j'frappe les points sensibles, je suis devenu invincible
plus aucun rempart, tu n'peux aller nul part
j'te transmets ma souffrance, que j'porte depuis l'enfance
je t'achève avec des mots durs, ton pauvre coeur qui était pur
j'prends plaisir à t'faire souffrir, j'te tiens et ça m'fait rire
tout mon pouvoir vient de làa, découvrir ce qui n'va pas
chaque larme est une victoire, je marche sur ton territoire
pas de pitié jusqu'à la mort, pour que j'me sente bien plus fort
mais je n'suis qu'une merde, qui n'a rien à perdre
se nourissant de ta douleur, donnant vie à toutes tes peurs
ton désespoir me fait sourire, je mérit'rai d'pourrir
les mots sortent sans raison, j'essaye pas d'faire attention
j'm'amuse à t'percer a jour, à tes suppliques j'reste sourd
voilà quel être je suis, voilà pourquoi je me fuis

Bravo pour ton ,texte sur Jesus, je le trouve tout simplement enorme. J'adore l'idée.
Et j'ai une question: Et si c'était vrai???

merci j'ignore si c'est vrai, j'aime bien voir les choses sous un autre angle on va dire

tu peux lancer le débat si tu veux

et merci encore

allez j'en profite pour mettre une tite phrase que j'aime bien


"les femmes sont à la recherche du prince charmant, les hommes à la recherche d'une charmante princesse"

de moi ^^

***Ajout :***

laisse moi rêver même si j'en meurs
je veux connaître ce simple bonheur
laisse moi l'espoir d'une vie à deux
l'impression de devenir heureux

laisse moi planer même si je retombe
je veux quitter cet endroit trop sombre
laisse moi allumer une petite bougie
me donnant l'illusion d'être en vie

laisse moi sombrer même si je disparais
cette douce langueur qui me connaît
laisse moi pleurer seul en silence
peut-être que les larmes pansent...

laisse moi mourir même si je ne renais pas
j'arrive au bout du rouleau crois moi
laisse moi enfoncer doucement la lame
tu verra sûrement planer mon âme...

***Ajout :***

je n'ai pas nourri d'espoir, je savais qu'il était trop tard
ton visage était blanc, je m'y suis habitué avec le temps
cela faisait parti du quotidien, on avancait main dans la main
je ne pensais jamais à l'avenir, tu étais là, j'avais l'sourire
tu m'apprenais à aimer vivre, je me sentais comme ivre
dès que tu étais à mes côtés, comme personne ne le sera jamais
j'avais confiance j'étais heureux, rien ne pouvait m'arriver de mieux
j'en oubliais de penser à demain, je ne voulais pas penser à la fin
je n'ai pas pu te voir partir, tu devais deux jours plus tard me revenir
mais ton chemin a été dévié, et je n'ai jamais autant pleuré
tu représentais la vie tout simplement, et je ne sais plus que faire maitenant
tu m'as appris à être courageux, à continuer tout ça pour nous deux
mais des fois je t'avoue j'ai du mal, et mon coeur descend à fond d'calle
je ne peux te promettre qu'une chose, c'est que même si ce n'est pas tout rose
je n'oublierai jamais tes leçons de bonheur, je m'en souviendrai toujours par coeur
petit ange tu es encore en moi, et toute ma vie le restera...

***Ajout :***

ce qui m'a inspiré ce poème c'est une image donnée par une fourmis extra


j'ai trouvé un roman qui parlait de toi et moi
j'ai fermé mes yeux et ouvert mon coeur
laissant mes sentiments pour une fois
prendre le dessus sur mes peurs...

j'ai rangé mes doutes dans un tiroir
pour illuminer mon ciel de milles étoiles
j'ai murmuré à mes larmes un aurevoir
mes yeux ont laissés glisser leur voile...

tout en voyageant par la pensée
j'ai perdu ma sombre tristesse
et je me suis plu à imaginer
une histoire d'amour sans détresse...

ton regard reflétait le bonheur
mon coeur battait la chamade
mes lèvres goutaient ta saveur
mais ce n'était qu'une passade...

je me suis réveillé en nage
je suis redescendu de mon nuage
ce roman n'était qu'un rêve de plus
si seulement jusqu'au bout je l'avais lu...

