La Sokka Gakkai est elle une secte ?
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- Oeuf éclos
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La Sokka Gakkai est elle une secte ?
La Sokka Gakkai est elle une secte ?
Pas de le sens secare (du latin couper) qui donc s'est couper du mouvement original (le bouddhisme) .
Mais dans le sens utilisé par les médias (où les dirigeants n'ont pour but que de faire du profit) .
Mes parents sont Bouddhistes et ils faisaient parti d'une "ramification " de la Sokka Gakkai en Belgique. Et je n'ai jamais vu de ce certain média disent (adoration de M. Ikeda , ...)
Serait-ce juste au Japon qu'elle serait une secte?
Pas de le sens secare (du latin couper) qui donc s'est couper du mouvement original (le bouddhisme) .
Mais dans le sens utilisé par les médias (où les dirigeants n'ont pour but que de faire du profit) .
Mes parents sont Bouddhistes et ils faisaient parti d'une "ramification " de la Sokka Gakkai en Belgique. Et je n'ai jamais vu de ce certain média disent (adoration de M. Ikeda , ...)
Serait-ce juste au Japon qu'elle serait une secte?
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- Fourmi éleveuse
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je ne pense pas que "secte" soit le mot approprié pour parler des religions... une secte implique un échange d'argent.
C'est pour ça qu' Amma (une indienne qui passe des journées entière à prendre des gens dans ses bras) n'est pas considérée comme gourou de secte par exemple. Mais elle se définie comme étant un gourou.
Les religions ne sont que des croyances qui utilisent des symboles...apres on adhere ou pas, mais du moment qu'il n'ya pas d'argent en jeu ce ne sont pas des sectes
C'est pour ça qu' Amma (une indienne qui passe des journées entière à prendre des gens dans ses bras) n'est pas considérée comme gourou de secte par exemple. Mais elle se définie comme étant un gourou.
Les religions ne sont que des croyances qui utilisent des symboles...apres on adhere ou pas, mais du moment qu'il n'ya pas d'argent en jeu ce ne sont pas des sectes
Modifié en dernier par seilala le dim. févr. 19, 2006 10:43 pm, modifié 1 fois.
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- Soldate farouche
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- Larve filiforme
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Avec plaisir :
SGI : Soka Gakkai International
. Elle est plus connue pour ses activités financières et son infiltration dans la politique que pour ses pratiques spirituelles.
. Ses membres, parfois fanatiques, considerent etre les seuls à posseder la "vérité ultime" et, qu'à l'exception du sutra du lotus, les autres enseignements du bouddha sont provisoires et doivent etre rejetés.
. Il s'agit de la plus importante secte mondiale, elle compte 8 millions d'adeptes au Japon et 2 millions hors de ce pays.
. La Soka Gakkai n'est pas reconnue par l'UBF ( Union Bouddhiste de France ).
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La Soka Gakkaï n'est pas une religion, mais une secte de 10 millions d'adhérents environ (8 au Japon, 2 dans les 127 pays restants où elle est implantée). C'est même la secte la plus importante au monde, non seulement par l'effectif de ses adhérents, mais aussi par ses richesses (entre 500 et 700 milliards de francs) .
Créée dans les années 30 comme branche laïque d'une Ecole bouddhique fondée au XIII ème siècle, elle s'en est approprié la doctrine, qu'elle a pervertie en la politisant, les objets rituels et les lieux sacrés.
Au Japon ,elle dispose d'un parti politique le Komeito, a infiltré de longue date la bureaucratie, les milieux juridiques, la police des grandes villes, et a créé des réseaux secrets au Japon et à l'étranger. L'ambition de son leader, M. Ikeda, est de devenir le centre de gravité de l'échiquier politique nippon.
Elle dispose de toute une nébuleuse de centres de recherche, musées, associations culturelles, revues, journaux etc... qui donnent une image positive de la secte à l'étranger et servent de vecteurs pour pénétrer les milieux les plus fermés. Certaines de ces structures fonctionnent comme des réseaux de renseignement.
