quel est l'avenir du syndicalisme en France
quel est l'avenir du syndicalisme en France
Quel avenir ont les syndicats en France? Pourquoi sont-ils mal vus? Que pourrait-on faire pour qu'ils reprennent leur place?
Je trouve dommage que le syndicalisme ait perdu son rôle premier : défendre les gens qui travaillent (qu'ils soit patrons, cadres, employés, ouvrier ...).
Ils sont devenus des instruments des partis politiques (UMP ou extrême gauche) et ont parfois oubliés qu'ils devaient non pas conquérir un pouvoir mais défendre une manière de penser l'entreprise ou le travail en général.
D'un autre côté est ce que ces mêmes partis qui les instrumentalisent ne cherchent-ils pas à ce qu'ils s'épuisent?
On trouve que les syndicats "foutent trop de bordel" et pourtant on devient le pays industrialisé le moins syndiqué!!!
Nos amis belges et canadiens (ou suisses) pourraient-ils nous dire comment ça se passe chez eux?
Je trouve dommage que le syndicalisme ait perdu son rôle premier : défendre les gens qui travaillent (qu'ils soit patrons, cadres, employés, ouvrier ...).
Ils sont devenus des instruments des partis politiques (UMP ou extrême gauche) et ont parfois oubliés qu'ils devaient non pas conquérir un pouvoir mais défendre une manière de penser l'entreprise ou le travail en général.
D'un autre côté est ce que ces mêmes partis qui les instrumentalisent ne cherchent-ils pas à ce qu'ils s'épuisent?
On trouve que les syndicats "foutent trop de bordel" et pourtant on devient le pays industrialisé le moins syndiqué!!!
Nos amis belges et canadiens (ou suisses) pourraient-ils nous dire comment ça se passe chez eux?
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le commandant des Marines, "Pappy" Boyington était à la tête d'une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composée de marginaux et d'aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique… On les appelait les brebis galeuses
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Pour moi, si le système syndicale reste dans l'état ou il est actuellement, il est voué à disparaitre c'est certain.
J'ai mis qu'il fallait le reformer, mais pas forcement par des lois.
Comme tu le dis, il faut que les syndicats se desolidarisent des partis politiques. Dans les mains des partis ils ne sont que des instruments et l'opinion publique le sais bien. En plus, dès qu'un gouvernement fait une reforme, les syndicats voient rouge. C'est un peu normal puisqu'ils ne sont pas (toujours)conviés aux débats. Mais d'un autre coté, comment prendre en compte dans une discussion lorsqu'on sait qu'il représente une minorité d'actif.
Donc pour commencer, les syndicats devraient obteniur plus d'adhérent ce qui leur donneraient plus de poids pour discuter de reforme avec le gouvernement et pour parler avec le MEDEF par exemple.
J'ai mis qu'il fallait le reformer, mais pas forcement par des lois.
Comme tu le dis, il faut que les syndicats se desolidarisent des partis politiques. Dans les mains des partis ils ne sont que des instruments et l'opinion publique le sais bien. En plus, dès qu'un gouvernement fait une reforme, les syndicats voient rouge. C'est un peu normal puisqu'ils ne sont pas (toujours)conviés aux débats. Mais d'un autre coté, comment prendre en compte dans une discussion lorsqu'on sait qu'il représente une minorité d'actif.
Donc pour commencer, les syndicats devraient obteniur plus d'adhérent ce qui leur donneraient plus de poids pour discuter de reforme avec le gouvernement et pour parler avec le MEDEF par exemple.
L'acte sexuel est héréditaire. Si vos parents ne l'ont pas fait, vous ne le ferez pas non plus.
http://laubergeespagnole.unblog.fr
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Le problème c'est la manière dont les syndicats fonctionnent en France.
On a gardé notre esprit révolutionnaire.
Ce que l'on fait c'est que l'on descent dans la rue avec banderoles et porte voix pour un oui ou pour un non.
Dès que quelque chose ne va pas, grève et manif.
Ca ne se passe pas comme ça partout...
Et en plus je trouve que pour les causes qui le necessiteraient vraiment, et bien du coup ça décrédibilise tellement que ça passe aussi à la trappe. C'est un peu comme l'histoire de celui qui crie au loup tout le temps... Le jour où il est là, on ne réagit plus aux appells
Sinon, je ne pense qu'ils puissent disparaître, déjà parce que l'on retrouve des organisations où sont reprensentés les syndicats à l'échelle européenne par exemple. Signe de leur importance. Et du fait qu'il reste un acteur majeur.
