Kent a écrit :avant Bush tout allait encore relativement bien
On ne doit pas habiter sur le même plan d'existence, parce que Bush Jr a commencé son mandat en 2001, ce qui veut dire qu'on ne peut pas lui faire retomber dessus :
la guerre en Croatie, la guerre en Bosnie, au Kosovo, la Tchétchénie, les deux guerres du Congo, en Ethiopie-Erythrée, la guerre Pérou-Equateur, au Liban, la guerre Iran-Irak, "la guerre de le Golfe", du Haut Karabakh, Kargil..
Sans compter évidemment les guerres civiles, en Moldavie, en Macédoine, la situation au Tchad, au Mozambique, en Angola, au Soudan, au Libéria, en Sierra Leone, en Somalie, au Cambodge, la guerre civile d'Afghanistan, du Cachemire, Georgie, Tadjikistan, la situation au Tibet, la guérilla maoïste du Népal, ...
(edit : ah le boulet, j'en oublie carrément le conflit Israëlo-palestinien !)
Tout ça sans parler des dictateurs du genre de Saddam Hussein, qui bien qu'ayant servi de prétexte, était un vrai dictateur...
Pour l'instant, George Bush Jr a fait l'Irak et l'Afghanistan, on pourrait presque dire que jusque là il a été "raisonnable" si on compare à l'actualité guerrière de ces 20 dernières années.
Dire qu'il est stupide, ça m'étonnerait quand même beaucoup... Certes, il lui arrive de dire des énormités, mais essayer de ne pas faire de lapsus quand vous enchainez les discours comme il le fait. Enjoy.
Dire qu'il est libre de prendre ses décisions, ça m'étonnerait aussi... Même si ça ne fait pas bien sérieux comme référence, je vous recommande la série 24h qui est peut être ce qui se fait de mieux sur les "dessous du pouvoir", où le Président Palmer qui a tout du "gentil et intelligent" Président se retrouve contraint de se lancer dans la torture, de mentir, et se retrouve face à des choix du type : "on a bien envie que les Etats Unis attaquent tel pays, alors soit on le fait et tu restes en place, soit tu t'y opposes, on détruit ta réputation, ta famille, on te destitue, et on le fait quand même (donc ça ne changera rien) avec un autre politicien verreux qu'on mettra à ta place...".
Je n'aime pas particulièrement George Bush, mais comme le disait notre prof de philo de terminal, "tapper sur George Bush demande autant de courage que de voler une sucette à un bébé".