Toutes ces caractéristiques, malgré un "emballage" bouddhiste, sophistiqué mais facile à démonter, jointes à un culte de la personnalité au profit du gourou, à son objectif de prendre le pouvoir et à d'autres dérives, sont très éloignées des caractéristiques des écoles bouddhistes classiques et font tomber cette organisation dans la catégorie des sectes et non dans celle des religions.
Les journalistes nippons ne s'y sont d'ailleurs pas trompés et certains hommes politiques, intellectuels , et religieux nippons demandent à ce qu'elle perde son statut d'organisation cultuelle, ce qui n'a pas été obtenu, jusqu'à présent, à cause des complicités dont bénéficie la secte et à cause de la spécificité des rapports entre politique et religion au Japon. La secte est perçue au Japon comme un "Etat dans l'Etat" et un tabou, et inquiète beaucoup le Japonais moyen.
Cconcrètement, les dangers pour les adeptes de base sont ceux d'une déréalisation, c'est-à-dire d'une substitution, à l'observation de faits, d'une grille d'interprétation pré-rédigée. C'est aussi le risque d'une manipulation au profit d'enjeux politiques ou de destabilisation dont les adeptes de base n'ont pas idée et qui n'ont rien de spirituel. Les adeptes sont ainsi sollicités pour relayer des activités en faveur de la "paix mondiale" et de la "dénucléarisation", objectifs apparemment louables, mais qui s'inscrivent dans le cadre de la stratégie de conquête du pouvoir menée par la secte.
Dans la majeure partie des cas, l'enseignement de la Soka Gakkaï et l'appartenance à cette secte fonctionnent comme un substitut à des traitements psychiatriques ou à des psychothérapies, et comme un compensateur social. La plupart des réunions de quartier auxquelles j'ai assisté sont à mi-chemin entre la psychothérapie de groupe et le point mensuel à l'ANPE, ce qui a peu de liens avec une démarche spirituelle. L'objectif des adeptes est d'obtenir, par la pratique, la réalisation de désirs purement matériels, ce qui réintroduit un raisonnement de type "magique" au sein d'une démarche qui se veut "rationelle" et "logique". Tous les événements de la vie sont ainsi soumis à une "dictature des résultats" (les résultats matériels de la pratique "spirituelle") qui conduit, tôt ou tard, à une déréalisation. En effet, lorsque l'adepte n'obtient pas les résultats escomptés, on le culpabilise en lui disant qu'il n'a pas bien pratiqué. La pression exercée avec cet argument culpabilisant devient si insupportable que l'adepte en vient à nier l'échec et à s'auto-persuader que la pratique lui apporte -ou va lui apporter- tout ce qu'il souhaite, que ce serait "pire" sans la pratique. Il y a donc installation d'une dépendance au profit de la secte.
Conditionnés à accepter une vision du monde élaborée par la secte, les adeptes sont aussi conditionnés pour une soumission maximale (ne pas poser de questions dérangeantes, ne pas "douter",ce qui est pourtant un élémént majeur de l'ascèse spirituelle) qui en fait des objets et non des sujets.
Cette soumission conduisant aussi, peu à peu, par un jeu de récompenses (nouvelles responsabilité, valorisation par la hiérarchie), à ne plus fréquenter que des adeptes ou des personnes non critiques, donc à éliminer les opinions contraires ou seulement extérieures. Ce sont ainsi toutes les fréquenta- tions des adeptes qui changent au fil du temps.
Cette soumission se caractérise aussi par une prise de possession, par la secte, de l' espace-temps des adeptes. Ceux-ci, au-delà de la pratique quotidienne assez longue qui leur est imposée, sont en effet sollicités pour des activités collectives multiples, d'autant que le système a des appartenances multiples, à des réunions de quartier, mais aussi à des organisations socio-professionnelles (les membres sont regroupés par quartier, mais aussi par catégories socio-professionnelles), à des départements par sexe ( orgnisations féminines et masculines) et même par tranches d'âge , en vient à absorber tout leur temps libre. Parfois même, les supérieurs hiérarchiques des adeptes en viennent à réaménager leur décoration intérieure autour des objets de culte, se substituant ainsi à leur libre-arbitre.