Mais, sous peine de me répéter, le fonctionnement des syndicats est mauvais.
Une théorie sociologique, montrait que l'on avait aucun intérêt à faire grève au niveau individuel. En effet, si la grève aboutit dans le sens des revendicateurs, alors la mesure touchera tout le monde, et la personne n'ayant pas participé à la grève, n'aura pas de retenue de salaire, elle n'affrontera pas son patron. Et si les revendications n'aboutissent pas, c'est bien que la grève n'a eu que des inconvénients : perte de salaire, mauvaise image face au patron.
Donc si l'on se syndique, c'est dans l'intérêt général.
Cela explique également, que les personnes syndiquées se retrouve surtout dans la fonction publique, où faire grève constitue un "risque" moindre, puisque l'on ne craint pas le licenciement.
Bref, ce que je veux dire, c'est bien que le système à la base n'est pas bon, je n'ai plus les chiffres en tête, et je vais peut être dire une bêtise, mais le taux de syndiqués en France serait aux alentours des 7 %.
Les syndicats représentent seulement 7% et ils se mettent autour de la table pour parler au nom de tous.... Quelle légitimité ?
Néanmoins, de ce point de vue là, ça ne me semble pas vraiment réformable.
En revanche, peut être y aurait il un travail à faire pour changer là façon d'agir des syndicats. Et la mentalité française... On en revient donc toujours à la même chose...
On a gardé notre esprit révolutionnaire.
Ce que l'on fait c'est que l'on descent dans la rue avec banderoles et porte voix pour un oui ou pour un non.
Dès que quelque chose ne va pas, grève et manif.
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Et en plus je trouve que pour les causes qui le necessiteraient vraiment, et bien du coup ça décrédibilise tellement que ça passe aussi à la trappe. C'est un peu comme l'histoire de celui qui crie au loup tout le temps... Le jour où il est là, on ne réagit plus aux appells
Sinon, je ne pense qu'ils puissent disparaître, déjà parce que l'on retrouve des organisations où sont reprensentés les syndicats à l'échelle européenne par exemple. Signe de leur importance. Et du fait qu'il reste un acteur majeur.
Mais, sous peine de me répéter, le fonctionnement des syndicats est mauvais.
Une théorie sociologique, montrait que l'on avait aucun intérêt à faire grève au niveau individuel. En effet, si la grève aboutit dans le sens des revendicateurs, alors la mesure touchera tout le monde, et la personne n'ayant pas participé à la grève, n'aura pas de retenue de salaire, elle n'affrontera pas son patron. Et si les revendications n'aboutissent pas, c'est bien que la grève n'a eu que des inconvénients : perte de salaire, mauvaise image face au patron.
Donc si l'on se syndique, c'est dans l'intérêt général.
Cela explique également, que les personnes syndiquées se retrouve surtout dans la fonction publique, où faire grève constitue un "risque" moindre, puisque l'on ne craint pas le licenciement.
Bref, ce que je veux dire, c'est bien que le système à la base n'est pas bon, je n'ai plus les chiffres en tête, et je vais peut être dire une bêtise, mais le taux de syndiqués en France serait aux alentours des 7 %.
Les syndicats représentent seulement 7% et ils se mettent autour de la table pour parler au nom de tous.... Quelle légitimité ?
Néanmoins, de ce point de vue là, ça ne me semble pas vraiment réformable.
En revanche, peut être y aurait il un travail à faire pour changer là façon d'agir des syndicats. Et la mentalité française... On en revient donc toujours à la même chose...
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous sur la légitimité par rapport au nombre d'adhérents. En effet si vous voulez prendre cet argument, l'UMP, même après la tournée fructueuse des plages de cet été a à peu pret 300 000 adhérents, soit moins de 5% de la population, et pourtant ils ont le pouvoir. Sont-ils moins légitime pour autant?
Le nombre d'adhérent ne doit pas venir en compte (dans la mesure du raisonnable). Combien de personnes ne se syndiquent pas parce qu'elles pensent que ce serait mal vu par leur chef (ou leur direction)? Combien de personnes ne se syndiquent pas parce que leur métier est très peu (voir pas du tout) représenté? Combien de personnes ne se syndiquent pas parce qu'il faudrait payer une carte d'adhérent, participer à des réunions, etc...