***Ajout :***

si je devais mourir demain...

si je devais mourir demain j'aimerais te dire merci
à toi qui a fait de ma vie un petit bout de paradis
si je devais mourir demain je viendrais te rejoindre
me hâtant d'ouvrir mes bras, de t'étreindre...

si je devais mourir demain je vous remercierai
pour tout ce que vous m'avez apporté
vous mes ami(e)s, ou vous qui croisez mon chemin
parce que vous êtes de plus en plus rares à tendre la main

si je devais mourir demain j'irai m'asseoir dehors
profitant du paysage, de cet immense décors
où beaucoup défilent en portant un masque
parlant de tout et racontant milles casques

si je devais mourir demain je regretterai sûrement
d'avoir traîné pour rien, de ne pas avoir eu le temps
de m'intéresser à l'essentiel qui fait une vie
de n'avoir pensé à chaque chose que par son prix

si je devais mourir demain je te dirai peut-être je t'aime
parce que l'amour vaut toujours mieux que la haine
et parce que j'aurai eu envie d'un peu de tendresse
profiter une dernière fois de l'apaisement des caresses

si je devais mourir demain je ne ferai peut-être rien
restant les bras croisés en attendant la fin
ou en ne me doutant pas de ce qui allait venir
comme un roman qu'on n'a pas pu finir...

***Ajout :***

petite voleuse, tu t'empares de mon coeur
t'enfuit en riant me laissant avec mon malheur
petite voleuse, j'ai un faible pour toi
reste avec moi, non ne t'en vas pas

petite voleuse, combien as tu de trophés
d'âmes qui te sont total'ment dévouées?!
petite voleuse, tu as la main heureuse
mais tu n'tombes jamais amoureuse...

petite voleuse, tu ne t'arrêtera pas
combien encore seront amoureux de toi
t'as mon coeur pris dans ton filet
et tu n'es pas prête de le lâcher

petite voleuse j'attends ton retour
j'éspère simplement te revoir un jour
mais je sais que tu es loin avec ton sourire
mon corps sans coeur se met a pourrir

petite voleuse je sais que c'est impossible
et pourtant tu restera toujours ma cible
même si c'est moi ta pauvre proie
je ferai tout pour que ca n'le soit pas...

***Ajout :***

les cernes de mon existence, sont immenses
j'ai avec la mort une grande ressemblance
je te conseille de me fuir comme la peste
sont fous absolument tous ceux qui restent

comme un bateau sur le point de sombrer
moi capitaine, suis le seul qui doit rester
embarque sur la chaloupe de sauvetage
et contemple de trés loin ce carnage

admire un homme enchaîné par son esprit
oh s'il te plaît, garde ta pitié, épargne le lui
il est devenu une victime par sa propre volonté
ce n'est pas à toi de lui d'mander d'te pardonner

regarde le mât s'enfonçer lentement dans l'eau
peut-être verra tu monter son âme là-haut
si avec toutes ses erreurs il ne va pas en enfer
et à propos d'ça il a du soucis à s'faire...

les erreurs de jeunesse sont mon rayon
les histoires de détresse sont en coton
ne te prends même pas de sympathie
pour mon petit être en fin de vie...

les cernes de mon existence, sont immenses
je retourne mon passé et quand j'y pense
je suis loin d'être un ange aux ailes blanches
et ma bonté n'est pas du tout étanche...