Concernant des enfants, le conditionnement effectué dès les premières années peut entraîner des conséquences dramatiques, en façonnant leur personnalité dans un contexte "exclusif" où toutes les références extérieures sont supprimées ou dévalorisées a priori. Or, il faut savoir que l'une des premières directives données aux nouveaux adeptes est de convertir leur famille, de façon aussi à neutraliser toute influence extérieure.Il faut donc se montrer très vigilant en ce qui concerne des enfants, auxquels il est difficile de mettre en oeuvre des mécanismes de résistance ou de refus.
Ce type d'organisation, au terme d'années de recherche menées en japonais, en français et en anglais, et au terme de 7 ans de vie au Japon, dont 3 ans à l'Université de Tôkyô comme chercheur invitée, qui m'ont permis de décryter les arrière-plans sociologiques, politiques, culturels et stratégiques, m'apparaît clairement présenter les caractéristiques d'une secte, d'un nouveau type. Une secte planétaire et géopolitique dont les ambitions de pouvoir lui font traiter ses adeptes comme de simples pions au service d'objectifs de pouvoir et non d'objectifs spirituels.
Il faut, en tous les cas, lutter contre l'amalgame fait entre religion et secte dans le sens où la Soka profite de cet amalgame,dans l'espoir d'obtenir qualificatif de "nouvelle religion" or elle est une secte ! il n'y a aucun doute là-dessus!
***Ajout :***
Mais pour moi, je continue à dire que toutes les religions sont des sectes en puissance. Le vatican n'est il pas l'un des état les plus riches au monde ?
Ce genre d'abhérration devrait être réprimé très profondément mais trop de capitaux sont en jeux malheureusement. Nous ne pouvons qu'être très prudent et très lucide sur ce genre de "rassemblement" de personnes mené par des comptables très convaincants mais qui ne font que s'enrichir sur le dos de pauvres âmes qui pensent trouver le nirvana.
Vous comprendrez alors que je suis agnostique tendance athée.
SGI : Soka Gakkai International
. Elle est plus connue pour ses activités financières et son infiltration dans la politique que pour ses pratiques spirituelles.
. Ses membres, parfois fanatiques, considerent etre les seuls à posseder la "vérité ultime" et, qu'à l'exception du sutra du lotus, les autres enseignements du bouddha sont provisoires et doivent etre rejetés.
. Il s'agit de la plus importante secte mondiale, elle compte 8 millions d'adeptes au Japon et 2 millions hors de ce pays.
. La Soka Gakkai n'est pas reconnue par l'UBF ( Union Bouddhiste de France ).
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La Soka Gakkaï n'est pas une religion, mais une secte de 10 millions d'adhérents environ (8 au Japon, 2 dans les 127 pays restants où elle est implantée). C'est même la secte la plus importante au monde, non seulement par l'effectif de ses adhérents, mais aussi par ses richesses (entre 500 et 700 milliards de francs) .
Créée dans les années 30 comme branche laïque d'une Ecole bouddhique fondée au XIII ème siècle, elle s'en est approprié la doctrine, qu'elle a pervertie en la politisant, les objets rituels et les lieux sacrés.
Au Japon ,elle dispose d'un parti politique le Komeito, a infiltré de longue date la bureaucratie, les milieux juridiques, la police des grandes villes, et a créé des réseaux secrets au Japon et à l'étranger. L'ambition de son leader, M. Ikeda, est de devenir le centre de gravité de l'échiquier politique nippon.
Elle dispose de toute une nébuleuse de centres de recherche, musées, associations culturelles, revues, journaux etc... qui donnent une image positive de la secte à l'étranger et servent de vecteurs pour pénétrer les milieux les plus fermés. Certaines de ces structures fonctionnent comme des réseaux de renseignement.