C'est ce que j'écrivais dans mon 1er post, on évite les négociations, on fait le forcing pour faire passer son projet de loi. S'il y a manifestation, on balance des "vous voyez la France n'est pas réformable". Si la loi passe quand même, c'est tou bénef. Si la loi ne passe pas, les syndicats sont passés pour des imbéciles qui protestent pour rien et bloquent le pauvre usager.
Dire que les syndicats font grève tout le temps quelle que soit la loi (ou la réforme) n'est pas totalement vrai. Le CNE par exemple est passé. La réforme des 35h aussi (non, c'est une blague).
Non pour redevenir sérieux, le syndicats n'émettent que de faibles protestations lorsqu'une boite (Bosch?) réimpose une heure de plus à ses employés, lorsque le gouvernement permet de réaugmenter le nombre d'heures sup légales.
Personnellement, je trouve que le problème des syndicats vient du fait qu'on les a globalisés au niveau français (voir maintenant européen?).
Ils se retrouvent très loin des particularités de chaque corps de métiers. Certains métiers sont "lâchement" abandonnés au profit de quelques groupes de travailleurs.
Je pense qu'un solution serait de faire presque autant de syndicat qu'il y a de profession
Le nombre d'adhérent ne doit pas venir en compte (dans la mesure du raisonnable). Combien de personnes ne se syndiquent pas parce qu'elles pensent que ce serait mal vu par leur chef (ou leur direction)? Combien de personnes ne se syndiquent pas parce que leur métier est très peu (voir pas du tout) représenté? Combien de personnes ne se syndiquent pas parce qu'il faudrait payer une carte d'adhérent, participer à des réunions, etc...
Est-ce que ce n'est pas voulu par le gouvernement? Si on prend par exemple les manifestations contre le CPE. Que se serait-il passé si les syndicats avaient simplement protestés sans manifestations (qui ont quand même rassemblées entre 1 et 3 millions de personnes, ce qui n'est pas rien, on avait pas vu ça depuis 20 ans)? La réforme serait passée.Dès que quelque chose ne va pas, grève et manif.
Ca ne se passe pas comme ça partout...
C'est ce que j'écrivais dans mon 1er post, on évite les négociations, on fait le forcing pour faire passer son projet de loi. S'il y a manifestation, on balance des "vous voyez la France n'est pas réformable". Si la loi passe quand même, c'est tou bénef. Si la loi ne passe pas, les syndicats sont passés pour des imbéciles qui protestent pour rien et bloquent le pauvre usager.
Dire que les syndicats font grève tout le temps quelle que soit la loi (ou la réforme) n'est pas totalement vrai. Le CNE par exemple est passé. La réforme des 35h aussi (non, c'est une blague).
Non pour redevenir sérieux, le syndicats n'émettent que de faibles protestations lorsqu'une boite (Bosch?) réimpose une heure de plus à ses employés, lorsque le gouvernement permet de réaugmenter le nombre d'heures sup légales.
Personnellement, je trouve que le problème des syndicats vient du fait qu'on les a globalisés au niveau français (voir maintenant européen?).
Ils se retrouvent très loin des particularités de chaque corps de métiers. Certains métiers sont "lâchement" abandonnés au profit de quelques groupes de travailleurs.
Je pense qu'un solution serait de faire presque autant de syndicat qu'il y a de profession
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le commandant des Marines, "Pappy" Boyington était à la tête d'une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composée de marginaux et d'aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique… On les appelait les brebis galeuses
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- Ouvrière baroudeuse
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En fait quand je parlais de taux de syndicalisation, je penser à l'exemple des pays sacndinave. En effet, la suède, la finlande et le danemark on un taux de syndicalisation proche de 80%. C'est l'opposée de la France.
Et là, je pense que le taux de syndicalisation prend un sens. Quand 80% des actifs sont syndiqués, les syndicats sont de suite plus crédible. C'est le cas dans les pays que j'azi cité plus haut. Et puis, ils sont aussi beaucoup plus souple au niveau du ci*ode du travail (dailleur, je ne sais meme pas si ils savent ce que c'est). Le problème des français est qu'il sont frileux en ce qui concerne les réformes.
Si on conferait plus de liberté à l'entreprise et aux salariés pour négocier les contrats de travail, je pense que les yndicats prendrait un peu plus d'ampleur. Mais le jour ou on pourra assouplir le code du travail, les poules auront des dents et on mangera les pissenlits par la racine!