***Ajout :***

sur une isntru mos def ca m'inspire

j'pose mon texte, les mots viennent par réflexes, sans aucun complexe, j'peux même te parler d'sexe, l'effacer d'un coup d'ti-pex
j'peux pas m'empêcher d'écrire, toujours un truc à dire, histoire d'retrouver l'sourire, comme parler de c'qu'il y a d'pire
j'ai le rythme dans la peau, je jongle avec les mots, que ca parle d'amour ou d'salaud, j'te fais un lot, j'évite que ca sonne faux
j'ai la rime facile, les thèmes défilent, fronçe pas les sourcils, ne lis pas si tu trouves ça débile, j'suis pas toujours trés habile
j'ai la chance de m'exprimer, simplement sur un bout d'papier, suffit d'le déplier, si tuveux lire c'qu'il y a d'marqué
je hoche la tête, jusqu'à ce que la zic s'arrête, dans mes oreilles faut qu'ça pète, j'mets en boucle la cassette
j'cherche c'qui va t'plaire, c'qui fait qu'ton coeur se serre, un truc qui t'refasse toucher terre, si jamais tu te perds
j'crois que tout est dit, alors j'dis simplement merci, à ceux qui lisent et apprécient, même si ce s'ra jamais fini, j'pense que j'écrirai toute ma vie!

mdr vive l'inspi

***Ajout :***

je plane, laisse voler mon âme, loin au-dessus des drames
je fuis, ce monde de mépris, qui sent l'huile trop fri
je rêve, assis sur une falaise, pour chasser mon malaise
je cache, tout ce qui fait tâche, ou ce qui fâche
je laisse, derrière moi la détresse, et toutes ces maladresses
je sors, toutes voiles dehors, loin du mazout des ports
je coule, complètement saoul, j'échappe à la foule
je noye, comme des proies, tous mes maux et mes émois
je triche, je n'suis pas chiche, avec mes pattes de biche
je rôde, autour de l'emeraude, entrant en fraude
je berçe, ton coeur de caresses, pour que tu sentes l'ivresse
je nage, ancien poisson sage, partant vers le large
je tue, ton âme à nu, qui n'en peut déja plus
je suis, celui qui rentre dans ta vie, et gentiment la détruit

ben je viens de lire l poème de calculatrice (ce texte un ti peu intllo comme tu dis) j l'ai bcp adoré mais j'aurais préféré qu'il soit une sorte de devinette ça auré était plus signifiant non??!!:razz:

mais en général j'aime ce que t'écris (comme dab j suppose) ça contient de la sagesse voilà

c'est tres sympa adweb, certains poemes ressembent à du slam non? à quand l'intégral du poème sur wallis

merci! oui c'est un peu du slam ce que je fais, enfin dans ma tête parfois ca l'est
et Hanaâ oui faudrait que j'essaye comme tu as dis si j'ai l'inspiration!

on a mis un avis d'recherche pour l'amour, mettant sa tête à prix depuis quelques jours
mais rares sont ceux qui avaient quelque chose à dire, et leurs mots parlaient de vengeance et de détruire
sur tous les poteaux même sur l'autoroute, des fois qu'il se soit égaré en route
il a trop peur des bouchons sur la nationale, il préfère qu'on dise "je t'aime" le premier soir c'est plus banal
il se balade parfois dans les jardins publics, mais depuis quelques années il n'a plus rien de pudique
certains disent qu'il a parfois trop mal au coeur, et cherche dans la nuit sur le trottoir de quoi noyer sa rancoeur
on entend parfois ses cris dans un appartement, mais les lits deux places sont déja trop grand
il s'allonge bien loin de sa moitié, comme si il avait peur de lui donner des coups de pieds
et puis un jour il découvre que tout va de travers, que si il continue il va foutre sa vie en l'air
alors il rend les clés et s'en va trés loin, ne repassant qu'un instant le temps de se donner la main
parfois il s'arrête pendant des années sous le même toit, mais la mort lui rappelle qu'elle a un emploi
il ne cède pas mais ne peut rien faire contre elle, c'est peut-être pour ça qu'on dit qu'il donne des ailes
tout l'monde à son nom sur la bouche, mais beaucoup restent toute leur vie sur la touche
peut-être tous simplement parce qu'ils en ont peur, renonçant au bonheur et fuyant le malheur
moi je lui serre la main des fois quand je le croise, mais il garde ce regard hautain et me toise
je sais qu'un jour il me tapera la conversation, et qu'il m'accordera un peu d'attention...