Toutes ces caractéristiques, malgré un "emballage" bouddhiste, sophistiqué mais facile à démonter, jointes à un culte de la personnalité au profit du gourou, à son objectif de prendre le pouvoir et à d'autres dérives, sont très éloignées des caractéristiques des écoles bouddhistes classiques et font tomber cette organisation dans la catégorie des sectes et non dans celle des religions.
Les journalistes nippons ne s'y sont d'ailleurs pas trompés et certains hommes politiques, intellectuels , et religieux nippons demandent à ce qu'elle perde son statut d'organisation cultuelle, ce qui n'a pas été obtenu, jusqu'à présent, à cause des complicités dont bénéficie la secte et à cause de la spécificité des rapports entre politique et religion au Japon. La secte est perçue au Japon comme un "Etat dans l'Etat" et un tabou, et inquiète beaucoup le Japonais moyen.
Cconcrètement, les dangers pour les adeptes de base sont ceux d'une déréalisation, c'est-à-dire d'une substitution, à l'observation de faits, d'une grille d'interprétation pré-rédigée. C'est aussi le risque d'une manipulation au profit d'enjeux politiques ou de destabilisation dont les adeptes de base n'ont pas idée et qui n'ont rien de spirituel. Les adeptes sont ainsi sollicités pour relayer des activités en faveur de la "paix mondiale" et de la "dénucléarisation", objectifs apparemment louables, mais qui s'inscrivent dans le cadre de la stratégie de conquête du pouvoir menée par la secte.
Dans la majeure partie des cas, l'enseignement de la Soka Gakkaï et l'appartenance à cette secte fonctionnent comme un substitut à des traitements psychiatriques ou à des psychothérapies, et comme un compensateur social. La plupart des réunions de quartier auxquelles j'ai assisté sont à mi-chemin entre la psychothérapie de groupe et le point mensuel à l'ANPE, ce qui a peu de liens avec une démarche spirituelle. L'objectif des adeptes est d'obtenir, par la pratique, la réalisation de désirs purement matériels, ce qui réintroduit un raisonnement de type "magique" au sein d'une démarche qui se veut "rationelle" et "logique". Tous les événements de la vie sont ainsi soumis à une "dictature des résultats" (les résultats matériels de la pratique "spirituelle") qui conduit, tôt ou tard, à une déréalisation. En effet, lorsque l'adepte n'obtient pas les résultats escomptés, on le culpabilise en lui disant qu'il n'a pas bien pratiqué. La pression exercée avec cet argument culpabilisant devient si insupportable que l'adepte en vient à nier l'échec et à s'auto-persuader que la pratique lui apporte -ou va lui apporter- tout ce qu'il souhaite, que ce serait "pire" sans la pratique. Il y a donc installation d'une dépendance au profit de la secte.
Conditionnés à accepter une vision du monde élaborée par la secte, les adeptes sont aussi conditionnés pour une soumission maximale (ne pas poser de questions dérangeantes, ne pas "douter",ce qui est pourtant un élémént majeur de l'ascèse spirituelle) qui en fait des objets et non des sujets.
Cette soumission conduisant aussi, peu à peu, par un jeu de récompenses (nouvelles responsabilité, valorisation par la hiérarchie), à ne plus fréquenter que des adeptes ou des personnes non critiques, donc à éliminer les opinions contraires ou seulement extérieures. Ce sont ainsi toutes les fréquenta- tions des adeptes qui changent au fil du temps.
Cette soumission se caractérise aussi par une prise de possession, par la secte, de l' espace-temps des adeptes. Ceux-ci, au-delà de la pratique quotidienne assez longue qui leur est imposée, sont en effet sollicités pour des activités collectives multiples, d'autant que le système a des appartenances multiples, à des réunions de quartier, mais aussi à des organisations socio-professionnelles (les membres sont regroupés par quartier, mais aussi par catégories socio-professionnelles), à des départements par sexe ( orgnisations féminines et masculines) et même par tranches d'âge , en vient à absorber tout leur temps libre. Parfois même, les supérieurs hiérarchiques des adeptes en viennent à réaménager leur décoration intérieure autour des objets de culte, se substituant ainsi à leur libre-arbitre.