Et là, je pense que le taux de syndicalisation prend un sens. Quand 80% des actifs sont syndiqués, les syndicats sont de suite plus crédible. C'est le cas dans les pays que j'azi cité plus haut. Et puis, ils sont aussi beaucoup plus souple au niveau du ci*ode du travail (dailleur, je ne sais meme pas si ils savent ce que c'est). Le problème des français est qu'il sont frileux en ce qui concerne les réformes.
Si on conferait plus de liberté à l'entreprise et aux salariés pour négocier les contrats de travail, je pense que les yndicats prendrait un peu plus d'ampleur. Mais le jour ou on pourra assouplir le code du travail, les poules auront des dents et on mangera les pissenlits par la racine!
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je pense que le syndicalisme ne devrait même pas exister sous sa forme actuelle. d'abord parce qu'il parle au nom de tous alors qu'il représente une minorité (8% seulement !!!)
ensuite parce que vu qu'ils sont politisés à fond (et surtout de gauche) ils ne cherchent pas à avancer mais seulement à tout bloquer. En plus ils ont pas de bonnes idées...
par exemple : plutot que de bloquer les trains à la sncf et de faire chier tout les usagers, s'ils les laisser passer gratuitement les grèves seraint bien plus courtes !!
ensuite parce que vu qu'ils sont politisés à fond (et surtout de gauche) ils ne cherchent pas à avancer mais seulement à tout bloquer. En plus ils ont pas de bonnes idées...
par exemple : plutot que de bloquer les trains à la sncf et de faire chier tout les usagers, s'ils les laisser passer gratuitement les grèves seraint bien plus courtes !!
Quand il y a des grèves de ce genre c'est la SNCF qui bloque les trains. Le meilleur exemple : grève de contrôleur=train bloqué (pourquoi, c'est pas eux qui conduisent?).plutot que de bloquer les trains à la sncf et de faire chier tout les usagers, s'ils les laisser passer gratuitement les grèves seraint bien plus courtes !!
des exemples??? sinon c'est un peu gratuit comme remarque. Et je te rappelle que dans syndicat il n'y a pas que salariés, il y a des syndicats patronaux...En plus ils ont pas de bonnes idées...
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- Nymphe des bois
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Alors là , va faloir quel'on m'explique ......1975 : France 5ème puissance mondiale.
2006 : France 17ème puissance mondiale.
Tu est en train de dire que cette chute de 12 place dans le hit parade des puissances mondiales est due aux syndicats ?????
Et puis même , qu'est ce que ça change que l'on soit 17eme au lieu de 5eme ? Quelqu'un pourrait répondre à cette question ?
...... alors ça c'est brillant comme affirmation !de toutes facon, en france, on est toujours bloque par une minorite de personnes...
" bloquer " ? Mais bloquer de quoi ??????
Pourrais tu un peu argumenter ton affirmation ?
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- Soldate farouche
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- Enregistré le : jeu. juil. 07, 2005 8:44 pm
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ouh là ! dangereux se raisonnement là ! pourquoi ne pas descendre encore un peu plus alors dans les dates et prendre la France Coloniale ou encore la France bonapartiste (a ce moment là on était pas loin de la premiere place...)Eriol Ristéa Vassili a écrit :1975 : France 5ème puissance mondiale.des exemples???
2006 : France 17ème puissance mondiale.
De plus le raisonnement et absurde puisque dans ce debat en rapport avec le syndicalisme, si l'on prend ces deux dates, les syndicats ont perdus beaucoup de syndiqués (les syndicats étaient bien plus fort et représentatif en 1975 qu'en 2006...)
exact, que ce soit le gouvernement ou les syndicats, ce sera toujours une représentation d'une minorite de personne par rapport a la globalité des habitants français...Bomberman a écrit :de toutes facon, en france, on est toujours bloque par une minorite de personnes...
Comme on est, on voit les autres...
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- Soldate farouche
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- Nymphe des bois
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Compétitivité
Productivité
Pour ceux qui l'oublie, le PIB c'est le total des ressources de production et d'achat... Le PNB c'est le total des investissement étrangé ajouté.
http://fr.wikipedia.org/wiki/PIB
Investissement
http://fr.wikipedia.org/wiki/Produit_National_Brut
***Ajout :***
Les syndicats ne sont pas seuls responsables, mais disons que c'est la goute d'eau - celle qui fait mettre en grêve tout les employé du public alors que la dettes encombre, et fait ainsi, monter la somme des taxes du privée, effet de compensation indirecte. -
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ficit
http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndicat_professionnel
Je ne critique pas les syndicats, je critique l'orgueil, on ne demande pas des avantages sociaux à un état en perte grave... Il faut quand même savoir faire la part entre le moment où l'on peu et le moment où l'on ne peu pas.