inspiration du soir toujours ^^

***Ajout :***

le topic "vivre..." m'inspire ^^ enfin ce qui a été dit dedans surtout

j'vais t'raconter l'histoire d'un milliardaire, qui passait ses journées à rien faire
vivant dans une maison à trois étages, piscine intèrieure, bowling et trois femmes de ménage
plus une cuisinière, un chauffeur et une secrétaire, la belle vie passée à s'dorer les pieds en l'air
pas besoin de travailler pour gagner sa croute, aucune question qui passe par l'esprit aucun doute
deux bm, une ferrari dans le garage, plus deux résidences secondaires dans les parages
un claquement de doigt et il obtient ce qu'il veut, il a vraiment tout c'qu'il faut pour être heureux
et puis un jour il a rencontré une jolie femme, à l'aide de shakespeare lui a déclarée sa flamme
la demoiselle vivait durement de son travail, elle savait ce que voulait dire être sur la paille
elle vit sa maison et tous ses gadgets, mais ça ne lui monta pas à la tête
l'homme ne comprenait pas pourquoi, elle lui résistait alors qu'il avait toujours tout eu jusque là
elle lui répondit que certaines choses n'ont pas de prix, que les billets verts ne l'achèteraient pas pour la vie
il essaya de lui offrir des diamants magnifiques, elle refusa à chaque fois avec un sourire sarcastique
elle s'en alla avec un simple ouvrier, l'homme lui dit que bientôt elle regretterai
il a maintenant dans les 80 balais, et aucun rire d'enfants ne résonne dans son palais
il l'a revue une fois, sourire aux lèvres le ventre rond, il a rigolé en n'y prêtant pas attention
mais il se retrouve seul comme un pauvre c..

***Ajout :***

écrit en anglais ce matin ^^

la tête dans les nuages, je songeais à ma vie
des larmes de passage, berçaient mes nuits
j'apercus un arc-en-ciel, surgi de nul part
donnant un gout de miel, à mon sombre cafard
je songeais à mes peines, tâchant des les oublier
chassant toute ma haine, qui m'avait consummé
l'orage avait pris fin, me redonnant espoir
de voir en demain, un nouveau départ
un sourire m'illumina, cachant mes cernes
je fis quelques pas, de plus en plus fermes
marchant vers l'avenir, sous un ciel bleu
rêvant de mon devenir, et d'être heureux
je frôlais la tristesse, refusant sa main
jusqu'a ce qu'elle disparaisse, dans le lointain
la confiance m'accompagna, fidèle amie
me protégeant du froid, cruel enemi
je fis front avec mon passé, cynique imposteur
qui sans répis revenait, pour nuir a mon bonheur
je lui dis Adieu fermement, et continuait ma route
profitant du présent, sans plus aucun doute

***Ajout :***

si je pouvais laisser mon coeur parler
c'est sûrement vers toi qu'il viendrait
si je laissais une chance à l'amour
de se dévoiler au grand jour
je te dirai simplement deux mots
qui tant de fois ont sonné faux
dans d'autres bouches, d'autre pays
moi si je t'aime c'est pour la vie...

si je prenais un peu confiance en moi
que je nous laisse une chance, le choix
si je délaissais ma raison une seconde
pour que l'amour en moi se fonde
je ferais sûrement un long voyage
pour venir observer ton visage
te sourire et te prendre dans mes bras
comme si ça avait toujours été comme ça

si je n'avais pas autant l'âme solitaire
et peut-être un peu moins les pieds sur terre
si je prenais conscience du temps
quand s'enchaînent tous ces printemps
je prendrai peut-être mon courage à demain
pour te dire que je veux partager ton chemin
mais je n'suis qu'un ours polaire
qui ne fera pas le tour de la terre


mon cerveau ^^ toujours en train d'aligner des mots

***Ajout :***

Petite fleur.