Concernant des enfants, le conditionnement effectué dès les premières années peut entraîner des conséquences dramatiques, en façonnant leur personnalité dans un contexte "exclusif" où toutes les références extérieures sont supprimées ou dévalorisées a priori. Or, il faut savoir que l'une des premières directives données aux nouveaux adeptes est de convertir leur famille, de façon aussi à neutraliser toute influence extérieure.Il faut donc se montrer très vigilant en ce qui concerne des enfants, auxquels il est difficile de mettre en oeuvre des mécanismes de résistance ou de refus.
Ce type d'organisation, au terme d'années de recherche menées en japonais, en français et en anglais, et au terme de 7 ans de vie au Japon, dont 3 ans à l'Université de Tôkyô comme chercheur invitée, qui m'ont permis de décryter les arrière-plans sociologiques, politiques, culturels et stratégiques, m'apparaît clairement présenter les caractéristiques d'une secte, d'un nouveau type. Une secte planétaire et géopolitique dont les ambitions de pouvoir lui font traiter ses adeptes comme de simples pions au service d'objectifs de pouvoir et non d'objectifs spirituels.
Il faut, en tous les cas, lutter contre l'amalgame fait entre religion et secte dans le sens où la Soka profite de cet amalgame,dans l'espoir d'obtenir qualificatif de "nouvelle religion" or elle est une secte ! il n'y a aucun doute là-dessus!
***Ajout :***
Mais pour moi, je continue à dire que toutes les religions sont des sectes en puissance. Le vatican n'est il pas l'un des état les plus riches au monde ?
Ce genre d'abhérration devrait être réprimé très profondément mais trop de capitaux sont en jeux malheureusement. Nous ne pouvons qu'être très prudent et très lucide sur ce genre de "rassemblement" de personnes mené par des comptables très convaincants mais qui ne font que s'enrichir sur le dos de pauvres âmes qui pensent trouver le nirvana.
Vous comprendrez alors que je suis agnostique tendance athée.
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- Fourmi éleveuse
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- Enregistré le : ven. août 12, 2005 2:48 am
- Localisation : in the sky with diamonds
En ce qui concerne le vatican, il représente surtout l'Eglise, pas la religion en tant que telle. En fait je la vois plutot comme une interprétation de la religion (et c'est vrai qu'elle en tire profit)... je connais beaucoup de catho qui n'approuve pas les idées de l'Eglise. J'ai aussi rencontré quelqu'un qui m'a affirmé que le port du voile pour les musulmans était une mauvaise interprétation du Coran (selon lui, la femme est valorisé, il est juste dit qu'il faut la protéger).
En tout cas je ne me voile pas la face à me prétendre agnostique, je suis completement athée, mais j'ai beaucoup de mépris pour les gourous pervers que je n'aime pas trop qu'on classe toutes les religions dans le meme sac.
En tout cas je ne me voile pas la face à me prétendre agnostique, je suis completement athée, mais j'ai beaucoup de mépris pour les gourous pervers que je n'aime pas trop qu'on classe toutes les religions dans le meme sac.
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- Larve filiforme
- Messages : 20
- Enregistré le : dim. févr. 19, 2006 2:28 pm
- Localisation : Clermont-Ferrand
Le Vatican est une monarchie sacerdotale exerçant son autorité sur l’Église catholique (théocratie).
Il a quand même la main mise sur le catholicisme.
Ensuite je ne reconnais aucune déïté comme réelle ni comme irréelle car aucune preuve n'est avérée de leur existence ou non.