Je me permet de noter que le service public tel que la poste, la RATP et la SNCF permettes par leur revenu de combler la dette, donc, chaque grêve la fait aussi grimpé... Sans oublier que ce sont des services ! Leurs pertes fait inévitablement échos aux entreprises !
http://fr.wikipedia.org/wiki/RATP
Chaque grêve équivaux donc à une perte net, qui ne peut être remoursé que par le double du travail perdu...
Ne pensez pas que la dette, les charges social - et donc les syndicats qui y veilles -, ne soit pas, ne serait ce qu'un peu lier.
Mais il est vrai que mon message est très peu explicite... Au moins il aura le mérite de faire réagir un peu !
Ps : désolé si quelqu'un à pu être choqué par cet étrange comparaisons, mais l'économie française, comme toute les autres, ce n'est pas une maison dans un immeuble, avec des murs et une délimitation précise, mais une cathédrales d'élements liers : un seul descent, les autres sont forcé de compenser en retour...
Bon, j'ai quelques autres choses à faires, consultez les documents, rien ne vous interdits de tirer d'autres conclusions des informations, c'est là la base de la liberté !
http://management.journaldunet.com/repe ... avos.shtmlLa France moins compétitive en 2006
Le classement du Forum Economique Mondial consacre la Suisse, la Finlande et la Suède pour la compétitivité de leur économie. La France recule de 6 places pour se classer 18ème. (04/10/2006)
La France fait partie des vingt économies les plus compétitives du monde, selon le classement établi par le Forum Economique Mondial. Seul hic, le pays a perdu six places par rapport à 2005. Selon l'économiste responsable du rapport, Augusto Lopez-Claros, "rien ne s'oppose à ce que la France accède au top 10 à plus ou moins brève échéance." Et parmi les critères à améliorer, sont mis en avant le manque de flexibilité du marché de l'emploi, l'importance du déficit public, la bureaucratie et les faibles budgets accordés à l'enseignement supérieur.
Le top 10 est dominé pour la première fois par la Suisse, suivie des pays nordiques (Finlande, Suède et Danemark). Les Etats-Unis y accusent le plus gros déclassement avec une perte de 5 places, passant ainsi de la première à la sixième position.
Par ailleurs, on pourra noter les fortes progressions d'Israël (15e), de la Tunisie (30e) et de la Norvège (12e), qui gagnent respectivement 8, 7 et 5 places. En trentième position, la Tunisie est le premier pays du continent africain non loin du Chili (27e), leader sud-américain.
Productivité
http://fr.wikipedia.org/wiki/France#.C3.89conomieToutefois, son rang européen pour le PIB par habitant n'est que 9e sur 25 d'après Eurostat (17e à l'échelle mondiale), l'organe officiel des statistiques européennes.
Pour ceux qui l'oublie, le PIB c'est le total des ressources de production et d'achat... Le PNB c'est le total des investissement étrangé ajouté.
http://fr.wikipedia.org/wiki/PIB
Investissement
http://fr.wikipedia.org/wiki/Produit_National_Brut
***Ajout :***
Changement des indices de prix à la hausse, pertes d'investissement étrangé, chômage et délocalisation. Je pense que le quotidien fournis les exemples.Et puis même , qu'est ce que ça change que l'on soit 17eme au lieu de 5eme ? Quelqu'un pourrait répondre à cette question ?
Les syndicats ne sont pas seuls responsables, mais disons que c'est la goute d'eau - celle qui fait mettre en grêve tout les employé du public alors que la dettes encombre, et fait ainsi, monter la somme des taxes du privée, effet de compensation indirecte. -
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ficit
http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndicat_professionnel
Je ne critique pas les syndicats, je critique l'orgueil, on ne demande pas des avantages sociaux à un état en perte grave... Il faut quand même savoir faire la part entre le moment où l'on peu et le moment où l'on ne peu pas.