Tu es comme une fleur que l’on n’ose arracher
Secouée par les vents tu restes bien enracinée
Mais si fragile avec ton pollen qui s’envole
J’ai tellement peur de te laisser sur le sol

Je ne peux cependant pas t’arracher à ta terre
Je ne peux que contempler ta beauté éphémère
Je sais que t’emmener loin avec moi
Ce ne serait pas faire le bon choix

Tu as besoin d’eau, de vent et de liberté
Je n’ai pas le droit de t’emprisonner
Alors je m’en vais à reculons tout doucement
En te laissant profiter du soleil de printemps

Tes pétales s’agitent mais je ne saisis pas leurs paroles
Une larme coule sur ma joue alors que je prends mon envol
J’ai glissé dans les ténèbres pour ne pas te faire d’ombre
Je pose une main sur mon cœur qui plonge dans la pénombre

En dessous de moi entre toutes je t’aperçois
Un signe de la main, je me retourne une dernière fois
Je m’éloigne dans le seul bruit des mes ailes assombries
Gardant ton souvenir comme un des plus précieux de ma vie…

***Ajout :***

fin d'une histoire.


j'ai sondé mon coeur, songeur, à la recherche du bonheur
j'ai sondé ma tête, requête, pour que ça s'arrête
parce que les questions finissent par tourner en rond
parce que les raisons ne sont plus celles de la passion

j'ai veillé toute la nuit, pour ne pas rencontrer l'oubli
j'ai fermé mes yeux à l'avenir, pour garder ce précieux sourire
parce que tout a une fin, que je ne veux pas voir demain
parce que j'ai du chagrin, je cherche la chaleur de ta main

c'est dur de laisser des années derrière soi, quand on a pas le choix
c'est dur de vivre sans espoir, sans ta lumière je plonge dans le noir
parce que ta présence à elle seule, me permettait d’ouvrir ma gueule
parce que ton âme était belle, qu’elle me donnait simplement des ailes

j’ai cherché le repos les yeux ouverts, rêvant de retours en arrière
j’ai ouvert mes veines avec des souvenirs, me laissant un âpre sourire
parce que je ne peux que regretter, que rien ne sert de vivre dans le passé
parce que le monde m’ouvre les bras, mais que moi je n’en veux pas

et pourtant de là-haut tu me supplies, de m’ouvrir aux autres, à la vie
et pourtant tu me presses chaque jour, quand je me force à faire le sourd
parce que je ne peux admirer la beauté, si tu n’es pas à mes côtés
parce que même si tu es en moi, je ne peux serrer ton corps dans mes bras…

***Ajout :***

un petit espace entre deux écailles
petite faiblesse dans ma muraille
ne viens pas sonder mes entrailles
il y a déja bien trop d'entailles...

j'héberge de nombreuses cicatrices
et ta lame m'est un sale supplice
quand tu l'enfonces et qu'elle glisse
me jetant du haut d'un précipice

je me cache derrière un grand sourire
de ma faiblesse je ne veux rien dire
parce qu'il faut avancer et grandir
en chassant le passé pour voir l'avenir

mais je replonge dans de sombres songes
impossible de passer un coup déponge
quand je sens que doucement tu t'allonges
sur mes plaies que tu ronges...

sympa l'poème du dernier jour de l'année ^^

***Ajout :***

un petit espace entre deux écailles
petite faiblesse dans ma muraille
ne viens pas sonder mes entrailles
il y a déja bien trop d'entailles...

j'héberge de nombreuses cicatrices
et ta lame m'est un sale supplice
quand tu l'enfonces et qu'elle glisse
me jetant du haut d'un précipice

je me cache derrière un grand sourire
de ma faiblesse je ne veux rien dire
parce qu'il faut avancer et grandir
en chassant le passé pour voir l'avenir

mais je replonge dans de sombres songes
impossible de passer un coup déponge
quand je sens que doucement tu t'allonges
sur mes plaies que tu ronges...

sympa l'poème du dernier jour de l'année ^^

***Ajout :***

j'ai lancé ma plume à ta poursuite
d'un coup de crayon j'ai coupé ta fuite
en écrivant je t'aime sur un bout de papier
qui lentement ton coeur a consumé

j'ai laissé l'encre se mélanger à tes larmes
me servant de la plus cruelle des armes
pour égoistement te garder près de moi
sans un instant te laisser le choix

j'ai ouvert mon coeur sans ta permission
et fermé mes yeux pour ne pas faire attention
à ton coeur torturé par une flamme orangée
qui t'a lentement poussée à m'aimer

j'ai choisi des mots doux qui font rougir
et apparaître au coin de la bouche un sourire
ceux qui te poussent à croire en une histoire
même si au fond tu sais que c'est dérisoire...