Ensuite les interprétations des différents écrits que sont les bibles hébraïques ou chrétiennes et le coran pour ne citer que ceux là, sont effectiivement sujet à caution. Et c'est là qu'est le grand drame de toutes les religions : les interprétations faites de ces écrits faits par des humains pour d'autres humains.
Je ne parlerai pas ici du voile ou de tout autre objet de religion car il y a déjà un fil de discussion sur ce sujet.
Je me dis agnostique car je crois en une chose au moins : à l'humanité et tout ce qui peut en être tiré de bon. Et comme tu le dis, ce n'est pas me voiler la face car être athée c'est ne croire en rien et franchement se serait bien triste.
Il a quand même la main mise sur le catholicisme.
Ensuite je ne reconnais aucune déïté comme réelle ni comme irréelle car aucune preuve n'est avérée de leur existence ou non.
Ensuite les interprétations des différents écrits que sont les bibles hébraïques ou chrétiennes et le coran pour ne citer que ceux là, sont effectiivement sujet à caution. Et c'est là qu'est le grand drame de toutes les religions : les interprétations faites de ces écrits faits par des humains pour d'autres humains.
Je ne parlerai pas ici du voile ou de tout autre objet de religion car il y a déjà un fil de discussion sur ce sujet.
Je me dis agnostique car je crois en une chose au moins : à l'humanité et tout ce qui peut en être tiré de bon. Et comme tu le dis, ce n'est pas me voiler la face car être athée c'est ne croire en rien et franchement se serait bien triste.
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- Guerrière acharnée
- Messages : 909
- Enregistré le : jeu. juil. 07, 2005 7:22 pm
- Localisation : Bèziers.
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- Nymphe des bois
- Messages : 67
- Enregistré le : jeu. août 18, 2005 1:23 pm
- Localisation : Etage -18 de la fourmilière de Montmorency
Dans ma recherche de spiritualité,il y a de cela quelques années, j'ai rencontré des personnes de la Sokka Gaïka par le biais de la mère de ma meilleure amie. J'en ai moi même fait partie.
Comme il l'a déjà été dit, je considère une secte à partir du moment où il y transaction monétaire... et ce n'était pas le cas.
Ni moi ni aucune autre personne n'avions la moindre somme à verser puisque nous nous rencontrions tantôt chez les uns, tantot chez les autres dans le seul but de discuter à la fois de sujet politiques, ou bien de nouveaux textes de la Sokka Gaïka.
La seule raison qui m'a poussée à arrêter c'étaient le fait de lire en groupe de petits livres écrits en Japonnais et retranscrit en PHONETIQUE en dessous. Ca n'a aucun interêt sauf celui de faire vibrer son corps par des paroles ou de simples sons (cf/ Le jour des fourmis).
Mis à part ça j'ai apprécier les conversations que j'ai pu avoir et donc, non... je ne pense pas avoir eu à faire à une secte...
... cependant, les influences doivent être plus ou moins différentes selon les régions de France, d'Europe ou du monde... à approfondir.
Comme il l'a déjà été dit, je considère une secte à partir du moment où il y transaction monétaire... et ce n'était pas le cas.
Ni moi ni aucune autre personne n'avions la moindre somme à verser puisque nous nous rencontrions tantôt chez les uns, tantot chez les autres dans le seul but de discuter à la fois de sujet politiques, ou bien de nouveaux textes de la Sokka Gaïka.
La seule raison qui m'a poussée à arrêter c'étaient le fait de lire en groupe de petits livres écrits en Japonnais et retranscrit en PHONETIQUE en dessous. Ca n'a aucun interêt sauf celui de faire vibrer son corps par des paroles ou de simples sons (cf/ Le jour des fourmis).
Mis à part ça j'ai apprécier les conversations que j'ai pu avoir et donc, non... je ne pense pas avoir eu à faire à une secte...
... cependant, les influences doivent être plus ou moins différentes selon les régions de France, d'Europe ou du monde... à approfondir.
On peut vous montrer le chemin, mais personne ne peut le parcourir à votre place.