Je me permet de noter que le service public tel que la poste, la RATP et la SNCF permettes par leur revenu de combler la dette, donc, chaque grêve la fait aussi grimpé... Sans oublier que ce sont des services ! Leurs pertes fait inévitablement échos aux entreprises !
http://fr.wikipedia.org/wiki/RATP
Il est à noter, que la dette est compenser sur les taxes, sur les taxes petrolières et particulières - impôts -.Un des grands problèmes relevé par les usagers du réseau, aujourd'hui, est celui des grèves récurrentes des agents de cette compagnie. Plusieurs fois par an, le métro est entièrement ou partiellement bloqué, ce qui augmente à chaque fois un peu plus l'exaspération des usagers. Cependant, depuis la mise en place d'un mécanisme dit "d'alarme sociale", le nombre de grèves a significativement diminué. En 2001, on comptait ainsi 0.2 jour de grève par salarié et par an, soit cinq fois moins qu'au début des années 90 [1]. Cependant, ce problème remet en cause l'économie et la productivité de la région Île-de-France en étant un frein considérable tant la population francilienne dépend de la RATP. Il est à noter que la notion de service minimum n'est toujours pas acceptée par les syndicats et que les personnes utilisant ce service ne sont pas considérées comme des clients, mais comme des usagers. Cette différenciation sémantique s'enracine dans la notion de service public qu'est censée apporter la RATP.
Chaque grêve équivaux donc à une perte net, qui ne peut être remoursé que par le double du travail perdu...
Ne pensez pas que la dette, les charges social - et donc les syndicats qui y veilles -, ne soit pas, ne serait ce qu'un peu lier.
Mais il est vrai que mon message est très peu explicite... Au moins il aura le mérite de faire réagir un peu !
Ps : désolé si quelqu'un à pu être choqué par cet étrange comparaisons, mais l'économie française, comme toute les autres, ce n'est pas une maison dans un immeuble, avec des murs et une délimitation précise, mais une cathédrales d'élements liers : un seul descent, les autres sont forcé de compenser en retour...
Bon, j'ai quelques autres choses à faires, consultez les documents, rien ne vous interdits de tirer d'autres conclusions des informations, c'est là la base de la liberté !
Connaissance, vertus d'humanité, bonté et honneur.
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- Soldate farouche
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A part de dire que les syndicats, et donc les syndiqués (représentant un peu plus de 8 % des travailleurs français) sont les unique et seul responsable de la flexibilité du marché de l'emploi et de la dette publique, je ne vois pas le rapport avec le syndicalisme...Eriol Ristéa Vassili a écrit :La France fait partie des vingt économies les plus compétitives du monde, selon le classement établi par le Forum Economique Mondial. Seul hic, le pays a perdu six places par rapport à 2005. Selon l'économiste responsable du rapport, Augusto Lopez-Claros, "rien ne s'oppose à ce que la France accède au top 10 à plus ou moins brève échéance." Et parmi les critères à améliorer, sont mis en avant le manque de flexibilité du marché de l'emploi, l'importance du déficit public, la bureaucratie et les faibles budgets accordés à l'enseignement supérieur.
alors là c'est carrement un contre argument de ce que tu avances, puisque ces pays sont pratiquement syndicalisé a 100 %, donc bien une preuve que les syndicats ne sont pas les responsables, et au contraire ne serait ce pas le manque de syndicalisme en France qui enmene cette situation en économie ?Eriol Ristéa Vassili a écrit :Le top 10 est dominé pour la première fois par la Suisse, suivie des pays nordiques (Finlande, Suède et Danemark).
En faisant un raisonnement bête, et en prenant donc la suisse, etc...en exemple concernant leur économie pour donc remonter en tête de ce classement, ce qui nous différencie le plus, est manifestement le nombre de syndiqués...
Je reviens de Finlande...ou la situation est trés proche économiquement de celle de la France (hausse des prix, délocalisation et chomage), cela aussi serait un peu facile de penser que si l'on est dans les 5 premiers d'un classement, l'on n'a pas les problemes de ce qui sont en dessous de nous...Eriol Ristéa Vassili a écrit :lynx a écrit :Et puis même , qu'est ce que ça change que l'on soit 17eme au lieu de 5eme ? Quelqu'un pourrait répondre à cette question ?
Changement des indices de prix à la hausse, pertes d'investissement étrangé, chômage et délocalisation. Je pense que le quotidien fournis les exemples.
Que je sache ce classement n'offre pas un épurement de la dette publique si l'on est premier...
Donc en gros ce classement sert pour moi a jouer les coqs chauvins, avec l'économie a la place du foot...(chacun s'amuse avec ce qu'il veut).