j'sais pas je trouvais ça sympa d'écrire sur l'écriture en lien avec quelque chose ^^ j'sais pas comment expliquer par contre ^^

***Ajout :***

un petit comme ça en passant


je ne prends jamais le chemin le plus court
je fais toujours milles et un détours
pour finalement m'apercevoir
que mes doutes sont dérisoires
et pourtant je ne peux m'empêcher
de me dire "arrête toi de rêver"
je me fais du mal ainsi qu'a toi
j'éspère que tu me pardonnera
je ne sais pourquoi je persiste
alors qu'il n'y a rien sur cette piste...

C'est vrai que ça ressemble à du slam, faudrait scander pour voir et comme j'aime le slam, tu as gagné un fan

et bien ce n'est pas toujours du slam, mais en grande partie oui! le problème maintenant est de trouver des instrus, j'ai pour projet d'en faire au violon mais c'est dur de composer aussi la partie de violon, pourtant ce n'est pas l'inspiration qui me manque!
attends d'en lire d'autres avant d'être fan tu risquerais d'être déçu

ma première impression me trompe rarement.


edit Adweb: c'est gentil mais attention au flood

moi je trouve ca d une platitude, si tu regardes ta construction, au sein des vers tu as des sonorites atroce
" quelques fois vois tu", "est ce que", "souv'nir"... et j en passe.
quand a ta construction c est facile de faire plein d ecrits comme ca, si tu construit tes rimes deux a deux....
" a" "a", "eu""eu" et c est comme ca tout le long !
X_x tu devrai plutot tenter l ecriture brute que la poesie car ce qui est indeniable c est que tu as une facilite d ecriture, apres je pense pas que la poesie soit la bone voie, ou alors faut bosser.

gentille astachoux, c'est un procédé courant dans le slam et la critique est aisée mais comme je sais que tu n'aimes pas GMC, il est logique que tu parles de platitude, moi, je trouve qu'il est certain qu'une scanssion est nécessaire mais qu'il y a du fond, et on ne peut rimer riche à tout coup. En plus je peux me tromper mais c'est un texte brut de décoffrage, il peut toujours le travailler. Trop de contraintes tuent le slam. Et comme il dit lui-même, ce n'est pas que du slam. Donc il fait ce qu'il veut comme Rimbaud l'a toujours préconisé.

peut-être que c'est plat, mais en tout cas, je ne sors pas des rimes pour que ce soit forcément juste niveau sonore, je m'arrange aussi pour que ça ait un sens! suffit pas de faire des rimes, il faut encore que les mots viennent du coeur! et puis si t'écoutes ça ne rime pas tout le temps à tous les moments!
comme le dit Mushashi il n'y a pas que du slam mais aussi de la poésie! Et je n'ai pas dis que je faisais quelque chose de difficile
merci de tes remarques! j'aime bien les rimes aabb mais il m'arrive de changer, je n'ai pas tout posté ici (sinon j'ennuyerai tout le monde ^^) mais j'en ai des croisés, des embrassés! bref tout dépend de mon humeur
merci pour tes remarques, c'est par la critique qu'on avance! mais avant tout mes textes servent à dire ce que j'ressens plutôt qu'à apparaitre comme des chefs d'oeuvre! ce qu'ils ne seront jamais ^^

***Ajout :***

J'ai donné un coup d'oeil à ta galerie Astachoux, j'ai vu ton poème, tu mets plus de rimes à la suite tout simplement j'vais essayer d'en faire un dans ton style

on se retrouve en face à face
je m'approche et l'enlace
tout doucement l'embrasse
toutes ses peurs s'effacent
je n'en vois aucune trace
dans ses yeux de saphir
où naît un sourire
qui continue à luire
au rythme de ses soupirs...

voilà ^^ faut pas trop chercher, c'est le soir, j'ai bossé tout l'aprem