Bon si c'est une "goutte d'eau", c'est bien que d'autres problemes sont des torrents ?Eriol Ristéa Vassili a écrit :Les syndicats ne sont pas seuls responsables, mais disons que c'est la goute d'eau - celle qui fait mettre en grêve tout les employé du public alors que la dettes encombre, et fait ainsi, monter la somme des taxes du privée, effet de compensation indirecte. -
Il est effectivement plus facile de détourner, une goutte d'eau qu'un torrent...mais il est peut etre plus utile, pour ne pas etre innondé, de détourner le torrent ? non ?
Montre moi une seule demande d'avantages sociaux supplémentaires actuellement, a part les pompiers...Eriol Ristéa Vassili a écrit :Je ne critique pas les syndicats, je critique l'orgueil, on ne demande pas des avantages sociaux à un état en perte grave...
Actuellement le combat se porte sur : ne pas perdre d'acquis sociaux, et non pas en acquérir des supplémentaires...
En prenant en fait qu'une demande d'augmentation de salaire n'est pas un avantage social pur...
Etat en perte grave ?
explicite moi...
De plus les exemples que tu montres plus haut, sont des classements, donc en rapport direct avec une sorte d'orgueil...
Alors que décidement je ne vois pas le rapport entre orgueil et syndicalisme en France.
Comme on est, on voit les autres...
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- Nymphe des bois
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A part de dire que les syndicats, et donc les syndiqués (représentant un peu plus de 8 % des travailleurs français) sont les unique et seul responsable de la flexibilité du marché de l'emploi et de la dette publique, je ne vois pas le rapport avec le syndicalisme...
Les syndicats ne sont pas seuls responsables, mais disons que c'est la goute d'eau - celle qui fait mettre en grêve tout les employé du public alors que la dettes encombre, et fait ainsi, monter la somme des taxes du privée, effet de compensation indirecte. -
exact, c'est ce que je dit. Un accident à toujours plusieurs cause !Bon si c'est une "goutte d'eau", c'est bien que d'autres problemes sont des torrents ?
Cela n'a pas réelement de rapport en fait... Les classements sont utilisé par les investisseurs et les entreprenneurs. Les cours de la bourses sont calculé sur la base des chiffres données. C'est autre chose que du foot, c'est la vie de 6 milliard de personnes en petits chiffres rond !Donc en gros ce classement sert pour moi a jouer les coqs chauvins, avec l'économie a la place du foot...(chacun s'amuse avec ce qu'il veut).
En effet, je trouve juste légèrement ridicule de demander une aide sociale suplémentaire à la sécu qui est en perte...Il est effectivement plus facile de détourner, une goutte d'eau qu'un torrent...mais il est peut etre plus utile, pour ne pas etre innondé, de détourner le torrent ? non ?
Le meilleur moyen serait effectivement de permettre une liberté supplémentaire aux entreprise, y compris, si nécessaire en sacrifiant des avantages sociaux... - temporairement -
En fait c'est précisement le problème, comment être compétitif en travaillant moins et en gagnant plus ? Question que des milliers d'économistes ont posés...Montre moi une seule demande d'avantages sociaux supplémentaires actuellement, a part les pompiers...
Actuellement le combat se porte sur : ne pas perdre d'acquis sociaux, et non pas en acquérir des supplémentaires...
En prenant en fait qu'une demande d'augmentation de salaire n'est pas un avantage social pur...
Justement c'est l'inverse, le classement est établie selon la bourse même. Si un Etat ralenti, c'est tout ce qui le compose qui est pris en compte, c'est un calcul long :explicite moi...
De plus les exemples que tu montres plus haut, sont des classements, donc en rapport direct avec une sorte d'orgueil...
Le calcul des inflations, deflations, ventes - achat, investissement, politique sociale, politique économique, politique diplomatique et culturel...
C'est un calcul monstrueux qui doit être effectué. Personnelement, je ne peu pas le faire...
Je pense que vous comprendrez...
Bien évidement, un pays très efficace dans un domaine ne le verra pas valorisé si 10 autres sont en pertes... Par effet de compensation.
Ce n'est pas très clair, mais il est à noter que les pays en question ont une politique fiscale sévère mais légère pour les entreprises, l'investissement étrangé est plus fort, de plus la chasse au gaspillage y est presque sport national !Je reviens de Finlande...ou la situation est trés proche économiquement de celle de la France (hausse des prix, délocalisation et chomage), cela aussi serait un peu facile de penser que si l'on est dans les 5 premiers d'un classement, l'on n'a pas les problemes de ce qui sont en dessous de nous...
Que je sache ce classement n'offre pas un épurement de la dette publique si l'on est premier...
Cela ne change pas le problème de tout l'occident : La Chine payes ses employés 110 € et fond 90 H de travail semaine... Personne en Europe ne peut y resister...
Oui exact, c'est pour ça que je précisais le syndicalisme français. La différence est que, en France, le syndicat joue le big boss...alors là c'est carrement un contre argument de ce que tu avances, puisque ces pays sont pratiquement syndicalisé a 100 %, donc bien une preuve que les syndicats ne sont pas les responsables, et au contraire ne serait ce pas le manque de syndicalisme en France qui enmene cette situation en économie ?
Oui c'est un bon raisonnement, mais attention, la manière de faire est importante aussi.ce qui nous différencie le plus, est manifestement le nombre de syndiqués...
C'est un tout, personnelement, je pense que c'est la façon dont les syndicats fonctionnent qu'il faut retravailler... C'est la seule critique que je formule réellement. Les autres sont parfaitements conciliables avec une politique de production.
Mais il reste un dangereux concurant : La Chine.
80% des produits manufacturé du monde, 1er producteur de produit céréalier, futur premiers consomateur de pétrole...
Un chinois n'ai payer que 210 € mois. - ce qui est un très bon salaire pour lui, il peut manger, se loger, acheter des vêtements et aller au restaurant... Le must pour un pays ayant vecu 1000 ans la famine et la pauvreté... -
Bref. Ce qu'il faut discuté ce n'est pas si oui ou non un syndicat importe. C'est comment. Le reste c'est ce que vous pensez qui détermine...
- si une faute vous saute aux yeux, vous pourriez me le noter s'il vous plait, mici -
***Ajout :***
- Raaa c'est pas possible, comment avoir l'air sérieux avec une orthographe aussi merdique... On vas me prendre pour un fou mégalo ! -
Connaissance, vertus d'humanité, bonté et honneur.
Justement comment???C'est un tout, personnelement, je pense que c'est la façon dont les syndicats fonctionnent qu'il faut retravailler...
Elle est bien là la question et non pas de savoir si c'est la faute aux syndicats si on est moins bien classé aujourd'hui qu'avant.
Comment s'y prennent les autres pays pour avoir plus de syndiqués et moins de problème? Est-ce que ce n'est pas du fait du dialogue qui s'instaure avant toute prise de décision?
C'est un exemple de mauvaise idée ça?bomberman :En plus ils ont pas de bonnes idées...
boz :des exemples???
Eriol Ristéa Vassili : 1975 : France 5ème puissance mondiale.2006 : France 17ème puissance mondiale.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le commandant des Marines, "Pappy" Boyington était à la tête d'une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composée de marginaux et d'aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique… On les appelait les brebis galeuses
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- Nymphe des bois
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- Enregistré le : ven. déc. 01, 2006 8:44 pm
En fait, actuelement, les syndicats pensent encore comme en 1969, et surtout, ils ne veulent pas égratigné un centième de nanomètre d'acquis sociaux... C'est un dialogue de sourd, moi, j'ai peu confiance en eux, je ne suis donc pas très objectif.Justement comment???
Elle est bien là la question et non pas de savoir si c'est la faute aux syndicats si on est moins bien classé aujourd'hui qu'avant.
Comment s'y prennent les autres pays pour avoir plus de syndiqués et moins de problème? Est-ce que ce n'est pas du fait du dialogue qui s'instaure avant toute prise de décision?
Mais le syndicat n'est il pas, à la base, conçu pour réussir à lier l'intérêt commun et l'intérêt économique ?
Nan juste un accélérateur de débat. Les gens ont tendance à plus rechercher des contres exemples à des éléments absurdes, qu'à des choses qui sembles s'ajouté au reste...C'est un exemple de mauvaise idée ça?
Enfin c'est une idée...
Enfin, je pense que c'est un tout : dette publique, politique syndicales et économiques...
Connaissance, vertus d'humanité, bonté et honneur.
Non plutôt l'intérêt particulier d'un groupe de personne même si c'est au détriment d'autres ou de l'économie. Et ce que ce soit un syndicat patronal ou un syndicat de travailleurs.Mais le syndicat n'est il pas, à la base, conçu pour réussir à lier l'intérêt commun et l'intérêt économique ?
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le commandant des Marines, "Pappy" Boyington était à la tête d'une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composée de marginaux et d'aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique… On les appelait les brebis galeuses